Mademoiselle s'amuse

Mademoiselle s'amuse

Réalisation Jean Boyer
Scénario Jean Boyer
Acteurs principaux
Sociétés de production Les Films Corona
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Comédie musicale
Durée 95 minutes
Sortie 1948

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Mademoiselle s'amuse est un film français réalisé par Jean Boyer, sorti en 1948.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Christine Gibson, dont le père est un richissime homme d'affaires américain, est une enfant gâtée et capricieuse. À son père qui lui demande ce qu'elle souhaite pour son 19e anniversaire, elle répond qu'elle souhaite avoir l'orchestre de Ray Ventura à demeure. Le père qui lui passe tout accepte. L'orchestre de Ray Ventura accompagne donc Christine dans tous ces faits et gestes de la vie quotidienne ainsi que dans ses virées à l'extérieur (golf, équitation, magasin de luxe, grand restaurants...). Tout se passe d'abord dans la bonne humeur, jusqu'au jour où les caprices de mademoiselle deviennent exaspérants. Les musiciens craquent, s'en vont et se dispersent. Quelques jours après Christine se rend chez Ray Ventura pour s'excuser. Après pas mal d'hésitations, il veut bien l'aider à reconstituer l'orchestre, les membres hésitent puis finissent par accepter. Tout l'orchestre est bientôt rassemblé sauf un qui joue dans une boite malfamée, le Balafred. Ray Ventura la dissuade d'y aller mais elle s'y rend tout de même. Là elle se fait draguer par un souteneur sous l'œil de Fifi, sa régulière qui se sent humiliée. Mais voilà que la police fait une descente dans l'établissement et embarque au commissariat tous ceux qui n'ont pas de papier sur eux. Christine se retrouve donc au poste et clame qu'elle est Christine Gibson, fille de milliardaire. Les policiers font une vérification téléphonique chez elle, et décide de la libérer, son ex-petit ami décide d'aller la chercher. Mais le souteneur qui sort du commissariat en même temps que Christine lui propose de l'accompagner en taxi. En fait il l'a séquestre dans un hôtel borgne. Sur ces entrefaites, Fifi, qui a retenu l'identité de Christine, se rend à son domicile et propose de donner le nom de l'hôtel où est la jeune femme contre quelques billets. C'est tout l'orchestre de Ray Ventura qui se met à jouer la sérénade au pied de l'hôtel, et quand le souteneur en sort il se retrouve coincé. Tout est bien qui finit bien.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Raymond Chirat, Catalogue des films français de long métrage. Films de fiction 1940-1950, Imprimerie Saint-Paul, Luxembourg, 1981, article no 450.

Liens externes[modifier | modifier le code]