Longueville (Seine-et-Marne)

Longueville
Longueville (Seine-et-Marne)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes du Provinois
Maire
Mandat
Philippe Fortin
2020-2026
Code postal 77650
Code commune 77260
Démographie
Gentilé Longuevillois
Population
municipale
1 800 hab. (2021 en diminution de 1,1 % par rapport à 2015)
Densité 321 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 31′ 00″ nord, 3° 15′ 00″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 145 m
Superficie 5,60 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Longueville
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Longueville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Longueville
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Longueville
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Longueville
Liens
Site web longueville.fr

Longueville est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

OpenStreetMap Limite communale.

Le village est situé à 8 km au sud-ouest de Provins et à 48 km à l'est de Melun.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Longueville.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés :

  • la rivière Voulzie, longue de 43,9 km[1], affluent de la Seine en rive droite, ainsi que :
    • un bras de 1,7 km[2] ;
    • le ru du Dragon, long de 8,1 km[3], affluent de la Voulzie ;
  • le ruisseau des Méances, long de 27,1 km[4], affluent de la Seine en rive droite, ainsi que :
    • un bras de 0,8 km[5] ;
    • le fossé 01 du Moulin de Gouaix, 1,8 km[6] qui conflue avec le ruisseau des Méances.

Par ailleurs, son territoire est également traversé par le canal des Ormes,[Note 1], aqueduc, conduite forcée de 24,31 km[7] qui conflue avec la Voulzie, l’aqueduc de la Voulzie et le bras de Saint-Loup, aqueduc, conduite forcée de 1,9 km[8].

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 11,17 km[9].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].

La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[11],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[12].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 752 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Voulton à 13 km à vol d'oiseau[15], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,8 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[20],[Carte 1] :

  • la « Rivière du dragon », d'une superficie de 24,26 ha, une rivière de la première catégorie piscicole, du domaine salmonicole. Des populations de Chabot et Lamproie de Planer y sont connues ainsi qu’un cortège particulièrement riche d’espèces associées à ce type de cours d’eau[21],[22].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Longueville comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2],[23],[Carte 2], l'« ancienne tourbière de la Voulzie » (36,52 ha)[24] et l'« ancienne tourbière du Ru de Meances » (50,85 ha), couvrant 4 communes du département[25].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Longueville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[26],[27],[28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Longueville, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[29] et 3 618 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30],[31].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32],[33].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 66 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[34] dont Lourps (château et chapelle).

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (43,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,5% ), forêts (35,9% ), zones urbanisées (22,6 %)[35].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[36],[37],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[38].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[39]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 788 dont 68,5 % de maisons et 26 % d'appartements[Note 6].

Parmi ces logements, 90,7 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 8,1 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 55,7 % contre 43,2 % de locataires[40] dont, 27,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 1,1 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Un train grandes lignes se dirigeant vers Troyes passe sur le viaduc.

La commune est desservie par la gare de Longueville, sur la ligne Paris - Provins. L'accès à Provins par voie de chemin de fer nécessite un arrêt à Longueville (changement de direction), ce qui a contribué au développement du village.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Longevile en 1250[41] ; Longuevile en la paroche de Loors en 1266[42] ; Longevile en 1295[43] ; Longeville en 1408[44] ; Longueville, parroisse de Lourps en 1789[45].

Le toponyme est issu de l'oïl, adjectif longue et ville (« village »)[46].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des vestiges néolithiques et paléolithiques sont visibles au lieu-dit le Marais Tourbeux. En 1944, une cachette de fondeur de l'âge du bronze est découverte.

Longueville apparaît pour la première fois au XIIIe siècle. C'est un hameau qui dépend alors de la paroisse de Lourps.

En 1888, la mairie est transférée à Longueville, nouveau nom de la commune[47].

La seigneurie de Lourps est détenue depuis le XVe siècle par la famille Legoux, par ailleurs détentrice de la seigneurie de Champigny (Yonne)[48]. Durant les guerres civiles dites de religion, Legoux, seigneur de Lourps, assure une grande partie de la défense civile du Provinois[49]. La chapelle de Lourps en conserve la dalle tumulaire. Il est représenté en armure.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2008 En cours Philippe Fortin[50] SE Retraité

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [51],[52].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune de Longueville gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[53].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[54]. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[53],[55].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [53],[56],[57].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[59].

En 2021, la commune comptait 1 800 habitants[Note 8], en diminution de 1,1 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
162149142179213204214200222
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
270290337332344324351359363
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4384915778901 0571 1161 0541 0041 098
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1791 4071 4371 4631 4881 6921 6381 6341 684
2015 2020 2021 - - - - - -
1 8201 7781 800------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Associations[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Friche industrielle.
  • Vingt-deux artisans et commerçants (particularité : friche industrielle de sept hectares au cœur du bourg).
  • La commune abrite sur son territoire une usine de composants électriques, filiale du groupe Mersen, fondée en 1907 par l'ingénieur et inventeur Emile-Albert Fouilleret. L'usine est toujours appelée de nos jours l'usine Fouilleret, en mémoire de son fondateur et de sa famille qui la dirigea après son décès en 1934 ; notamment son fils aîné Henri Charles Fouilleret, héros de la Résistance mort pour la France à Provins en 1944.
  • Il existait autrefois une fabrique de céramiques, nommée La Céramique de la Voulzie, également propriété de la Famille Fouilleret, qui disparut dans un incendie.

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Longueville est dans la petite région agricole dénommée le « Montois », une petite région à l'est du département, en limite sud de la Brie[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[61].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[62]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 3 en 1988 à 6 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 59 ha en 1988 à 54 ha en 2010[61]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Longueville, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Longueville entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[61],[Note 10]
Nombre d’exploitations (u) 3 5 6
Travail (UTA) 4 5 5
Surface agricole utilisée (ha) 178 395 323
Cultures[63]
Terres labourables (ha) 177 395 321
Céréales (ha) s 268 s
dont blé tendre (ha) s 159 114
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s 69 s
Tournesol (ha) s s
Colza et navette (ha) s s 25
Élevage[61]
Cheptel (UGBTA[Note 11]) 2 0 17

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Château de Lourps et église Saint-Menge.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Émile-Albert Fouilleret (fondateur de l'Usine Fouilleret).
  • Henri-Charles Fouilleret (résistant).
  • Mac Ronay (1913-2004), comédien et artiste né à Longueville.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Longueville », p. 1244–1247

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Nature en attente de mise à jour.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Sites Natura2000 de Longueville » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  2. « Zones ZNIEFF de Longueville » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  3. « Longueville - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  5. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Voulzie (F23-0400) ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Voulzie (F2321001) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Dragon (F2326000) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Ruisseau des Meances (F2220600) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de (F2221001) ».
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Moulin de Gouaix (F2224000) ».
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal des Ormes (Conduite de Realimentation de la Seine à la Voulzie) (F2--3702) » (consulté le ),
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de Saint-Loup (F2322801) ».
  9. 77260 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 4 mars 2019
  10. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  11. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  12. « Ile SDDEA et sa régie », sur sddea.fr, (consulté le ).
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  15. « Orthodromie entre Longueville et Voulton », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Voulton_sapc » (commune de Voulton) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Station Météo-France « Voulton_sapc » (commune de Voulton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  19. « Réseau européen Natura 2000 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Longueville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Rivière du Dragon - ZSC - FR1002004 », sur driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « site Natura 2000 FR1102004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Longueville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF l'« ancienne tourbière de la Voulzie » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF l'« ancienne tourbière du Ru de Meances » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  28. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Unité urbaine 2020 de Longueville », sur insee.fr (consulté le ).
  30. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  32. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  34. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  36. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
  37. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  38. « Le SCOT Grand Provinois », sur cc-du-provinois.fr (consulté le ).
  39. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  40. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 27 juin 2020
  41. Rôles des fiefs, 825.
  42. Cartulaire Renier Accorre, fol. 7 v°.
  43. Actes commune Provins, p. 153.
  44. Arch. hosp. Provins, B 55.
  45. Archives de la Seine-et-Marne, B 685.
  46. Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1424 (ISBN 2600028846).
  47. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Etienne Meunier, « La seigneurie de Saint-Martin-l-s-Villeneuve-le-Roi », Bulletin des Amis du vieux Villeneuve, no 27,‎ , p. 51 à 75.
  49. Claude Haton, Mémoires de Claude Haton : contenant le récit des événements accomplis de 1553 à 1582, principalement dans la Champagne et la Brie (lire en ligne).
  50. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
  51. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  52. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
  53. a b et c « Commune de Longueville - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  54. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
  55. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  56. « Syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  57. « Syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  58. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  59. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  61. a b c et d « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Longueville », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  62. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  63. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Longueville », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  64. Notice no PA00087063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  65. Notice no PA00087064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.