Lognes

Lognes
Lognes
L'ancien hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Torcy
Intercommunalité CA Paris - Vallée de la Marne
Maire
Mandat
Nicolas Delaunay (PS)
2023-2026
Code postal 77185
Code commune 77258
Démographie
Gentilé Lognots
Population
municipale
14 650 hab. (2021 en augmentation de 4,49 % par rapport à 2015)
Densité 4 347 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 10″ nord, 2° 37′ 40″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 109 m
Superficie 3,37 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Champs-sur-Marne
Législatives 10e circonscription de Seine-et-Marne
Localisation
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Lognes
Liens
Site web mairie-lognes.fr

Lognes (prononcé [lɔɲ]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

De 248 habitants en 1975, Lognes en comptait près de 15 000 en 2009. « Première ville asiatique de France » avec 40 % de sa population, elle est surnommée la « ville du dragon ».

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Aperçu de Lognes dans le département.

Lognes fait partie de la communauté d'agglomération Paris - Vallée de la Marne, au sein de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, à une vingtaine de kilomètres de l’est de Paris[Carte 1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Lognes
Noisiel Torcy
Lognes
Émerainville Croissy-Beaubourg

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 70 mètres à 109 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 86 mètres d'altitude (hôtel de ville)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune n’est traversée par aucun cours d'eau[3]. Mais le ru Maubuée en marque la limite à l'est avec Torcy en reliant quelques-uns des cinq étangs artificiels qui sont situés à Lognes : les étangs des Pêcheurs, du Maubuée, du Segrais, du Grand Bassin et des Ibis, édifiés pendant la construction de la ville nouvelle et représentant une superficie de plus de 18 hectares. Ils récupèrent les eaux de ruissellement, collectent les eaux pluviales et servent de régulateurs.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 709 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Torcy à 2 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 716,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records TORCY (77) - alt : 43m, lat : 48°51'48"N, lon : 2°39'03"E
Records établis sur la période du 01-06-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 2,3 4 6,1 9,6 12,7 14,6 14,2 11,2 8,8 5,1 2,9 7,8
Température moyenne (°C) 4,8 5,6 8,3 11,2 14,6 18 20,1 19,8 16,3 12,8 8,1 5,5 12,1
Température maximale moyenne (°C) 7,4 8,9 12,6 16,2 19,7 23,2 25,6 25,5 21,5 16,8 11,1 8 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−12,6
07.01.09
−11,4
07.02.12
−8,6
01.03.05
−3,3
06.04.21
0,4
07.05.1997
2,8
04.06.01
6,6
13.07.1993
5,8
28.08.1998
2
30.09.18
−3,4
30.10.1997
−9,7
24.11.1998
−9,6
29.12.1996
−12,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
17,3
05.01.1999
20,9
27.02.19
26,2
31.03.21
28,8
20.04.18
31,6
27.05.05
36,6
27.06.11
42,1
25.07.19
39,7
11.08.03
35,7
08.09.23
28,7
02.10.11
21,9
07.11.15
17,8
07.12.00
42,1
2019
Précipitations (mm) 57,2 53,2 52,5 50 71,3 57,6 60,5 66,1 53,3 60,5 59,5 74,7 716,4
Source : « Fiche 77468001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Gare du RER.

La ville bénéficie du passage de grandes infrastructures de transports : l'autoroute A4, la Francilienne N 104/A104, la RD 199 et la RD 499. Celles-ci permettent des liaisons aisées avec Paris et les principaux pôles d’activités de la région Île-de-France (La Défense, Orly, Roissy…). Cette desserte privilégiée a favorisé le développement urbain et économique de la commune.

Le caractère récent de la ville nouvelle a permis d’intégrer les contraintes de stationnement dans la conception de l’urbanisation. Ainsi, la commune de Lognes comprend un nombre important d’emplacements de stationnement : un parc de 320 places à proximité de la station RER A de Lognes, le stationnement le long des boulevards urbains : Segrais, Camille-Saint-Saëns, cours des Lacs, cours George-Gershwin, Mandinet, Malvoisine, Tour d’Auvergne…

Transports aériens[modifier | modifier le code]

L'aérodrome de Lognes-Émerainville est le premier aérodrome français d'aviation légère privée. Il est exploité par la société Aéroports de Paris[10].

Pistes cyclables[modifier | modifier le code]

Le territoire est également doté d’un réseau de pistes cyclables important et en développement.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la gare de Lognes et, du fait de sa position limitrophe des deux communes de Lognes et Torcy, par la gare de Torcy de la ligne A du RER.

La ville de Lognes est desservie par les lignes de bus des réseaux RATP, Meaux et Ourcq, Sit'bus et la nuit par le Noctilien.

Chemin de fer[modifier | modifier le code]

Hormis le RER A déjà mentionné, la commune a vu d'autres lignes traverser son territoire.

La construction d'une première ligne de chemin de fer entre la gare d'Émerainville et la chocolaterie Menier à Noisiel a été décidée en 1881[11].

Lognes est aussi située sur la ligne longue de 7,5 km qui dessert la zone d'activités Pariest, définie en 1977[12], et rejoint la ligne de Paris à Mulhouse au niveau d'Émerainville. Elle transportait en 2001 environ 110 000 t de fret par an[13]. Elle est abandonnée depuis 2009, et a subi des vols de caténaires.

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Lognes comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1],[14],[Carte 2], les « Bois de Saint-Martin et bois de Célie » (892,6 ha), couvrant 6 communes dont 4 en Seine-et-Marne, 1 dans la Seine-Saint-Denis et 1 dans le Val-de-Marne[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lognes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[19] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

En 2018[24], le territoire de la commune se répartit[Note 4] en 45,1 % de zones urbanisées, 34,9 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 8,9 % de forêts, 7,4 % d’espaces verts artificialisés non agricoles et 3,7 % d’eaux continentales[Note 5],[3],[25].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 19 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[26].

Quartiers[modifier | modifier le code]

La ville est divisée en six quartiers : quartier du Segrais, quartier Four-Colliberts, quartier de la Tour d'Auvergne, quartier Hameaux-Village, quartier de La Maillière et quartier centre urbain (Le Mandinet)[27].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 5 764 dont 21,4 % de maisons et 76,7 % d’appartements.

Parmi ces logements, 94,4 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants[Note 7].

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 46,7 % contre 51,4 % de locataires[28] dont, 27,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 8] et, 1,9 % logés gratuitement.

Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]

Le panneau rappelant la réhabilitation.

La réhabilitation du centre-ville durant les années 1995 - 2000 s’est accompagnée de la réalisation d’équipements de proximité.

Le conseil municipal a créé en 2008 une commission d’accessibilité, en application de la législation nationale. Selon la loi du , les établissements recevant du public (ERP) doivent, en effet, être rendus accessibles à toutes les personnes à mobilité réduite, avant au plus tard. Cela concerne la signalétique, les entrées, la largeur des portes, l’accès aux fauteuils roulants aux étages et l’utilisation des sanitaires. Au-delà de l’accessibilité des bâtiments, la municipalité a également réalisé un diagnostic sur la circulation des personnes handicapées en ville, afin d’envisager les travaux d’amélioration en concertation avec les usagers[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La ville de Lognes a connu différentes appellations au fil des siècles. Dans la chronique de Frédégaire, le lieu apparaît sous l'appellation de Laucaunia-Sylva (VIIe siècle[30] peut-être issue du gaulois louko qui signifie « forêt, bois », équivalent du latin lucus « bois sacré »), puis Oingniata (XIIe siècle), Loengnes (XIIe siècle), Lugnes (XIIIe siècle), Lugnis (XIIIe siècle), Longnes (1227), Loingnes (1464), Longnes-en-Brie (1650) et Ognes-en-Multien (XVIIe siècle), Logne-en-Brie (XVIIIe siècle)[31].

La première appellation retrouvée est donc Laucaunia-Sylva. À l’époque gallo-romaine, la Laucaunia-Sylva était considérée comme faisant partie d’un ensemble foncier d’une résidence, c'est-à-dire de plusieurs villas. Ce territoire n’était alors pas considéré comme terre de culture, mais comme terre en friches laissée à l’état naturel pour les besoins de la chasse. Il existe cependant des controverses concernant ce nom.

Alfred Maury, dans son ouvrage Forêts en Gaule, précise que la forêt de Vincennes (Vilcenna-Sylva), celle de Bondy (Bungiacensia-Sylva) et celle de Livry (Libeniacencis-Sylva) formaient un seul et même ensemble qui portait le nom de Laucaunia-Sylva. L’abbé Lebeuf, dans son ouvrage Histoire du Diocèse de Paris, contredit de nombreuses thèses d’historiens et situe la Laucaunia-Sylva dans le village actuel de Lognes.

« Première ville asiatique de France » avec 40 % de sa population[32], elle est surnommée la « ville du dragon ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Des armes et des armures trouvées près de Lognes ont été les preuves de la bataille livrée en 1114, par Louis le Gros, à Guy le Rouge, seigneur de Gournay-sur-Marne, et à Thibaut, comte de Champagne.

La présence de vestiges archéologiques témoigne d’une occupation néolithique, puis gallo-romaine du site de Lognes. Le nom de Lognes apparaît au VIIe siècle sous le terme de « laucaunia sylvia » dans l’une des rares sources écrites de l’époque « la chronique de Frédégaire ». L’aspect qu’offrait alors cette partie du plateau de la Brie est celui d’une vaste étendue boisée marquée ici et là par quelques implantations humaines. C'est dans cette forêt qu'a été assassiné, avec sa femme, le roi Childéric II, en 675[33]. Au XVe siècle, on dénombre au moins quatre seigneuries et fiefs : le Mandinet, la Malvoisine, le Buisson Saint-Antoine et le Bois l’Archer, aujourd’hui déformé en « Bourlarché ».

En 1865, un bâtiement réunissant salle d'école et mairie est construit dans le village avec les fonds d'Édouard André, qui y fit aussi construire une église en 1875[34].

L’ancien village rural, situé à la charnière entre le bois de Lognes et les terres agricoles qui occupaient l’essentiel du territoire communal, est constitué d’anciennes maisons d’habitation d’architecture briarde datant de la fin du XIXe siècle. La famille Menier joua un rôle important dans la vie communale ; plusieurs de ses membres seront successivement maires de Lognes. Au début des années 1970, Lognes n’était encore qu’un bourg rural de quelques centaines d’habitants, entouré de champs et de fermes. La commune a connu en quelques années un développement urbain extrêmement rapide, résultat de son intégration dans le périmètre de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, dont la création a été décidée par l’État en 1965. Les terres agricoles ont alors été achetées et aménagées par un organisme public relevant de l’État, L’EPA-Marne, qui a réalisé les voies, les réseaux et les équipements publics.

En l’espace de 25 ans, Lognes est ainsi passée d’un village de 248 âmes à une véritable ville de près de 15 000 habitants avec des pôles d’activités fortement développés.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Poste de police municipale.
Ancien hôtel de ville et la nouvelle mairie.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement de Torcy du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. Pour l'élection des députés, elle dépend de la dixième circonscription de Seine-et-Marne.

La commune a relevé successivement du canton de Lagny-sur-Marne à partir de 1793, du canton de Torcy créé en 1975 par scission du précédent. Compte tenu de la croissance démographique du secteur de Marne-la-Vallée, le canton de Torcy est à son tour scindé en 1985 et la commune est alors rattaché au nouveau canton de Noisiel[35]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Champs-sur-Marne.

Lognes est situé dans le ressort du tribunal d'instance de Lagny-sur-Marne, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Meaux, et de la cour d'appel de Paris.

Dans l'ordre administratif, la commune relève du tribunal administratif de Melun et de la cour administrative d'appel de Paris[36].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Lognes et tout Marne-la-Vallée ont connu une urbanisation rapide en seulement quelques décennies, grâce notamment à la desserte par le RER A.

Lognes appartient au secteur II de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, dénommé Val Maubuée.

Celui-ci regroupe six communes (Champs-sur-Marne, Croissy-Beaubourg, Émerainville, Lognes, Noisiel et Torcy), qui étaient regroupées successivement au sein du syndicat communautaire d'aménagement de l'agglomération nouvelle de Marne-la-Vallée - Val Maubuée créé le [37], puis du syndicat d'agglomération nouvelle Marne-la-Vallée - Val Maubuée créé le [38], qui se transforme en 2013 en communauté d'agglomération de Marne-la-Vallée - Val Maubuée.

Celle-ci fusionne le avec d'autres intercommunalités pour former la Communauté d'agglomération Paris - Vallée de la Marne, dont la commune est désormais membre[39].

La commune de Lognes est également membre du syndicat intercommunal pour l’enlèvement et le traitement des résidus ménagers (SIETREM) de la région de Lagny-sur-Marne, qui assure la collecte, le traitement et la valorisation des déchets ménagers pour le compte des trente communes adhérentes ; ainsi que du syndicat intercommunal CPRH (Centres de pédagogies et de réadaptation pour personnes handicapées) qui a pour vocation de créer et de gérer des centres pour personnes handicapées[40].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants étant compris entre 10 000 et 20 000, le nombre de membres du conseil municipal est de 33.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne, la liste menée par le maire sortant André Yuste (PS) — qui avait succédé à Michel Ricart en 2016 après sa démission — remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 494 voix (68,62 %, 29 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[41] :

  • Denis Beyer (DIV, 308 voix, 14,14 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
  • Steve Boumbou-Liotta (LREM, 271 voix, 12,44 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
  • Sylvain Cayard (LO, 104 voix, 4,77 %, pas d'élus) ;

lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 73,70 % des électeurs se sont abstenus.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1882 1890 Gaston Menier[42] Radical Industriel du chocolat
Député de Seine-et-Marne (1898 → 1906)
Sénateur de Seine-et-Marne (1909 → 1934)
Maire de Bussy-Saint-Martin (1890 → 1913)
Conseiller général de Lagny-sur-Marne (1891 → 1934)
1896 1899 Albert Menier   Industriel du chocolat, sportif
Frère du précédent
1899 1905 Émile Richet    
1905 1917 Georges Menier    
1917 1938 Antoine Menier    
1938 1940 Émile Fournier   Mobilisé en 1940
1940 1944 Louis Mangeot   Nommé par le Gouvernement de Vichy
1944 1965 Émile Fournier    
mars 1965 mars 1989 Paul Mangeot DVD Agriculteur
mars 1989 octobre 2016[43] Michel Ricart[44] PS Cadre bancaire retraité
Président du SAN du Val-Maubuée (1997 → 2011)
Démissionnaire
octobre 2016[45] octobre 2023 André Yuste PS Fonctionnaire, premier adjoint (2014 → 2016)
Vice-président du SAN du Val-Maubuée
Réélu pour le mandat 2020-2026[46],[47]
Démissionnaire pour raisons de santé[48]
octobre 2023[49],[50] En cours
(au 17 octobre 2023)
Nicolas Delaunay[51] PS Consultant expert, premier adjoint (2016 → 2023)
Vice-président de la CA Paris - Vallée de la Marne (2020 → )

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

Entrée de la forêt du Val-Maubuée, en centre-ville.
Promenade et lac en centre-ville.

Au cœur de l’agglomération du Val-Maubuée, Lognes a cherché à se développer en préservant son environnement. Aujourd’hui, l'urbanisation étant quasiment achevée, les priorités sont l'amélioration du cadre de vie et un développement qui profite à toutes les générations[29].

Depuis 2009, la municipalité a souhaité marquer son engagement dans un projet de développement durable en se lançant dans une démarche d'Agenda 21[52].

La commune agit au niveau de l'environnement, grace à plusieurs mesure : le zéro phyto, le fauchage tardif et jachère, une gestion responsable de l’eau, une gestion différenciée, installation d'hotels à insectes et de ruches[53].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Lognes a signé en 2001 un contrat de coopération avec la commune de Kampot au Cambodge, en vue de créer des maisons des jeunes et de la culture à Phnom Penh et Kampot[54].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Intégrée à la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, Lognes a connu une explosion démographique entre 1975 et 1990, passant de 250 habitants à près de 13000. Dans les années 2000, la population tend à se stabiliser autour de 15 000 habitants. En 2009, Lognes comptait 14 756 habitants (soit une augmentation de 3,8 % par rapport à 1999). La commune occupait le 621e rang au niveau national et le 22e au niveau départemental sur 514 communes. Elle regroupe environ 17 % des habitants du Val-Maubuée, communauté dont elle est la quatrième commune par la population.

La population lognote est jeune : 41,2 % des habitants sont âgés de moins de 25 ans en 2006. La ville accueille plus de 70 nationalités, dont une forte communauté venant des pays du Sud-est asiatique (Cambodgiens, Laotiens, Vietnamiens…)[55]. Cette diversité se retrouve dans la vitalité de la vie associative, qui compte plus de 200 associations sportives et culturelles.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[56],[Note 9].

En 2021, la commune comptait 14 650 habitants[Note 10], en augmentation de 4,49 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9511011311798101119107120
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
141158185198216217260277321
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
357345344306320325292244246
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3172972481 70712 97314 21514 61414 41013 999
2021 - - - - - - - -
14 650--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,6 % la même année, alors qu'il est de 19,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 6 944 hommes pour 7 324 femmes, soit un taux de 51,33 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,31 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[58]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,4 
1,6 
75-89 ans
2,1 
15,1 
60-74 ans
15,6 
17,3 
45-59 ans
18,7 
22,1 
30-44 ans
22,3 
21,8 
15-29 ans
22,4 
21,8 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département de Seine-et-Marne en 2020 en pourcentage[59]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,2 
4,7 
75-89 ans
6,5 
13,6 
60-74 ans
14,1 
20,3 
45-59 ans
20 
20,1 
30-44 ans
20,5 
19,1 
15-29 ans
18 
21,8 
0-14 ans
19,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Lognes est située dans l'académie de Créteil.

Établissements scolaires[modifier | modifier le code]

La ville administre cinq groupes scolaires[60] : le Four, la Maillière, le Mandinet, le Segrais et le Village.

Le département gère deux collèges : le collège « La Maillière »[61] et le collège « Le Segrais »[62].

La région Île-de-France gère le lycée Emily-Brontë[63].

Enseignement supérieur[modifier | modifier le code]

Lognes est le siège de plusieurs établissements privés d'enseignement supérieur :

  • Groupe HEMA proposant des formations supérieurs dans le domaine du management, développement durable et du commerce international[64]
  • ASCENCIA BUSINESS SCHOOL MARNE LA VALLEE, établissement d'enseignement supérieur dans les domaines communication, marketing, banque, assurance, finance, ressources humaines et sportif[65] ;

Accès aux droits[modifier | modifier le code]

La maison de justice et du droit est située sur la commune, proche de la gare RER[66].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Le bâtiment de l'Association franco-indochinoise sud-Laos.

Pour fêter l’arrivée du printemps, les Lognots déambulent dans les rues de Lognes accompagnés de chars et musiques lors du carnaval. Pour fêter l’arrivée de l’été, la municipalité invite les Lognots à se rencontrer lors de diverses manifestations : fête associative, fête de la musique, tremplin musical « Ziclog », feu d'artifice... Le , un feu d'artifice est organisé sur les rives de l’étang du Maubuée en collaboration avec la ville de Torcy. D'autres manifestations incluent la fête du sport/le forum des associations (septembre) dans lequel les habitants et les associatives sportives et culturelles (initiation, inscription...) se rencontrent. Un troc et puces du Segrais est organisé chaque année en septembre et Le Festival Les Transversales a lieu en septembre.

L’association « les amis de l'église Saint-Martin », en lien avec le diocèse de Meaux, organise de nombreux récitals et concerts.

Chaque année le salon de Lognes ouvre ses portes à tous les peintres et sculpteurs de la commune. Diverses expositions à la salle du Citoyen.

La médiathèque du Segrais, ouverte depuis début 2008, propose près de 20 000 documents[67]. Elle fait partie du réseau de médiathèques de Paris vallée de la marne et a pour thématique les sciences.

Santé[modifier | modifier le code]

La ville de Lognes dépend du centre hospitalier de Jossigny.

Une maison médicale de garde est ouverte dans le quartier du Village, en plus de la maison médicale de la gare de Lognes et la présence de plusieurs médecin généraliste[68].

Cinq pharmacies sont présentes sur la ville.

La commune propose une mutuelle communale dans le cadre du dispositif « Ma Commune, ma Santé »[69].

Sports[modifier | modifier le code]

La ville de Lognes compte trois gymnases (la Maillière, la Fraternité et la Liberté), un parc des sports au Segrais, un complexe de tennis au village, le stade Colette-Besson au village (Athlétisme) une salle d’arts martiaux et huit plateaux d’EPS.

Au sein du bois, lieu de promenades et d’exercices physiques, a été installé un parcours de santé. Des appareils de type fitness en plein air sont également présents aux abords des lacs du grand bassin et du maubuée.

Le club de basket-ball de la ville a été créé en 1986 sous le nom de Basket-Club de Lognes Marne-la-Vallée. Il utilisait principalement le gymnase de la Maillière et occasionnellement celui de la Fraternité. Il a fusionné en 2002 avec ses voisins de Torcy et Noisiel pour former le Marne-la-Vallée Basket Val-Maubuée (ou MLV Basket), comptant en 2013-2014 cinq équipes (dont 4 jeunes) en championnat de France[70]. Il a depuis déménagé et occupe le nouveau gymnase de la Liberté. C'est le club avec le plus de licenciés en Seine-et-Marne (431 au total)[71].

En 1995, le club Champs Noisiel Athlétisme (CNA) se développe à Lognes pour devenir "Marne-la-Vallée Athlétisme". En 2000, le club a détecté, puis formé jusqu'en 2004, la championne de saut en longueur Eloyse Lesueur. En 2005, c'est le 1er club du département de Seine-et-Marne et le 53e club français. En 2006, le stade Colette-Besson (piste synthétique de 200 m) est inauguré à Lognes. Avec plus de 270 licenciés, MLVA développe l'athlétisme et les disciplines associées (marche nordique, jogging loisir, condition physique, remise en forme)[72].

Médias[modifier | modifier le code]

La radio 77FM émet sur la ville sur la fréquence 95,8 sur la bande FM.

Cultes[modifier | modifier le code]

Les Lognots disposent de lieux de culte catholique, musulman, adventiste, et protestant.

La commune de Lognes dépend du secteur pastoral du Val-Maubuée de l'Église catholique, lui-même situé au sein du pôle missionnaire de Marne-la-Vallée ans le diocèse de Meaux. Le lieu de culte catholique à Lognes est l'église Saint-Martin[73].

La mosquée Masjid Salam est située sur le territoire de la commune[74].

Une église adventiste est présente sur la commune[75].

Deux églises protestante sont présentes sur la commune[76].

Économie[modifier | modifier le code]

Lognes était connue pour son centre d'examens qui aujourd'hui n'existe plus. (Centrex)

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 5 006 (dont 60 % imposés), représentant 13 462 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 20 620 euros[77].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre total d’emplois dans la zone était de 8 527, occupant 6 606 actifs résidants.

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 66,1 % contre un taux de chômage de 10,1 %.

Les 23,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,7 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,1 % de retraités ou préretraités et 8 % pour les autres inactifs[78].

Lognes représente un pôle économique important au sein de Marne-la-Vallée. Les emplois sont plutôt concentrés dans un petit nombre d’établissements.

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre d'établissements actifs était de 418 dont 29 dans l’industrie, 22 dans la construction, 325 dans le commerce-transports-services divers et 42 étaient relatifs au secteur administratif[79].

Ces établissements ont pourvu 8 101 postes salariés.

Administration[modifier | modifier le code]

À Lognes se situe également le Centre national de la formation du ministère de l'Intérieur[80],[81]. S'agissant d'une « plate-forme pédagogique », le Centre de formation accueille plusieurs directions du ministère, comme celle de la police nationale, connue sous l'appellation de Direction des ressources et des compétences de la Police nationale.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin.

Église Saint-Martin[modifier | modifier le code]

Construite entre 1898 et 1903, l’église Saint-Martin est de style néo-roman. Son architecture a une caractéristique : la dimension très importante de ses baies par rapport à la surface des murs. Elle est à ce titre très lumineuse. Cette église de campagne a retenu l’histoire des Menier, (célèbre famille de chocolatier employeur d’une grande partie de la population du village au début du XXe siècle), dans le dessin des chapiteaux, qui sont décorés de feuilles de cacao. Restaurée en 2000, elle fut l'objet d'une intervention artistique par Victor Cuzin pour la réalisation de ses vitraux contemporains et la mise en couleur de ses murs.

L'église Saint-Martin de Lognes est visitable lors des journées européennes du patrimoine[82].

Le château du Mandinet[modifier | modifier le code]

Un fief important existait au Mandinet dès le XVe siècle avec un château entouré de fossés, qui appartenait à la famille de l’écrivain Paul Scarron. Jean Scarron, seigneur du Mandinet, fut par la suite prévôt des marchands de Paris entre 1644 et 1646. Après la Révolution, le château a été habité par le général Nempde-Dupoyet (1775-1833) qui avait brillamment participé aux campagnes napoléoniennes. Le château a été reconstruit à l’identique en 1990.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La richesse des paysages et des milieux naturels de Lognes constitue un facteur d’attractivité important pour la commune et plus généralement pour le secteur du Val-Maubuée.

La ville dispose de 7 étangs artificiels (Grand bassin, étang des Ibis, étang du mandinet, étang du Segrais Nord et Sud, étang de la Maillière/des pécheurs, étang du Maubuée). Ces étangs accueillent une grandes biodiversité, ragondins, cygnes, poules d'eau, oies, hérons, canards.

L'ensemble des espaces verts municipaux représente une superficie d'environ quatorze hectares. Le bois de Lognes (ZNIEFF de type 2) et le parc du Segrais sont administrés par l’agglomération Paris vallée de la Marne.

Lognes bénéficie du label « ville fleurie » avec trois fleurs attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[83].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

La ville de Lognes favorise toutes les politiques culturelles, de la pratique amateur à l’excellence artistique, de l’action culturelle de proximité à la reconnaissance au niveau national.

Médiathèque du Segrais

Plusieurs films ont été tournés à Lognes, dont :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Lognes », p. 1185–1187
  • Christophe Cuzin, Église de Lognes : Chronique d'une commande publique en Île-de-France, Atelier Duchemin, maître verrier, Direction régionale des affaires culturelles d'Île-de-France, 2000, (ISBN 211087175X)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Statistiques 2018 de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  7. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  8. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  9. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
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  2. « Zones ZNIEFF de Lognes » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..

Références[modifier | modifier le code]

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  43. « Lognes : le maire Michel Ricart tire sa révérence après vingt-sept ans de mandat », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne) « Michel Ricart (PS), le maire de Lognes a présenté sa démission ce lundi à l’issue du conseil municipal. Une décision que l’édile âgé de 74 ans a prise pour des raisons de santé. « J’en suis à mon cinquième mandat et même si j’ai encore toutes mes facultés intellectuelles, mon corps commence à fatiguer. Il est temps de passer le flambeau. » Arrivé à Lognes en 1983, Michel Ricart est élu conseiller municipal dès 1986 avant de devenir maire adjoint l’année suivante puis d’être élu maire en 1989. Sous sa houlette, le village de 250 habitants à ce moment-là devient une ville de 15 000 habitants ».
  44. Guénaèle Calant, « Lognes : les socialistes pleurent l’ancien maire Michel Ricart : Michel Ricart (PS) a dirigé la ville de Lognes pendant 27 ans. Il est décédé dans la nuit de lundi à mardi à l’âge de 78 ans. Ses anciens « camarades » lui rendent hommage », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Michel Ricart en était devenu conseiller municipal en 1986. « Nous avons été élus ensemble la même année. J'ai été son adjoint quand il est devenu maire en 1989 », se rappelle Paul Miguel (PS), très affecté par le décès de son « camarade », qui était « comme de ma famille ». C'est d'ailleurs Paul Miguel qui lui avait succédé à la tête du SAN (Syndicat d'agglomération nouvelle) du Val Maubuée : Michel Ricart y était resté plus de 14 ans ! ».
  45. « Lognes : André Yuste succède à Michel Ricart à la tête de la ville », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne) « Élu quelques instants auparavant par le conseil municipal, André Yuste, jusqu’alors premier adjoint, a enfilé l’écharpe tricolore ».
  46. Nicolas Le Hérissé, « Seine-et-Marne. André Yuste, le maire de Lognes, sera candidat pour un second mandat : André Yuste, le maire de Lognes, annonce sa candidature pour un second mandat de maire », La Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. Guénaèle Calant, « Lognes : André Yuste reconduit à son poste de maire : L’élection du maire de Lognes a eu lieu lundi soir dans la salle du Citoyen. C’est en octobre 2016 que l’ancien maire Michel Ricart lui avait passé le flambeau de la ville », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Lors du premier tour, André Yuste et sa liste « Choisir Lognes » avaient remporté 68,62 % des suffrages ».
  48. Paul Varenguin, « Lognes : le maire, André Yuste, a présenté sa démission : Après sept ans en tant que maire de Lognes, André Yuste a présenté sa démission lors de la séance du 2 octobre. Il devrait rester conseiller municipal jusqu'à la fin du mandat. », La Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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