Le Trait

Le Trait
Le Trait
La mairie.
Blason de Le Trait
Blason
Le Trait
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Patrick Callais
2020-2026
Code postal 76580
Code commune 76709
Démographie
Gentilé Traitons
Population
municipale
4 780 hab. (2021 en diminution de 6,62 % par rapport à 2015)
Densité 273 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 19″ nord, 0° 48′ 22″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 117 m
Superficie 17,52 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Trait
(ville isolée)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Barentin
Législatives 5e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Le Trait

Le Trait est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

La commune se trouve sur la rive droite de la Seine, en bordure de la forêt domaniale du Trait-Maulévrier.

Elle fait partie du Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le Trait est reliée à Rouen et au Havre par la route départementale 982.

Le pont le plus proche permettant de traverser la Seine est le pont de Brotonne à Caudebec-en-Caux. Le bac le plus proche est celui de Yainville mais il existe aussi celui de Duclair.

Une ligne de bus fait la liaison sur la ligne Caudebec en caux (Rives en Seine)-Rouen ou Le trait-Rouen.

Il existe une solution de transport à la demande afin de pouvoir se déplacer dans les communes alentour.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jumièges à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 843,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Trait est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine du Trait, une unité urbaine monocommunale[11] de 4 942 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,9 %), zones urbanisées (10,3 %), prairies (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), eaux continentales[Note 3] (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), terres arables (2,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia parrochialis de Tractu et Yenvilla ou Ecclesia de Yeinvilla et Tractu en 1462[17]; Le Trait Yainville en 1648, 1704, et 1715; Le Trait en 1757[18].

La paroisse était ordinairement appelée Le Trait Yainville. Au point de vue civil cependant, le Trait dépendait de Caudebec et Yainville de Rouen. En 1790, elles forment deux communes du district de Caudebec-Yvetot[18].

François de Beaurepaire suggère d'expliquer ce toponyme par le latin trajectum « passage d'eau »[19], comprendre gallo-roman *TRAECTU. La forme moderne trajet (traject XVIe siècle, le trajet [« la traversée »] d'une riviere) est un emprunt à l'italien tragetto, influencé par le latin classique trajectus de même étymologie[20]. Le terme gallo-roman a aussi été emprunté par le germanique et on le retrouve comme appellatif toponymique sous les formes -tricht ou -trecht (Pays-Bas, Allemagne), par exemple dans Maastricht (P-B, [Ad] Treiectinsem [urbem] vers 575, Treiectensis en 634, Triecto, Triectu au VIIe siècle), Maas- désignant la Meuse, d'où le sens global de « passage d'eau sur la Meuse » ou Utrecht (Rheno Traiectum, puis Ultraiectum)[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

  • Présence préhistorique attestée dans la forêt.
  • Place forte au Moyen Âge, son château fort surplombant la Seine a été délaissé par ses propriétaires, les comtes de Maulévrier (titre alors appartenant à la famille du Fay), au profit d'une nouvelle demeure, le château du Taillis, à la Renaissance. Le château est toujours visible mais désormais situé sur la commune voisine de Duclair.
  • Bombardement du chantier naval par des Boeing B-17 Flying Fortress le  ; le 4 août et le [22], le 25 juin, et fin août 1944[23], le chantier est à nouveau bombardé.
  • En lisant le texte ci-dessous, largement inspiré du livre de Maurice Quemin, Le Trait berceau de 200 navires. Que sont-ils devenus ?, vous saurez pourquoi.

Ancien relais de poste du XVIe siècle, Le Trait, jadis village rural, a été pendant un peu plus d'un demi-siècle une cité industrielle et prospère. Au début du XXe siècle, le modeste village d'environ 400 âmes somnole en bordure de forêt avec la Seine comme décor et seulement traversé par un passage important reliant les abbayes de Saint-Wandrille et de Jumièges. Dès 1917, Le Trait, dont la population se compose exclusivement de laboureurs, pêcheurs ou bûcherons, va subir une transformation importante et devenir une ruche industrielle dont le nom va pendant plus de 50 ans rayonner dans le monde entier grâce à ses navires-ambassadeurs. En effet, au cours de la Première Guerre mondiale, le ministre de la Marine marchande, redoutant la pénurie de navires, s'intéresse à la construction navale et Le Trait, compte tenu de sa position géographique, retiendra l'attention des bâtisseurs qui dès 1916 transformeront la petite commune rurale en une ville champignon. C'est alors que commencera le recrutement de la main-d'œuvre. De Dunkerque à Nantes en passant par Brest, arriveront des professionnels, et de nombreux étrangers polonais, tchécoslovaques, yougoslaves, italiens, etc. s'installeront au Trait y faisant souche pour la plupart. De 1 800 habitants en 1926, la population s'accroît à 3 200 en 1936 pour atteindre plus de 6 000 habitants en 1972, date de la fermeture des chantiers navals. Ainsi, pendant plus d'un demi-siècle les chantiers construisent 200 unités d'une très haute technicité pour la Marine marchande et la Marine nationale.

Une cité-jardin y est construite en 1917, avec des maisons de style néo-normand à colombages de ciment[24].

Il existait deux bacs permettant de franchir la Seine[25] :

  • un passage piéton entre le Vieux-Trait et le lieu dit le passage du Trait à Heurteauville,
  • un passage ouvert à la circulation des véhicules (y compris poids lourds[26]) entre le centre de La Mailleraye-sur-Seine et la zone industrielle au nord de la commune.

Ce dernier bac ferme en 1977 après l'ouverture du pont de Brotonne.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la Métropole Rouen Normandie

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1835 1869 Jean-Baptiste Doucet    
1870 1873 Antoine Gustave Sécard    
1873 1878 Amédée Léon Delametterie    
1878 mai 1900 Adrien Boquet    
mai 1900 mai 1908 Alphonse Leroy    
mai 1908 décembre 1919 Paul Aubert    
décembre 1919 1933 Octave Pestel   Instituteur
1933 1941 Achille Dupuich    
1941 mai 1945 Eugène Hardy    
mai 1945 1974 Raymond Bretéché[27] SFIO Contremaître électricien, Résistant, syndicaliste
1974 mars 1977 René Vimbert DVD Directeur d'école
mars 1977 mars 2001 Roland Paris PCF  
mars 2001 2014 Jean-Marie Aline[28] DVG Chef-opérateur
Vice-Président de la CREA (2010 → 2014)
2014 En cours
(au 10 août 2020)
Patrick Callais DVG Électricien
Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune est classée « trois fleurs » au Concours des villes et villages fleuris[Quand ?].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 4 780 habitants[Note 4], en diminution de 6,62 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
476458448501464517530532570
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
543536522465504445466498460
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4273923661 5701 7672 9323 2003 5934 569
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6 4076 4086 3215 9175 4855 3975 2175 1865 239
2017 2021 - - - - - - -
4 9424 780-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Nicolas.
  • Église Saint-Nicolas[35].
  • Vestiges d'un château fort[36].
  • Bibliothèque.
  • Conservatoire de musique et de danse à rayonnement intercommunal Georges-Couvez.
  • Centre de loisirs Robert-Doisneau.
  • Centre social La Zertelle.
  • Urbanisation caractéristique : à l'instar des constructions du type « corons » (bassins miniers du Nord de la France), un type d'architecture cité-jardin[37] est notable sur la commune du Trait : les "maisons du chantier", qui ont progressivement remplacé les « baraquements » alors en place à la suite d'un accroissement massif de la population. Dans le quartier de la Neuville, ainsi que de part et d'autre de la voie principale, trois types d'habitations très homogènes ont été construits à l'initiative de la Société des Chantiers du Trait, essentiellement durant la première moitié du XXe siècle, à destination de ses employés. Bâties essentiellement à base de mâchefer et de style "anglo-normand", on dénombre ainsi, par zones urbaines séparées : les maisons dites « des ouvriers » (jumelées, 2 logements peu spacieux, toiture à 2 pans), "des contremaîtres" (jumelées, 4 logements plus spacieux, toiture à 4 pans), « des ingénieurs » (individuelles), des plus simples aux plus confortables. Ces ensembles forment aujourd'hui autant de quartiers pavillonnaires distincts. Architecte initial : Gustave Majou[38]
  • Maison métallique " Fillod " bénéficiant du label « Patrimoine du XXe siècle »[39].
  • Monument aux morts dû à Maurice Ringot. Inscrit aux monuments historiques par arrêté du [40].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le Trait dans les arts[modifier | modifier le code]

Le Trait est un lieu important dans la série audio Le Signe de l’ogre tirée du roman de Julien Lefebvre qui y a grandi[41].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Le Trait

Les armes de la commune du Trait se blasonnent ainsi :
Taillé d’azur et d’argent au léopard brochant de l’un en l’autre.[42]



Le léopard rappelle les armes de la Normandie.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jacques Derouard, Simples notes sur l'histoire du Trait, Le Trait, Groupe archéologique du Val de Seine, 1979
  • B. Maheut, « Histoire des chantiers navals du Trait », Musée maritime Rouen, no 7, 1985
  • Maurice Quemin (préf. Henri Nitot), Le Trait, berceau de 200 navires, que sont-ils devenus ?, Le Trait, M. Quemin, , 400 p. (ISBN 2-9502241-0-5, OCLC 462156668)
  • Paul Bonmartel, Le Trait, cité nouvelle, 1917-1944, 1995
  • Paul Bonmartel, Histoire du chantier naval du Trait 1917-1972, 1997
  • Paul Bonmartel, Histoire du patrimoine industriel de Duclair - Yainville - Le Trait 1891-1992, 1998
  • Gilbert Fromager (préf. Charles Carré), Le Canton de Duclair à l'aube du XXe siècle, Duclair, G. Fromager, , 163 p. (ISBN 2-9501653-0-3)
  • Gilbert Fromager, Le canton de Duclair : 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204 p. (ISBN 2-9501653-1-1)
  • Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 263 p. (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5), p. 84-93
    Sur le chantier naval.
  • Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 263 p. (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5), p. 232-233
    Sur la cité du Nouveau Trait.
  • « Le Trait », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) vol. 1, p. 448-449
  • Mathieu Bidaux et Christian Lebailly, 50 ans de construction navale en bord de Seine : les ACSM et leur cité-jardin (1917-1966), wormsetcie.com, 2017, 374 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Le Trait et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 du Le Trait », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duRouen », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1354, G. 4.
  18. a et b Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p. 988.
  19. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éd. Picard, 1979, p. 157.
  20. Site du CNRTL : étymologie de trajet (lire en ligne)
  21. Gysseling 1960, p. 646-647.
  22. Gontran Pailhès (préf. Pierre Varenne), Rouen et sa région pendant la guerre 1939-1945, Rouen, Henri Defontaine, , 309 p., p. 168, 172.
  23. Gilbert Fromager, Le canton de Duclair : 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204 p. (ISBN 2-9501653-1-1), p. 171.
  24. Luc Le Chatelier, « La cité-jardin a le droit de cité à Elbeuf », telerama.fr, 30 août 2018.
  25. Jean-Pierre Derouard, « Rive gauche, rive droite. Passages d'eau et relations entre les rives de la Seine », Études normandes, nos 43-4,‎ , p. 17-30 (lire en ligne)
  26. « Le bac du Hode, sur l'estuaire de la Seine », Le génie civil,‎ (lire en ligne)
  27. « Raymond Brétéché », Célébrités, sur seine76.fr (consulté le ).
  28. « Jean-Marie Aline », Célébrités, sur seine76.fr (consulté le ).
  29. « Municipales 2020 : le maire du Trait Patrick Callais se présente pour un deuxième mandat : Le maire sortant souhaite poursuivre son action engagée depuis 2014. Il vise un second mandat avec une liste apolitique », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Église Saint-Nicolas », notice no IA00021724.
  36. « Château fort », notice no IA00021723.
  37. Notice no ACR0000919.
  38. Gustave Majou (1862-1941) sur CTHS.fr.
  39. « Maison métallique " Fillod " », notice no PA76000096.
  40. Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2022.
  41. « Un thriller normand à écouter », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne).
  42. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.