Le Pont-de-Beauvoisin (Savoie)

Le Pont-de-Beauvoisin
Le Pont-de-Beauvoisin (Savoie)
Le Pont de Beauvoisin (Savoie) en février 2022
Blason de Le Pont-de-Beauvoisin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté de communes Val Guiers
Maire
Mandat
Christian Berthollier
2020-2026
Code postal 73330
Code commune 73204
Démographie
Gentilé Pontois
Population
municipale
2 087 hab. (2021 en augmentation de 0,77 % par rapport à 2015)
Densité 1 140 hab./km2
Population
agglomération
21 374 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 13″ nord, 5° 40′ 24″ est
Altitude Min. 232 m
Max. 303 m
Superficie 1,83 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Le Pont-de-Beauvoisin
(ville-centre)
Aire d'attraction Le Pont-de-Beauvoisin
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Pont-de-Beauvoisin (Savoie)
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web lepontdebeauvoisin.fr

Le Pont-de-Beauvoisin est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Elle est l'homonyme de la commune Le Pont-de-Beauvoisin en Isère, dont elle est séparée par le Guiers.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est situé dans la partie occidentale du département de la Savoie en limite du département de l'Isère. Il s'agit de l'une des communes adhérentes de la communauté de communes Val Guiers.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Le territoire du Pont-de-Beauvoisin est bordé par trois communes limitrophes, dont deux sont situées dans le département de l'Isère.

Communes limitrophes du Pont de Beauvoisin (Savoie)
Romagnieu (Isère)
Le Pont-de-Beauvoisin (Isère) Pont de Beauvoisin (Savoie) Domessin
Le Pont-de-Beauvoisin (Isère)

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Les territoires des deux communes homonymes se situent dans la plaine du Guiers à l'ouest des gorges de Chailles, formées par cette même rivière et qui sont l'exemple même d'une cluse typique du relief jurassien[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Pont sur le Guiers.

Le territoire de la commune est principalement bordé par le Guiers, un affluent du Rhône, rivière de type torrentiel d'une longueur de 50 kilomètres[2] qui marquait autrefois la frontière entre la France et les États de Savoie et qui sépare aujourd'hui les deux communes homonymes du Pont-de-Beauvoisin, la commune savoyarde étant située sur la rive droite.

Climat[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les principales voies routières qui desservent le territoire communal sont :

  • l'autoroute A43 qui relie Lyon à Chambéry passe à proximité des deux communes du Pont-de-Beauvoisin. Deux bretelles autoroutières situées au nord de la commune permet de rejoindre les deux bourgs :
Sortie 10 à 62 km : Le Pont-de-Beauvoisin Les Avenières, Les Abrets
Sortie 11 à 66 km : Bourg-en-Bresse, Le Pont-de-Beauvoisin, Belley, Saint-Genix-sur-Guiers
  • l'ancienne Route nationale 6, venant localement de Lyon et se dirigeant vers Chambéry dans un axe ouest-est. Cele-ci relie Lyon à Chambéry, puis à la frontière italienne, a été déclassée en route départementale 1006 (RD 1006) dans les départements français de l'Isère et de la Savoie. C'est cette route qui franchit le Guiers au niveau des centres-villes des deux communes homonymes.

Outre la route, la ville est desservie par une gare ferroviaire, accessible uniquement par le TER, unique pour les deux villes homonymes, et située en Isère, en dehors du centre-ville.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Pont-de-Beauvoisin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine du Pont-de-Beauvoisin, une agglomération inter-départementale regroupant 13 communes[6] et 21 374 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Pont-de-Beauvoisin, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (66,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (48 %), zones agricoles hétérogènes (26,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,1 %), prairies (6,6 %), terres arables (0,5 %)[11].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom latin de Pont de Beauvoisin est PONS BELLOVICINUS ou PONS BELLIVICINUS (beau voisin), et on trouve dans les écrits[12], Le Pont au IXe siècle, Pont de Belvezin au XIIe siècle, Belvoysin et Biauvoysin au XIIIe siècle.

Beauvoisin : de l'adjectif bas latin bellus (beau) et vicinium (voisinage, village)[13]. Voisin (vicinus), comme toponyme, est un dérivé du latin vicus (bourg, village)[14]. Pour le chanoine Adolphe Gros « Beauvoisin appartient à la série des toponymes provenant du bas latin bellum videre ou bellus visus, tels que Bellevue »[15].

Les noms officiels tels que définis par le Code officiel géographique pour les deux communes sont « Le Pont-de-Beauvoisin ». Toutefois, depuis le (date du rattachement de la commune de La Folatière), le nom utilisé localement pour les deux communes est « Pont-de-Beauvoisin » en Isère et « Le Pont-de-Beauvoisin » en Savoie. On va donc au Pont (en Savoie) et à Pont (en Isère) localement.

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Pon, selon la graphie de Conflans[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le bourg fut desservi, au début du XXe siècle, par deux chemins de fer secondaires :
- Le Tramway de Pont-de-Beauvoisin à Bompertuis des TOD (1909-1927)
- Le Tramway de Pont-de-Beauvoisin (TPB), qui reliait Saint-Genix d'Aoste à Saint-Béron (1897-1932), dont on voit ici une rame, place Carouge, tracté par une locomotive Pinguely.

Le Pont-de-Beauvoisin, doyenné du diocèse de Belley, situé au sud-ouest du Rhône et du Guiers, appartenant au Dauphiné, il ne fut plus considéré comme faisant partie du Bugey après que la maison de Savoie eu réalisé l'unité politique du territoire[17].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1371, Jean de Sômont, dit Cornu, est châtelain du Pont-de-Beauvoisin[18].

Ville française depuis l'annexion de la Savoie à la France en 1860[19].

La commune de Pont de Beauvoisin, de l'autre côté du Guiers, elle, devient française en 1349 par le rattachement du Dauphiné de Viennois à la France.

Ayant adhéré à la Ligue d'Augsbourg en 1690, Victor-Amédée II se rallie à la France en 1696. Un des principaux articles de la paix est le mariage de sa fille aînée Marie-Adélaïde, 11 ans, avec le duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV[20]. Le , Marie-Adélaïde arrive au Pont-de-Beauvoisin, conduite par Charles Philibert d'Este, marquis de Dronero, grand maréchal de Savoie. Elle se repose et se pare dans une maison préparée pour elle[21]. Elle franchit le pont François Ier[22]. Sur la rive dauphinoise, elle est accueillie par Henri de Lorraine, comte de Brionne, grand écuyer de France (« monsieur le Grand »)[23]. Sur ordre de Louis XIV, elle est d'ores et déjà traitée comme fille de France[24]. Sa maison[25] est déjà constituée, et se trouve là pour la recevoir. Elle dort sur place, et se met en chemin le lendemain[26].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Les deux villes frontières sont le lieu de certains des exploits de Louis Mandrin, capturé le au château de Rochefort, tout proche[27].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Durant l'été 2017, le nom des deux communes est cité par les médias nationaux et internationaux dans le cadre de ce qui deviendra « l'affaire Maëlys », celle-ci ayant comme point de départ la disparition inexpliquée d'une fillette de huit ans, Maëlys de Araujo, le dimanche vers trois heures du matin, lors d'une réception de mariage dans la salle des fêtes municipale du Pont-de-Beauvoisin (Isère).

Qu'il s'agisse de la victime et sa famille ou du principal suspect de l'affaire et sa famille, aucun des protagonistes de cette affaire n'est pontois, les deux communes n'étant concernées par cet événement qu'en raison du lieu de l'enlèvement de la fillette.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1805 1806 Henri Crétet[28]    
Les données manquantes sont à compléter.
? André Marter   Pharmacien
Réélu en 1983
Raymond Ferraud PS-DVG Professeur retraité
Réélu en 1995, 2001, 2008 et 2014
En cours Christian Berthollier[29] SE Artisan retraité, ancien adjoint
7e vice-président de la CC Val Guiers (2020 → )

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Au XXIe siècle, le centre ville est tombé en déshérence avec la fermeture de nombreux commerces de proximité de centre ville.
Le développement économique de la ville a été effectué à l'extérieur de la ville au détriment des terres agricoles avec la construction de la zone d'activité commerciale de la Baronnie et de lotissements dortoirs comme le Croibier, le Roulet ou Avenue Jean Moulin.

Les dernières zones naturelles de la commune sont

  • Les molasses et terrains inondables du vallon du Guiers aval.
  • Le ravin d'Aigue Noire.
  • Les terres agricoles de la ferme du Pendu et les coteaux de molasse du val de Guiers.
  • Le ravin de Pissevieille.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 2 087 habitants[Note 3], en augmentation de 0,77 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
1 0621 1031 3531 4531 3881 3951 3301 2421 054
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 2021 2401 6371 5831 4931 6201 5431 4071 269
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 0891 1571 0491 0631 1091 1301 1061 4121 403
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
1 6051 4261 5721 8411 8791 9972 0742 087-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le Pont-de-Beauvoisin est située dans l'académie de Grenoble.

La ville administre des écoles maternelles et des écoles élémentaires communales.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Une importante zone commerciale est située dans partie orientale du territoire communal, en limite de la commune de Dommessin.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments et lieux touristiques[modifier | modifier le code]

Le pont sur le Guiers[modifier | modifier le code]

La ville doit son nom au pont François Ier qui traverse le Guiers, rivière locale séparant deux villes qui portent le même nom, l'une en Savoie, l'autre en Isère. Ce pont, initialement en bois, fit l'objet d'un projet en pierre, datant de 1543, établi sous le roi François Ier (d'où son nom), mais il ne fut réalisé qu'en 1583, après la mort du souverain. En dos d'âne, il fut reconstruit avec un tablier plat pour permettre le passage des carrosses.

Détruit en 1940 pour s'opposer au passage des troupes d'occupation, il fut reconstruit avec des méthodes modernes (longerons métalliques) et recouvert d'une partie des pierres initiales. Le reste des pierres est encore visible dans le cours d'eau, depuis le pont[34].

Le pont démoli en 1940.
Reconstruction en 1945.

L'église des Carmes[modifier | modifier le code]

Elle date de 1419. Restauration par Emmanuel Crétet, natif de la ville.

  • architecture particulière avec nef à un seul bas-côté, typique des ordres mendiants.
  • chapelle des Dix Mille Martyrs (restaurée).
  • peintures (datant de 1844 et classées en 1987) sur les 2 800 m2 des murs et des voûtes, effectuées par les deux frères Alonzo et Giuseppe Antonio Avondo, décorateurs d'église piémontais (La Descente de Croix et le Christ de Gethsemani sont deux exemples remarquables de leurs travaux ici).
  • vitraux du XIXe siècle, tableau de Jacques de Clermont et de son épouse Jeanne de Poitiers, donateurs honorés par un blason.
  • pavement à 45 pierres tumulaires, dalles gravées.
  • pierres tombales de nobles, dont celle du noble Jean Louis, curiosité comportant deux pistolets. Celles de Henri Crétet (frère d'Emmanuel Crétet), Jean de Montbel, de Anne de Varax, de Charles-Gabriel Pravaz.

Plusieurs éléments de l'ancien couvent des Carmes font maintenant parties intégrantes de l'Hôtel de ville (comme la salle capitulaire, le jardin…).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Pont-de-Beauvoisin

De gueules à la croix d'argent cantonnée au chef dextre d'une étoile du même.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 305-318. ([PDF] lire en ligne)
  • Serge Guiboud-Ribaud, Chroniques d'une frontière sous l’Ancien Régime : Les 2 Pont de Beauvoisin (1500-1788), Paris, Books on Demand, , 508 p. (ISBN 978-2-322-03140-5)
  • « Mnémosyne (Revue) », sur le site de l'Association Mémoires des Pays du Guiers
  • L'ombre de Guignol. Magnard. 1998. Editions du Poutan. 2014. Jack Chaboud.
  • Petite brocante intime (nouvelles "Les bonbons à la menthe", "O bouteille ! O château !"). Collectif. Le Pré aux Clercs. 1999. Pocket. 2001. Flammarion. 2007. Jack Chaboud, avec Philippe et Martine Delem, Anne et Didier Convard...

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site géol-alp, page sur les gorges de Chailles
  2. Site sandre, fiche sur le Guiers
  3. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Unité urbaine 2020 du Le Pont-de-Beauvoisin », sur insee.fr (consulté le ).
  7. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duLe Pont-de-Beauvoisin », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Histoire de Pont-de-Beauvoisin », sur Le Musée Pontois, Les amis d'Albert (fondateur), 14/08/2006 (màj) (consulté en ).
  13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 5952..
  14. Alain Derville, La Société française au Moyen Âge, page 41 (ISBN 2859396217).
  15. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 366..
  16. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 22
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  17. Jacques Dubois, L'implantation monastique dans le Bugey au Moyen Âge, In : Journal des savants, 1971, no 1, p. 15.
  18. Jean Létanche, Les vieux châteaux, maisons fortes et ruines féodales du canton d'Yenne en Savoie, Le livre d'Histoire-Lorisse, 1907 (ISBN 9782843738135), p. 63.
  19. Site de la mairie du Pont de Beauvoisin, page Histoire.
  20. Saint-Simon, Mémoires, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », Paris, Gallimard, 1983, t. I, p. 299-302, 306 et 307.
  21. Saint-Simon, op. cit., p. 338.
  22. « Marie-Adélaïde de Savoie, une savoyarde primesautière », sur leblogdesmenines.blogspot.com, (consulté le ). — « Pont de Beauvoisin », sur savoie.forum-nation.com (consulté le ).
  23. Saint-Simon, op. cit., p. 306 et 307.
  24. Saint-Simon, op. cit., p. 339.
  25. Sa maison est constituée d'un chevalier d'honneur, d'une dame d'honneur, d'une dame d'atours, d'un premier écuyer, de six dames du palais, d'une première femme de chambre, d'un confesseur et d'un premier maître d'hôtel. Saint-Simon, op. cit., p. 307 et 308.
  26. Saint-Simon, op. cit., p. 338 et note 7.
  27. Voir histoire de Pont par le Musée Pontois« Mandrin : l'infiltration dans le château de Rochefort », sur gpo40.wordpress.com, (consulté le ).
  28. Annuaire statistique du département du Mont-Blanc pour l'an XIV (1805-1806), rédigé par Mr Palluel, secrétaire de la préfecture, Chambéry, page 19 (lire en ligne).
  29. « Conseil municipal : Christian Berthollier est le nouvel édile », Le Dauphiné,‎ (lire en ligne).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Photos du pont démoli et de sa reconstruction
  35. Romuald Szramkiewicz, Les régents et censeurs de la Banque de France nommés sous le Consulat et l'Empire, Genève, Librairie Droz, , page 298.
  36. Bordeaux (P.-E.), « Le général de Montfalcon, 1767-1845 », Mémoires et documents, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie , t. 69, 1932, p. 177-195.
  37. sa biographie sur Mémoires des Pays du Guiers