Kâzım Karabekir

Kâzım Karabekir
Kâzım Zeyrek
Kâzım Karabekir
Kâzım Karabekir dans les années 1920.

Naissance
à Istanbul
Décès (à 65 ans)
à Ankara
Origine Ottoman
Allégeance Drapeau de l'Empire ottoman Empire ottoman (1902-1919)
Gouvernement d’Ankara (1920-1923)
Drapeau de la Turquie Turquie (1923-1927)
Grade Général
Années de service 19021927
Conflits Guerres balkaniques

Première Guerre mondiale
Première guerre arméno-turque

Seconde guerre arméno-turque

Kâzım Karabekir
Illustration.
Kâzım Karabekir en 1939.
Fonctions
Président de la Grande Assemblée nationale de Turquie

(1 an, 5 mois et 21 jours)
Prédécesseur Mustafa Abdülhalik Renda
Successeur Ali Fuat Cebesoy
Président du Parti républicain progressiste

(6 mois et 19 jours)
Prédécesseur création du parti
Successeur dissolution du parti
Membre de la Grande Assemblée nationale de Turquie

(7 ans)
Circonscription Edirne
Istanbul
Législature Ier, IIe

(8 ans et 10 mois)
Circonscription Istanbul
Législature Ve, VIe, VIIe, VIIIe
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Istanbul, Empire Ottoman
Date de décès (à 65 ans)
Lieu de décès Ankara, Turquie
Parti politique Parti républicain du peuple (1923-1924; 1939-1948)
Parti républicain progressiste (1924-1925)
Profession Militaire

Signature de Kâzım Karabekir

Kâzım Karabekir
Liste des présidents de la Grande Assemblée nationale de Turquie

Musa Kâzım Karabekir (, Istanbul - , Ankara) était un officier militaire, un politicien et un homme d'État de l'Empire ottoman puis de Turquie.

Il prend part aux guerres balkaniques de 1912-1913 et à la Première Guerre mondiale dans l'armée ottomane, puis rejoint la lutte de Mustafa Kemal Atatürk et participe à la guerre d'indépendance turque sur le front est.

Cofondateur de l'éphémère Parti républicain progressiste en 1924, il demeure en résidence surveillée jusqu'à la mort d'Atatürk (1938), à la suite de la tentative de certains opposants de l'assassiner à Smyrne en 1926[1].

Il est président de la Grande assemblée nationale de Turquie de 1946 à sa mort en 1948.

Sources et références[modifier | modifier le code]

  1. Jacques Ould Aoudia, « Zakya Daoud La révolution arabe, espoir ou illusion (1798-2014) ? Perrin, 400 p. », Confluences Méditerranée, vol. N° 96, no 1,‎ , p. II–II (ISSN 1148-2664, DOI 10.3917/come.096.0164b, lire en ligne, consulté le )