Jean-Michel Othoniel

Jean-Michel Othoniel
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Jean-Michel Othoniel, né le à Saint-Étienne, est un artiste contemporain et sculpteur français connu pour ses créations en perles ou briques de verre.

Biographie[modifier | modifier le code]

Né en [1], Jean-Michel Othoniel est diplômé de l'École nationale supérieure d'arts de Cergy-Pontoise en 1988. Sa notoriété commence par ses œuvres exposées à la documenta de Cassel en 1992, des sculptures en soufre. Il privilégie les matériaux aux propriétés réversibles, par goût pour les métamorphoses, sublimations et transmutations[2],[3].

En , lors d'un voyage sur les îles Éoliennes pour voir du soufre natif, un volcanologue lui explique l'obsidienne, le verre naturel des volcans en lui précisant que celui qui arriverait à faire fondre de la pierre ponce en obtiendrait de l'obsidienne. Revenu en France, Jean-Michel Othoniel coopère avec le «centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques» (cirva) pendant deux années de recherches[4].

À partir de , il introduit le verre dans son travail et en expérimente les propriétés; transformations, mutations de la matière et passages d’un état à un autre font écho à un autre rite fondamental dans l’œuvre de l’artiste, celui du voyage et du souvenir. Il participe en 1994 à l’exposition «Féminin/Masculin» au Centre Pompidou. En 1996, la villa Médicis à Rome l'accueille en tant qu'artiste pensionnaire[5].

En , il crée Le Collier Cicatrice, petit collier de verre rouge qu’il offre à qui veut le porter avec fierté[6]. En 1996, il suspend des colliers de géants dans les bambous du jardin de la villa Médicis, puis aux arbres du jardin vénitien de la collection Peggy Guggenheim (1997), ainsi qu’à l’Alhambra et au Généralife, à Grenade (1999)[5].

En , un siècle après Hector Guimard, Jean-Michel Othoniel transforme, dans le cadre de sa première commande publique, la station de métro parisienne, Palais Royal-Musée du Louvre, en Kiosque des noctambules[5]; deux couronnes de verre et d’aluminium dissimulent un banc destiné aux rencontres fortuites dans la ville[7].

À l'occasion de l’exposition « Crystal Palace » à la Fondation Cartier pour l'art contemporain à Paris en et au musée d’art contemporain de North Miami en , il fait réaliser à Venise et au Centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques de Marseille (cirva) des formes de verre soufflé, destinées à devenir d’énigmatiques sculptures, entre bijoux, architectures et objets érotiques.

Fin , Le Petit Théâtre de Peau d’Âne[8] est présenté sur la scène du Théâtre de la Ville de Rochefort puis au théâtre du Châtelet à Paris. C’est une installation composée de quatre dressoirs de bois laqué, de trente-cinq maquettes en verre filé, d’autant de globes et d’énormes vertugadins brodés d’or et de paillettes. L’artiste, qui a retrouvé dans la maison de Pierre Loti les petites marionnettes fragiles de l’enfance du célèbre écrivain français, leur offre ici son œuvre comme décor.

La même année, Othoniel investit les salles mésopotamiennes du musée du Louvre[5] dans le cadre de l’exposition «Contrepoint». Ses sculptures monumentales de verre et d’aluminium, réalisées spécialement pour l’histoire des lieux, prennent là une dimension calme et intemporelle. La grande Rivière Blanche aux perles constellées de pointes de seins a été acquise par le musée d'art moderne de la ville de Paris en 2004. À l’occasion de Art Unlimited 2005, il expose Le Bateau de larmes dans le bassin situé devant l’entrée de Art Basel. L’artiste, dont le travail lie souvent l’intime au politique, a récupéré et utilisé une barque abandonnée par des boat-people cubains sur les plages de Miami. Une couronne, des chaînes et des colliers, tous de verre coloré, se transforment en leurs extrémités en d’énormes larmes de cristal limpide.

En , il propose Peggy’s Necklace, un monumental collier de verre bleu sur la façade de la collection Peggy Guggenheim à Venise. Puis en 2008 et 2009, il expose à la galerie Perrotin à Paris, chez Sikkema Jenkins & Co à New York ainsi qu'à la galerie Karsten Greve de Cologne et Saint-Moritz.

« My Way», la première rétrospective qui lui est consacrée, est présentée en 2011 au Centre Pompidou à Paris[7] et au Plateau / Samsung Museum of Art à Séoul, puis en 2012 au musée d'art contemporain de Hara à Tokyo, au Macao Museum of Art à Macao et enfin au Brooklyn Museum à New York[9].

En , une invitation du musée Delacroix à Paris lui permet de dialoguer avec ce lieu chargé d’histoire à travers une série de sculptures inspirées de l’architecture des fleurs et de planches de son Herbier Merveilleux. Au printemps 2013, le Mori Art Museum de Tokyo lui commande, pour son 10e anniversaire, Kin no Kokoro, une œuvre monumentale installée de façon pérenne dans le jardin japonais Mohri Garden. Pour l'aménagement des Rives de Saône[Note 1], l'artiste a imaginé sur l'ancienne écluse de Caluire un belvédère constitué de perles de verre coloré qui répond à des lanternes installées sur l'île Barbe. L’œuvre a été inaugurée en .

Dans le cadre d'une nouvelle commande publique, il investit le parvis de l'hôtel-Dieu du Puy-en-Velay en 2014 et crée une sculpture monumentale, conçue spécifiquement pour ce lieu, Le Cœur de l'hôtel-Dieu. En , Jean-Michel Othoniel inaugure «Secret Flower Sculptures» au musée Isabella Stewart Gardner, à Boston. Cette exposition voyage ensuite, à l’automne, à San Francisco. En à Versailles, l'artiste dévoile Les Belles Danses[7], trois sculptures fontaines installées sur les bassins du nouveau bosquet du Théâtre d’Eau réaménagé par le paysagiste Louis Benech.

En septembre , Jean-Michel Othoniel dévoile une œuvre d'art totale et monumentale, Le Trésor de la Cathédrale d'Angoulême, sur laquelle il a travaillé pendant plus de huit ans[10].

En hommage à Gustave Le Gray qui réalise en 1857 à Sète la toute première photographie d'une vague, l'artiste présente au Centre régional d'art contemporain Occitanie (Sète) en 2017 The big wave, une œuvre monumentale large de 15 mètres, haute de 6 mètres et composée de 10 000 briques de verre noir[11].

C'est en qu'il réalise Alfa pour le Nouveau Musée national du Qatar, conçu par l'architecte Jean Nouvel, un projet conçu à l'échelle monumentale du bâtiment. L'œuvre comprend 114 sculptures fontaines dont les jets d'eau évoquent les formes fluides de la calligraphie arabe[12].

Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts le au fauteuil no 5 en remplacement d'Eugène Dodeigne (1923-2015)[13] et installé officiellement sous la coupole de l'Institut de France le [14]. À l'automne de la même année, il est nommé directeur de la Villa Dufraine, à Chars[15].

En , Jean-Michel Othoniel expose au Musée du Louvre une nouvelle série de peintures spécialement créées pour les 30 ans de la pyramide sur les murs de la cour Puget, que le musée décide de faire entrer dans ses collections de façon pérenne l'année suivante[16].

En , le Petit Palais invite l'artiste à investir le jardin et les salles des collections permanentes afin de présenter une exposition jouant avec l'architecture du lieu. Avec Le Théorème de Narcisse, il offre un parcours d'émerveillement au visiteur. Au même moment, Jean-Michel Othoniel inaugure sa Tour d'Or Blanc, à Amboise, nouvelle œuvre d'art publique, réalisée en collaboration avec les vignerons de la Loire. L'année 2021 est également marquée par son installation officielle à l'Académie des beaux-arts (France), qui s'attache à promouvoir et encourager la création artistique et veiller à la défense du patrimoine culturel français[17].

Dans la continuité de l'exposition au Petit Palais, Jean-Michel Othoniel poursuit son travail dans les jardins avec Treasure Gardens au Seoul Museum of Art et dans un des jardins du Deoksugung à l'été 2022.

Pour les 110 ans de la création du Palais idéal de Ferdinand Cheval, l'artiste est invité par le directeur Frédéric Legros à créer une exposition temporaire qui vient telle une prolongation du rêve du facteur animer le célèbre monument d'eau et de lumière avec la création spéciale d'œuvres, de sculptures-fontaines et vitraux[18].


Décorations[modifier | modifier le code]

Œuvres in situ[modifier | modifier le code]

Commandes publiques[modifier | modifier le code]

  • 2000 : Le Kiosque des Noctambules, Place Colette, Métro Palais-Royal - Musée du Louvre, Paris ;
  • 2004 : Le Mât des Utopistes, station de métro Balma-Gramont, Toulouse.
  • 2007 :
    • Les Larmes de couleurs, Parvis du collège Arthur-Rimbaud, Amiens ;
    • Le Confident, Square Doyen-Lépine, Tramway de Nice, Nice.
  • 2008 : La Fontaine des cœurs renversés, Jardin Pontevès, Musée international de la parfumerie, Grasse ;
  • 2013 : Le Belvédère et Les Lanternes de l’île Barbe, in « River Movie », Caluire, Grand Lyon.
  • 2014 :
    • Le Cœur de l’Hôtel Dieu, Parvis de la Cathédrale, Le Puy-en-Velay ;
    • La Rose des vents, Cité Beisson, Aix-en-Provence.
  • 2015 :
    • Les Belles Danses, Bosquet du Théâtre d’Eau, Jardins du Château de Versailles, Versailles ;
    • Le Trésor, Cathédrale Saint-Pierre d’Angoulême, Angoulême ;
  • 2021 :
    • La Tour d'Or Blanc, Amboise.

Expositions (sélection)[modifier | modifier le code]

Expositions personnelles récentes[modifier | modifier le code]

  • 2022 :
    • Treasure Gardens", Séoul Museum of Art et jardin du Deoksugung Palace, Seoul ;
    • Le rêve de l’eau", Palais idéal du facteur Cheval, Hauterives[21] ;
  • 2021 :
    • Le théorème de Narcisse", Petit Palais, Paris[22] ;
    • Wild Rosebuds", Galerie Perrotin, New York[23] ;
    • Nœuds sauvages", Arsenal art contemporain, Montréal[24].
  • 2020 :
    • New Works", Kukje Gallery, Séoul[25].
  • 2019 :
    • Othoniel", Galerie Perrotin, Shanghai[26] ;
    • Iles Singulières", Château La Coste, France[27] ;
    • Nudos Salvajes – Arte y matematicas", Centro Cultural Kirchner, Buenos Aires[28] ;
    • La Rose du Louvre", Musée du Louvre, Paris[29] ;
    • Oracles", Galerie Perrotin, Paris[30].
  • 2017 :
    • Géométries amoureuses", Crac - Centre régional d’art contemporain Occitanie, Sète et Carré Sainte-Anne, Montpellier[34].

Collections[modifier | modifier le code]

Ouvrages dont il est l'auteur ou l'illustrateur[modifier | modifier le code]

  • Jean-Michel Othoniel et Sophie Schmit-Angremyel, Jean-Michel Othoniel, Saint-Étienne, éditions des Cahiers intempestifs (Éditions Printer), , 20 p. (ISBN 2-911698-07-X).
  • Laurent Boudier et Jean-Michel Othoniel, Le Kiosque des noctambules, Paris, Éditions Flohic, , 78 p. (ISBN 978-2-7053-3672-1).
  • Jean-Michel Othoniel, Le Petit Théâtre de Peau d’Âne, Pierre Loti/Jean-Michel Othoniel, Arles, Mairie de Rochefort-sur-Mer, , 127 p. (ISBN 978-2-9508943-2-8).
  • Jean-Michel Othoniel, L'édredon cellulique, Mouzon, Musée du Feutre, Mouzon, , 40 p. (ISBN 978-2-914882-07-1 et 2-914882-07-6).
  • Jean-Michel Othoniel, L'Herbier Merveilleux : Notes sur le sens caché des fleurs dans la peinture, Arles, Actes Sud, coll. « Arts plastiques », , 144 p. (ISBN 978-2-7427-7622-1).
  • Jean-Michel Othoniel, Les Nœuds de Janus, Paris, Éditions Dilecta, , 24 p. (ISBN 978-2-916275-60-4).
  • Bernard Marcadé (trad. Sandra Reid, ill. Jean-Michel Othoniel), Un cœur abstrait, Arles, Actes Sud & The Monaco Project for the Arts/Othoniel Studio, coll. « Arts plastiques », , 142 p. (ISBN 978-2-7427-8453-0).
  • Jean-Michel Othoniel, Why Glass ?, Paris, Éditions Jannink, 2010, accompagné d’un miroir en obsidienne, 48 p. (ISBN 978-2-916067-44-5). Édition courante sans l’œuvre (ISBN 978-2-916067-45-2).
  • Jean-Michel Othoniel, Herbier merveilleux, Paris, Co édition Actes Sud / musée Isabella Stewart Gardner, 2015, 192 p.
  • Jean-Michel Othoniel, Le Trésor de la cathédrale d'Angoulême, Paris, a.p.r.e.s éditions, 2016, 144 p. et DVD du film Le Trésor d'Angoulême de Gilles Coudert et Damien Faure (a.p.r.e.s production / 52 min).
  • [2017] (fr + en) Othoniel, Édouard Aujaleu, Nicole Kerangueven, Numa Hambursin (Commissaire d'exposition) et al., Carré Sainte-Anne (Montpellier), Géométries amoureuses - Se collectionner soi-même, 1992-2016, le verre, vol. 2, Paris, Lienart éditions, , n.p.-31, 24 cm (ISBN 978-2-35906-205-2 et 2-35906-205-0, OCLC 1003643625, SUDOC 20379995X, présentation en ligne).
  • Jean-Michel Othoniel, L'Herbier merveilleux. Notes sur le sens caché des fleurs du Louvre, Paris, Co édition Actes Sud / musée du Louvre, 2019, 208 p.
  • Jean-Michel Othoniel, Le Théorème de Narcisse, Paris, Co-édition Actes Sud / Perrotin, 2021, 64 p. (ISBN 978-2-330-15645-9)
  • Marie Darrieussecq, Frédéric Legros et Jean-Michel Othoniel, Le Rêve de l'eau, Jean-Michel Othoniel au Palais idéal du facteur Cheval, éditions Dilecta, 2022, 126 p.[35]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « River Movie », commissariat Jérôme Sans.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Jean-Michel Othoniel », sur Cnap (consulté le ).
  2. Jérémie Glaize, « Jean-Michel Othoniel élu à l’Académie des Beaux-Arts », Journal des Arts,‎ (lire en ligne).
  3. « Jean-Michel Othoniel, l'artiste aux colliers de lumière », L'Express,‎ (lire en ligne).
  4. Annick Colonna-Césari et Christine Kerdellant, « Jean-Michel Othoniel : Réenchanter la vie est un acte poétique et politique », L'Express,‎ , p. 12-15.
  5. a b c et d Thomas Guillemyn, « Jean-Michel Othoniel élu à l’Académie des beaux-arts », Connaissance des Arts,‎ (lire en ligne).
  6. Élisabeth Couturier, « Le collier cicatrice de J.-M. Othoniel », Journal des Arts,‎ (lire en ligne).
  7. a b et c Marie-Anne Kleiber, « Les mues du plasticien Jean-Michel Othoniel », Le Journal du dimanche,‎ (lire en ligne).
  8. Le Point magazine, « Le monde enchanté de Jean-Michel Othoniel, Peter Pan de l'art contemporain », sur Le Point, (consulté le )
  9. [PDF] Communiqué de presse de clôture de l'exposition, Centre Pompidou.
  10. « Découvrez le Trésor de la cathédrale Saint-Pierre d’Angoulême en vidéo », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
  11. « Archives des expositions Art Contemporain - CRAC OCCITANIE à Sète - Centre Régional d'Art Contemporain OCCITANIE / Pyrénées-Méditerranée », sur crac.laregion.fr (consulté le )
  12. (en) « Jean-Michel Othoniel’s “ALFA” at the National Museum of Qatar », sur Whitewall (consulté le )
  13. « Jean-Michel Othoniel », sur Académie des beaux-arts, (consulté le ).
  14. « À l'installation de Jean-Michel Othoniel, académicien encore vert, sous la Coupole », sur www.lefigaro.fr, (consulté le )
  15. « Jean-Michel Othoniel élu directeur de la Villa les Pinsons », sur The Art Newspaper, (consulté le ).
  16. « Lumière sur la sculpture », sur Le Louvre (consulté le )
  17. (en-US) Elaine Sciolino, « A Glittering Honor for a Master of Glass », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  18. « Jean-Michel Othoniel », sur Le Palais Idéal du Facteur Cheval (consulté le )
  19. « Septembre à décembre », sur FranceArchives (consulté le )
  20. « Légion d'honneur : la liste des promus du 1er janvier 2022 », sur Le Figaro, (consulté le ).
  21. « Jean-Michel Othoniel s’immisce chez le facteur Cheval », sur LEFIGARO, (consulté le )
  22. « Jean-Michel Othoniel réenchante le Petit Palais avec son art de l'émerveillement », sur Numéro Magazine (consulté le )
  23. (en-US) « Whitewall: Art, Design, Fashion, and Luxury Lifestyle », sur Whitewall (consulté le )
  24. « Arsenal | Les nœuds sauvages d’Othoniel », sur La Presse, (consulté le )
  25. (en-US) « Jean-Michel Othoniel », sur www.artforum.com (consulté le )
  26. (en) « Exhibition | 'Jean-Michel Othoniel' at Perrotin, Shanghai, China », sur ocula.com, (consulté le )
  27. « Jean-Michel Othoniel. Iles singulières au château La Coste | Gazette Drouot », sur gazette-drouot.com, (consulté le )
  28. (es) « Se inaugura la exposición “Nudos Salvajes”, Aubin Arroyo y Jean-Michel Othoniel juntos en el Centro Cultural Kirchner en Buenos Aires », sur Instituto de Matemáticas, UNAM (consulté le )
  29. « Au Louvre, Jean-Michel Othoniel voit la vie en roses », sur www.telerama.fr, (consulté le )
  30. (en-US) « Paris – Jean-Michel Othoniel at Galerie Perrotin Through June 8th, 2019 » (consulté le )
  31. « Motion – Emotion - until November 11, 2018, MMFA - The Montrealer », sur themontrealeronline.com (consulté le )
  32. « Invité culture - «Face à l’obscurité», une exposition de Jean-Michel Othoniel », sur RFI, (consulté le )
  33. (en) Brienne Walsh, « In "Dark Matters," An Exhibition By Jean-Michel Othoniel, Nature Flourishes Wildly », sur Forbes (consulté le )
  34. « Les "Géométries amoureuses" d'Othoniel exposées à Montpellier et Sète », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  35. « Othoniel Facteur Cheval catalogue d'exposition », sur Éditions Dilecta (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Bernard Marcadé, Othoniel, Arles, Actes Sud, , 70 p. (ISBN 978-2-86869-913-8).
  • Teresa Blanch et Felip Cid, Jean-Michel Othoniel, Barcelone, Galeria Senda, , 10 p.
  • Marie-Laure Bernadac et Bernard Marcadé, Féminin masculin : le sexe de l'art, Paris, Editions du Centre Pompidou / Gallimard-Electa, , 400 p. (ISBN 2-85850-827-5).
  • Catherine Flohic et Jean-Luc Flohic, Jean-Pierre Pincemin & Jean-Michel Othoniel, Paris, Eighty magazine S.A.R.L, .
  • Jean-Michel Othoniel, Grenade, Diputación de Granada/Sala de Exposiciones Rekalde, , 122 p. (ISBN 84-7807-264-0).
  • Edith Doove, Jean-Michel Othoniel. Colliers, Deurle, Museum Dhondt-Dhaenens, , 12 p. (ISBN 90-76034-15-X).
  • Jacques Beauffet et Emilio Flores Siller, Othoniel, Lágrimas, Saint-Étienne/Monterrey, Musée d'art moderne de Saint-Étienne/Galeria del Museu Vidrio de Monterrey, , 18 p.
  • Juan Vicente Aliaga, Othoniel. Pluie d'or, Valence, Generalitat Valenciana, , 84 p. (ISBN 84-482-3152-X).
  • Hélène Kelmachter, Othoniel, Crystal Palace, Paris/Arles, Fondation Cartier pour l'art contemporain/Actes Sud, , 112 p. (ISBN 978-2-7427-4703-0).
  • Alain Dominique Perrin, Fondation Cartier pour l'art contemporain, Arles/Paris, Fondation Cartier / Actes Sud, , 394 p.
  • (fr + en) Collectif, Le Petit Théâtre de Peau d’Âne, Pierre Loti/Jean-Michel Othoniel, Rochefort-sur-Mer, Mairie de Rochefort-sur-Mer, .
  • Marie-Laure Bernadac, Henri Loyrette et Francis Mayer, Contrepoint, L'art contemporain au Louvrel, Paris, Connaissance des arts, Hors-série, .
  • Laurent Boudier, Ma bibliothèque, Paris, Héritage Architectural, , 40 p. (ISBN 2-915096-08-2).
  • Christine Angot, Othoniel, Paris, Éditions Flammarion, coll. « Monographies », , 160 p. (ISBN 978-2-08-011625-3).
  • Françoise Guichon et Mona Thomas, L'artiste, l'atelier, le verre, Tacoma, Editions Xavier Barral, CIRVA, , 246 p. (ISBN 978-2-915173-14-7).
  • Laurent Le Bon et Marcel Tavé, Quinette à Ankara, Ankara, Ministère des Affaires Etrangères/Ambassade de France à Ankara Turquie/Institut Français d'Ankara, .
  • (tr + en) Collectif, Le Petit Théâtre de Peau d'Âne : Pierre Loti/Jean-Michel Othoniel, Istanbul, .
  • Juli Cho Bailer, Mining Glass, Tacoma, Museum of Glass, , 36 p. (ISBN 978-0-9726649-3-6).
  • Catherinel Grenier, Othoniel : ouvrage accompagnant l'exposition… présentée au Centre Pompidou, [Paris], Galeries du Musée et Galerie des enfants, du 3 mars au 23 mai 2011, au Leeum Samsung Museum of art, Séoul, Corée du Sud, à l'été 2011, au Hara Museum of contemporary art, Tokyo, Japon, à l'automne 2011, et au Brooklyn Museum, New York, États-Unis, au printemps 2012, Paris, Centre Pompidou, , 258 p. (ISBN 978-2-84426-459-6).
  • (en) Collectif, Paris-Delhi-Bombay… l’exposition, Paris, Centre Pompidou, , 60 p. (ISBN 978-2-84426-527-2).
  • Sophie Duplaix, Paris-Delhi-Bombay…, Paris, Centre Pompidou, , 364 p. (ISBN 978-2-84426-526-5).
  • (ko) Sim EunLog, Jean-Michel Othoniel, Séoul, ACC, , 192 p. (ISBN 978-89-967104-0-0).
  • Soyeon Ahn, My Way, Séoul, Leeum Samsung Museum, , 112 p.
  • Toshio Hara et Masami Tsubouchi, My Way, Tokyo, Hara Museum of Contemporary Art, , 86 p. (ISBN 978-4-904458-05-1).
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  • Ashok Adicéam et Paul Ardenne, La Belle & la Bête, Bordeaux, Édition Institut Culturel Bernard Magrez, , 94 p.
  • Bernard Marcadé, À bruit secret, Cologne, Galerie Karsten Greve, , 127 p. (ISBN 978-3-940824-47-9).
  • (ko) Catherine Grenier, Othoniel : My Way, Italie, Skira, , 264 p. (ISBN 978-88-572-1421-4).
  • Sim Eunlog, L'île dans ma tête, Séoul, Jaimimage, , 50 p. (ISBN 978-89-86565-63-8).
  • Christophe Leribault, Delacroix, Othoniel, Creten. Des fleurs en hiver, Paris, Le Passage/Musée du Louvre, , 159 p. (ISBN 978-2-84742-199-6).
  • Fumio Nanjo, All you need is love : From Chagall to Kusama and Hatsune Miku, Mori Art Museum, Japon, Heibonsha Ltd. Publishers, , 212 p. (ISBN 978-4-582-20671-5).
  • Rosa Barovier Mentasti et Cristina Tonini, Fragile, Murano, chefs-d'œuvre de verre de la Renaissance au XXIe siècle, Paris, Edition Gallimard, , 228 p. (ISBN 978-2-07-014060-2).
  • Ashok Adicéam, Rêves de Venise, Bordeaux, Édition Institut Culturel Bernard Magrez, , 90 p.
  • Sylvie Mallet, Dinard, l'Amour Atomique, Dinard, Production de la ville de Dinard, , 155 p.
  • Christian Lacroix, Mon île de Montmajour, Arles, Actes Sud, 2013, 114 p.
  • Yves Sabourin, Tresses 13, La Terrasse sur Dorlay, Editions lyrics 21 / nonpareilles, (ISBN 979-10-90248-03-8).
  • Dominique Janvier, La Pionnière, revue, no 3, Paris, La Pionnière, 2013, 56 p. (ISBN 2-908092-63-8).
  • Collectif, Trésors de Beisson, Marc Couturier - Jean-Michel Othoniel, Aix-en-Provence/Paris, Musée Granet & Beaux-Arts de Paris, 2013, 182 p.
  • Catherine Grenier, épiphanies, Arles, Actes Sud/Le Puy-en-Velay, 2014, 128 p.
  • Gay Gassmann, Catherine Grenier, Robert Storr, Jean-Michel Othoniel, Paris, Phaidon, 2019, 160 p.
  • Marie Desplechin, œuvres de Jean-Michel Othoniel, Les Belles Danses, Éditions Courtes et longues, 2015.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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