Interdiction des plastiques à usage unique

pailles en plastique, particulièrement symbolique de la proliférations des déchets plastiques

Les mesures d'interdiction des plastiques à usage unique sont des textes législatifs instaurés par plusieurs pays afin d’interdire la distribution d’objets jetables en plastique à partir du début des années 2010. Ces mesures sont principalement motivées par la prise de conscience des risques de la pollution plastique, particulièrement en milieu océanique.

Contexte et motivations[modifier | modifier le code]

Juridictions européennes[modifier | modifier le code]

Union européenne[modifier | modifier le code]

En 2019, au terme d'un processus législatif inhabituellement rapide, une procédure législative ordinaire européenne est adoptée[1] interdisant, avec effet en 2021, une dizaine de catégorie d'articles en plastique à usage unique : vaisselle en plastique, cotons-tiges, gobelets, barquettes en polystyrène de la restauration à emporter.

Autres juridictions[modifier | modifier le code]

Juridictions asiatiques[modifier | modifier le code]

Chine[modifier | modifier le code]

Inde[modifier | modifier le code]

Juridictions nord-américaines[modifier | modifier le code]

Juridictions africaines[modifier | modifier le code]

En juillet 2019, grâce à l'action de l'écologiste Gloria Majiga-Kamoto, la Cour suprême du Malawi a statué que la fabrication, la commercialisation, la vente et l'utilisation de plastique à usage unique (60 micromètres ou moins) sont illégales[2].

Juridictions d'Amérique du Sud[modifier | modifier le code]

Effets[modifier | modifier le code]

Réduction attendue du volume de déchets[modifier | modifier le code]

Adaptation des industries concernées[modifier | modifier le code]

Impacts négatifs et effets pervers possibles[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

  • Hélène Seingier, Réduire son empreinte plastique, Ulmer, coll. « Résiliences », , 128 p. (ISBN 9782379222870).