Fantozzi alla riscossa

Fantozzi alla riscossa

Réalisation Neri Parenti
Scénario Leonardo Benvenuti, Piero De Bernardi, Paolo Villaggio, Neri Parenti, Alessandro Bencivenni, Domenico Saverni
Acteurs principaux
Sociétés de production Cecchi Gori Group, Tiger Cinematografica, Maura International Films, Penta Film
Pays de production Drapeau de l'Italie Italie
Genre comédie
Durée 82 min
Sortie 1990

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Fantozzi alla riscossa, est une comédie italienne réalisée par Neri Parenti et sortie en 1990 ; il s'agit du septième chapitre de la saga des aventures du personnage fictif Ugo Fantozzi.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Le film renoue avec les habitudes de la série en présentant des épisodes en cascade :

  1. Fantozzi est invité par la Megaditta dans une cérémonie d'accueil des nouveaux, comme un exemple à ne pas suivre pour faire carrière.
  2. Fantozzi croit pouvoir servir d'agent à sa petite fille, Ughina, qu'un producteur de cinéma voudrait embaucher, mais il y renonce quand il comprend que c'est à cause de son aspect simiesque qu'on veut la faire jouer dans La planète des singes 5.
  3. Juge populaire incorruptible, Fantozzi subit les menaces et les brutalités de la mafia, y compris un viol de sa fille et de lui-même ; il finit par être condamné lui-même et emprisonné, mais en sort au bout de six mois pour maladie mentale.
  4. Après une visite à un psychanalyste, Fantozzi décide d'exprimer sa violence intérieure et prend des leçons auprès d'un supporter anglais, un hooligan.
  5. Passant son examen final de violence, Fantozzi le réussit en se trompant de cible (il s'agit de Barambani, son directeur d'entreprise qui lui en avait fait voir de toutes les couleurs); mais à peine reconnu dans son nouveau statut et sa "réussite", il est arrêté par la Guardia di Finanza et condamné pour banqueroute frauduleuse.
  6. Il sort de prison pour infirmité mentale, entre autres grâce au best seller écrit par son épouse : Comment vivre avec un raté et être heureux. Mais les trop nombreuses accusations portées par son épouse dans le livre amènent Fantozzi à demander le divorce, et à une tentative de vie en couple avec Mlle Silvani.
  7. Devant l'échec de son installation avec sa dulcinée de toujours, il se tourne vers une agence matrimoniale dotée d'un super programme informatique pour détecter l'âme sœur : c'est son épouse Pina qui est désignée, et il la retrouve comme si rien ne s'était passé.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Remarques[modifier | modifier le code]

  • Comme dans le film précédent, Fantozzi va in pensione, la majorité des mésaventures de Fantozzi sont d'ordre privé et non plus professionnel, puisqu'il est à la retraite. Pour autant, Fantozzi semble y avoir plus d'initiatives qu'à l'ordinaire : elles n'aboutiront pas plus à quelque chose de positif. Est encore utilisée la violence disproportionnée, dite parfois slapstick.
  • Ce septième chapitre renoue avec le style « anecdotique » de la saga, que le sixième avait un peu délaissé : les épisodes sont moins liés entre eux par une trame unitaire que par des transitions fantaisistes.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Il s'agit du fils de Paolo Villaggio

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Les autres films de la saga Fantozzi

Lien externe[modifier | modifier le code]