Esther Staubli

Esther Staubli
Fonction
Arbitre FIFA (en)
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (44 ans)
BerneVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Période d'activité
depuis Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Sport

Esther Staubli, née le à Berne, est une arbitre de football suisse.

Biographie[modifier | modifier le code]

Germanophone et mesurant 168 cm, elle figure sur la liste des arbitres internationaux de la FIFA depuis 2006[1].

Elle est sélectionnée pour arbitrer la finale 2015 de la Ligue des champions féminine de l'UEFA. Elle est également arbitre lors de la Coupe du monde 2015 organisée au Canada[2],[3].

Elle officie également comme arbitre lors de la Coupe du monde 2019, et lors des championnats d'Europe 2013 et 2017.

En 2014, elle est élue quatrième meilleure arbitre féminin du monde par la Fédération internationale de l'histoire du football et statistiques du football (IFFHS), derrière la gagnante Bibiana Steinhaus[4]. Esther Staubli participe à la Swiss Challenge League pour la première fois en septembre 2014[5], après quoi elle est complimentée pour ses performances par l'entraîneur du FC Wohlen, Ciriaco Sforza.

Agronome de métier, Esther Staubli enseigne également dans une université[6].

En 2017, elle devient la première femme arbitre à exercer dans la Coupe du monde masculine des moins de 17 ans.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Esther STAUBLI », FIFA (consulté le )
  2. « 22 referees, 7 support referees and 44 assistant referees appointed for FIFA Women’s World Cup 2015™ », FIFA.com,
  3. « Referees and Assistant Referees for the FIFA Women’s World Cup Canada 2015™ », FIFA.com
  4. « THE WORLD’S BEST WOMAN REFEREE 2014 », International Federation of Football History & Statistics, (consulté le )
  5. (de) Felix Bingesser, « Bravo, Frau Staubli! Schiri-Frau brilliert bei Debüt », Blick,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. (de) Christian Zürcher, « Eine grosse Prüfung für die Schiedsrichterin », Tages-Anzeiger,‎ (lire en ligne, consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]