Elbeuf

Elbeuf
Elbeuf
L'hôtel de ville.
Blason de Elbeuf
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Djoudé Merabet
2020-2026
Code postal 76500
Code commune 76231
Démographie
Gentilé Elbeuvien, Elbeuvienne
Population
municipale
15 951 hab. (2021 en diminution de 3,42 % par rapport à 2015)
Densité 977 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 12″ nord, 1° 00′ 33″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 133 m
Superficie 16,32 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Elbeuf
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.mairie-elbeuf.fr

Elbeuf[Note 1] (/ɛl.bœf/[Note 2]) est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

La commune est dénommée localement Elbeuf-sur-Seine[Note 3], pour faire la distinction avec les communes d'Elbeuf-en-Bray et d'Elbeuf-sur-Andelle, toutes trois dans le même département. Les habitants se nomment les Elbeuviens.

Ancienne cité drapière située à 23 km au sud de Rouen et 40 km au nord-ouest d'Évreux, Elbeuf est le bureau centralisateur du canton d'Elbeuf. Depuis 2010, elle fait partie de la Métropole Rouen Normandie, qui atteint ainsi 486 519 habitants, ainsi que de l'unité urbaine de Rouen.

Elbeuf a obtenu le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris.

La ville a le label « Villes et Pays d'art et d'histoire ».

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Elbeuf est un chef-lieu de canton situé dans la Seine-Maritime sur un méandre de la Seine, à 18 kilomètres de Rouen.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune a pour principale commune limitrophe Caudebec-lès-Elbeuf.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune occupe une surface de 1 632 hectares.

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune[2],[3] :

Du fait de sa position sur la Seine, la ville a été périodiquement sujette aux inondations. La plus importante d'entre elles se produisit en 1910.
Les digues ont été relevées et les routes surélevées en bordure du fleuve. Deux ponts franchissent la Seine en direction de Saint-Aubin-lès-Elbeuf : le pont Guynemer et le pont Jean-Jaurès.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité 1 très faible[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Louviers à 14 km à vol d'oiseau[10], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 719,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Elbeuf est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,6 %), zones urbanisées (20,9 %), eaux continentales[Note 6] (1,9 %), prairies (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), terres arables (0,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Plan local d'urbanisme intercommunal Métropole Rouen Normandie[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

À la fin du Xe siècle, un village, attesté sous la forme Wellebou dans une charte de Richard Ier de Normandie, se développe. On trouve aussi Guellebo en 1021-1025 et Wellebuoht en 1070-1081[24] (lire Wellebuoth).

Il s'agit d'un type toponymique médiéval fréquent en Haute-Normandie, où l'on trouve aussi deux autres communes portant ce nom : Elbeuf-sur-Andelle (Wellebotum 1218) et Elbeuf-en-Bray (Wellebof 1046 - 1048). Le déterminant complémentaire -sur-Seine, parfois ajouté à Elbeuf, sert à éviter la confusion avec ces deux autres communes situées également dans le département de la Seine-Maritime.

Le premier élément El- représente l'ancien scandinave vella « source, cours d'eau »[25] ou son correspondant anglo-saxon wella « source, cours d'eau »[26]. Il apparaît dans la toponymie normande de manière générale comme second élément d'un composé toponymique sous diverses formes, à savoir : la plus courante -vel(le) (Jersey, Moulin de Quétivel ; Seine-Maritime, Moulin de Quenarvelle en 1539 ; nombreux Caquevel), -ouelle (Rouelles, Seine-Maritime, Rodewella 1035 ; Fontaine de Mirouel, Exmes, Orne), voire -gueule (le Radegueule, affluent de la Béthune, Seine-Maritime, Radevele XIIe siècle cf. Radwell, Angleterre)[27] et en emploi autonome dans la Veules (source et rivière à Veules-les-Roses, Wellas 1025, Welles XIVe siècle).

La forme Guellebo est une forme francisée, correspondant au normand Wellebo(u), elle ne s'est pas imposée. En revanche, le W- initial s'est amuï, conformément à ce qu'on observe dans la toponymie de la Haute-Normandie et ce, devant e ou i, cf. Incarville (Eure, Wicardi villa 1025)[26].

Le second élément -beuf est issu de l'ancien scandinave bóð « cabane, baraque » (cf. vieux danois both, danois bod, anglais booth, d'origine scandinave). En Normandie, il a généralement pris la forme -beuf ou -bot et est souvent noté -b(u)oth ou -bod dans les attestations les plus anciennes, exemple : Daubeuf-la-Campagne (Eure, Dalbuoth 1011). François de Beaurepaire donne à both le sens de « village »[28].

Le sens global est donc celui de « cabane au bord du cours d'eau » ou « village au bord du cours d'eau »[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Robert de Meulan (v. 1046-1118) à la suite de son mariage vers 1100 avec Isabelle de Vermandois recueille l'honneur d'Elbeuf-sur-Seine[29].

Le , au début de la guerre de Cent Ans, la ville sur le passage des Anglais lors de la chevauchée d'Édouard III est ravagée[30].

L'industrie drapière[modifier | modifier le code]

Vers 1514, les premières draperies d'Elbeuf voient le jour. Après la corporation des tisserands, Jean-Baptiste Colbert donnera en 1667 un élan supplémentaire à l'industrie drapière avec la Manufacture royale de draps d'Elbeuf.

Le , Napoléon Ier visite les manufactures.

En 1846, le fabricant de textiles en laines Aroux introduit une nouvelle machine à trier la laine. Or, 59 % des femmes de la ville travaillaient une partie de l’année à nettoyer la laine de ses impuretés, et se voient ainsi privées de travail. Le 22 mai, une manifestation de plusieurs centaines de personnes fait le siège de l’usine, en criant « À bas la mécanique ! ». Pendant plusieurs jours, la ville connait une ambiance insurrectionelle, jusqu’à l’intervention de l’armée qui procède à l’arrestation d'une centaine de personnes[31].

La concurrence étrangère aura raison de cette activité économique de la ville, qui chutera pendant le contrôle allemand lors de la Seconde Guerre mondiale. Les bombardements de 1944 détruisent une partie du centre-ville. La ville se reconstruit mais, dans les années 1950, l'industrie drapière doit faire face à l'apparition des textiles synthétiques. Cette concurrence va amener la disparition progressive de cette industrie. La firme Prudhomme est la dernière à fermer en 1990[32].

La « ville aux cent cheminées », telle qu'elle fut surnommée, s'est tournée vers une activité industrielle plus moderne : industrie chimique et mécanique, avec notamment les usines Renault et Sanofi.

Une forte immigration alsacienne[modifier | modifier le code]

Après la guerre de 1870, un grand nombre d'Alsaciens qui refusaient l'annexion ont choisi Elbeuf pour s'y installer. Beaucoup de ces nouveaux habitants travaillaient dans l'industrie textile en Alsace. Or les clauses douanières du traité de Francfort leur fermaient dorénavant le marché français[33].

Paul Lévy écrit : « Des 4 000 Bischwillerois qui ont quitté leur ville natale entre 1869 et 1874 — dont 75 fabricants sur 96 et plus de 3 000 ouvriers sur 5 000 — plus de la moitié s'est retrouvée à Elbeuf, où ils continuaient à former un groupement original au sein de la population autochtone. D'abord beaucoup d'entre eux étaient luthériens au milieu d'une population catholique. Leur pasteur leur faisait un sermon en allemand tous les quinze jours et, l'office terminé, s'entretenait avec eux en dialecte. Car le dialecte a subsisté, parlé couramment chez tous les vieux, fidèlement conservé par beaucoup de jeunes[34] » et il cite Delahache : « Je les ai entendus [en 1914], entre eux ou avec les patrons, et d'entendre ce langage ici, dans une petite ville normande, à 500 km de l'Alsace […] je me croyais là-bas, chez eux, chez moi […] Ils se sont longtemps mariés entre « pays », et cette tradition non plus n'est pas perdue[35] ».

Parmi cette communauté d'origine alsacienne se trouvaient les familles Blin[36],[37], Fraenckel et Herzog[38],[39]. L'écrivain André Maurois, de son vrai nom Émile Herzog, appartenait à cette dernière famille. Il est né à Elbeuf. La peintre Marie Ritleng, née à Strasbourg, est également arrivée à Elbeuf avec sa mère en 1871[40].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Paul Bonvoisin   Médecin
1947 1959 Joseph Perret    
1959 1971 Pierre Lebret DVD-UNR Cadre à la Caisse d'Epargne
Conseiller général d'Elbeuf (1960 → 1970)
1971 1977 Michel Beaufils    
1977 1997 René Youinou PS Agent technique chez Renault
Conseiller général d'Elbeuf (1976 → 2001)
Député suppléant de Laurent Fabius (1978 → 1981)
1997 2004 Didier Marie PS Professeur des écoles
Conseiller général de Caudebec-lès-Elbeuf (2004 → 2008)
Conseiller général d'Elbeuf (2008 → 2015)
Président du conseil départemental de la Seine-Maritime (2004 → 2014[46])
Député de la Seine-Maritime (2000 → 2002)
Démissionnaire à la suite de son élection comme président du Conseil général
avril 2004[47] mars 2008 Françoise Guillotin PS Cadre de santé du pôle de médecine du centre hospitalier d’Elbeuf
Vice-présidente de la CREA (2010 → 2014)
Vice-présidente de la Métropole Rouen Normandie (2015 → 2020)
mars 2008 En cours
(au 26 juin 2022)
Djoudé Merabet[48] PS Vice-président de la CREA (2014[49] → 2014)
Vice-président de la Métropole Rouen Normandie (2015 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[50],[51]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Elbeuf se situe dans la strate des communes de 5 000 à 10 000 habitants appartenant à un groupement fiscalisé (TPU).

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[52] :

  • total des produits de fonctionnement : 23 247 000 , soit 1 424  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 19 837 000 , soit 1 215  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 6 279 000 , soit 385  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 6 315 000 , soit 387  par habitant ;
  • endettement : 6 000 000 , soit 367  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 21,69 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 52,87 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 74,04 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 16 930 [53].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[54],[Note 7].

En 2021, la commune comptait 15 951 habitants[Note 8], en diminution de 3,42 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 8625 6006 3519 09010 25813 36614 64616 31817 534
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
18 82120 69221 78422 84822 21323 15222 10421 40420 542
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
19 05018 72918 29018 67217 96418 37917 50615 95817 293
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
18 98819 40719 11617 22416 60416 66617 27716 80016 503
2021 - - - - - - - -
15 951--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'IUT d'Elbeuf.
Bâtiment principal du collège-lycée Fénelon.
  • La ville dispose de l'antenne de l'IUT de Rouen, axée sur les NTIC.
  • Lycées
  • Collèges
  • Écoles élémentaires
    • Georges Brassens
    • Antoine de Condorcet
    • Alphonse Daudet
    • Jules Michelet
    • Molière
    • Charles Mouchel
    • Saint-François d'Assise (privé)
  • Écoles maternelles
    • Georges Brassens
    • Alphonse Daudet
    • Raymonde Lefrançois
    • André Malraux
    • Molière
    • Jacques Prévert
    • Saint-François d'Assise (privé)

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[57] :

Cultes[modifier | modifier le code]

Manifestations associatives, culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Restaurant solidaire de l’association Amicalement vôtre[64].
  • La fête foraine appelée Foire Saint-Gilles, située sur le Champ de Foire en bordure de Seine, se déroule pendant le mois de septembre annuellement.

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture et services divers[modifier | modifier le code]

  • une friche d’Elbeuf transformée en lieu de culture de champignons[65].
  • Élevages[66].
  • Élevage d'autres animaux[67].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Jean.
Jardin René-Youinou.
Cirque-théâtre.
La Fabrique des Savoirs, section dédiée à l'activité textile.
Patrimoine religieux
Orgue de tribune[76],[77],[78].
L’Orgue de Chœur de St Jean-Baptiste[79].
Orgue de tribune[81],[82].
L’Orgue de Chœur de St Étienne[83].
Le Grand-Orgue de l'Immaculée-Conception[86].
L‘Orgue de Chœur de l’Immaculée-Conception[87].
Autres lieux et patrimoines

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Elbeuf dans les arts[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Image Nom de la commune et blasonnement
Elbeuf

Parti, au premier d'or à la croix patriarcale de gueules, posée sur une terrasse de sinople, supportant une vigne du même fruitée de pourpre, au second d'azur à une ruche d'or, posée sur une terrasse de sinople, entourée d'abeilles sans nombre du même.

Elbeuf (Seine-Inférieure)

Pendant le Premier Empire : d'argent, à une ruche d'azur, posée sur une terrasse de sinople et entourée d'un essaim, au chef de gueules, chargé de trois abeilles d'or[102].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

"Elbeuf" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le nom officiel de la commune est Elbeuf dans le code officiel géographique de la République française, [lire en ligne].
  2. Prononciation en français standard standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  3. Le site de la mairie utilise l'appellation Elbeuf sur Seine, sans tiret, [Site de la mairie lire en ligne].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  2. Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (SIGES)
  3. Elbeuf. Sandre-Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (eaufrance.fr)
  4. La Seine
  5. L'eau dans la commune
  6. Didacticiel de la réglementation parasismique
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  10. « Orthodromie entre Elbeuf et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Louviers » (commune de Louviers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Louviers » (commune de Louviers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. PLUi de la Métropole Rouen Normandie.
  24. a et b François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et des anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5 et 2-708-40040-1, OCLC 6403150), p. 70
    Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
  25. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie : dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, Cully, éditions OREP, , 54 p. (ISBN 978-2-915762-89-1).
  26. a et b François de Beaurepaire 1979.
  27. Jean Renaud, op. cit.
  28. François de Beaurepaire 1979, p. 100.
  29. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 30.
  30. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 75.
  31. François Jarrige, « Sabotage, un essai d’archéologie au XIXe siècle », Voies du soulèvement, (no)74, 2020, p. 28-41, consulté le 24 mars 2024.
  32. Emmanuel de Roux, Patrimoine industriel, Paris, Éditions du Patrimoine Éditions Scala, , 270 p. (ISBN 978-2-86656-406-3), p. 166-177.
  33. Connaissance du patrimoine de Haute-Normandie..
  34. Paul Lévy, Histoire de la langue allemande en France, Éditions IAC, 1952, tome II, p. 153.
  35. Georges Delahache, L'Exode, Paris, 1914.
  36. L'histoire du textile : le passé industriel d'Elbeuf
  37. Elbeuf. L’histoire de la manufacture drapière Blin & Blin, L'Humanité 22 août 2013
  38. Site de la mairie d'Elbeuf.
  39. Les usines Blin en images
  40. Mylène Beaufils (dir.), Berthe Mouchel. Femme, artiste et engagée, Milan, Silvana, , 95 p. (ISBN 978-88-366-5222-8 et 88-366-5222-0, OCLC 1336488175, lire en ligne).
  41. « Notice LH/795/72 », base Léonore, ministère français de la Culture.
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  46. Patrick Pellerin, « Didier Marie démissionne de la présidence du Département de Seine-Maritime : Sénateur depuis le 1er janvier, l'Elbeuvien Didier Marie a annoncé ce mercredi 8 janvier 2014 qu'il démissionnait de la présidence du Département de Seine-Maritime », Le Journal d'Elbeuf,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. « Carnet : Françoise Guillotin », Le Moniteur,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. « Municipales à Elbeuf. Djoudé Merabet, le maire sortant : Le Journal d'Elbeuf a posé des questions aux candidats à la mairie d'Elbeuf. Découvrez leurs réponses », Le Journal d'Elbeuf,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. Patrick Pellerin, « François Guillotin Jean-Marie Masson et Djoudé Merabet élus vice-présidents de la Crea : Depuis le 14 avril 2014, le territoire elbeuvien compte trois vice-présidents à la Crea : Françoise Guillotin (n° 4), Jean-Marie Masson (n° 5) et Djoudé Merabet (n° 20) », Le Journal d'Elbeuf,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. « Municipales 2020. Le maire d’Elbeuf Djoudé Merabet propose une liste renouvelée à 60 % : Elbeuf. La liste « de gauche » du maire sortant, Djoudé Merabet, renouvelée à 60 %, compte 43 % de personnes issues de la société civile », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est ici une tradition héritée depuis 1977 que d’inviter largement la société civile. Si j’ai rassemblé le PS, le PC, les radicaux, j’aurais aimé un rassemblement plus large encore parce que le RN constitue un danger », estime le chef de liste, qui a vu le parti de Marine Le Pen dépasser les 35 % en 2014 ».
  51. « Municipales 2020. Le maire d’Elbeuf Djoudé Merabet confortablement réélu : Le nouveau conseil municipal, avec à sa tête Djoudé Merabet, s’est réuni dans la salle Franklin, lundi soir. Le maire devra désormais composer avec l’opposition des écologistes », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Candidates au même poste, Valérie Auvray (Verts Elbeuf Solidaire) et Marie Durand (Agir pour Elbeuf) n’ont obtenu que deux voies chacune. Quant à Yanis Khalifa (Du neuf pour Elbeuf), il ne s’est pas présenté et n’a pas fait mystère de son vote blanc ».
  52. Les comptes de la commune
  53. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet.
  54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  57. Professionnels et établissements de santé.
  58. [htps://www.catholique-elbeuf.com/messes-et-offices/ Paroisse Notre-Dame d'Elbeuf]
  59. Diocèse de Rouen
  60. Consistoire de Haute-Normandie : Église Protestante Unie d'Elbeuf
  61. Église Évangélique
  62. Consistoire de Haute-Normandie
  63. Mosquée Ennour - Elbeuf.
  64. Le restaurant solidaire d’Amicalement vôtre reprend du service.
  65. Agriculture et économie : une friche d’Elbeuf transformée en lieu de culture de champignons.
  66. Élevages.
  67. Élevage d'autres animaux.
  68. Gîtes de France.
  69. Restaurants et brasseries.
  70. Commerces et services de proximité
  71. Régie d'électricité d'Elbeuf (REE) - Qui sommes-nous ?.
  72. La production d'énergie, 4 juillet 2021.
  73. Informations sociales, 4 juillet 2021.
  74. [2].
  75. Église Saint-Jean
  76. « Orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue », notice no PM76000579, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  77. « Le buffet d'orgue et le tambour de porte sont classés par arrêté du 29 janvier 1982 et la partie instrumentale de l'orgue est classée par arrêté du 18 juillet 1980. », notice no PM76003240, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  78. Le Grand-Orgue de St Jean-Baptiste
  79. L'Orgue de Chœur de St Jean-Baptiste
  80. Église Saint-Étienne
  81. « orgue de tribune : buffet d'orgue », notice no PM76000552, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  82. « Orgue de tribune église Saint-Étienne », notice no PM76003239, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  83. L'Orgue de Chœur de St Étienne
  84. Notice no IA00020772, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  85. Église de l'Immaculée-Conception
  86. Le Grand-Orgue de l'Immaculée-Conception
  87. L'Orgue de Chœur de l’Immaculée-Conception
  88. Notice no PA76000086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  89. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) à Elbeuf
  90. Temple de l'Église Réformée
  91. La mosquée En-Nour
  92. Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 - 1939-1945
  93. Ancienne Manufacture Delarue
  94. Maison de drapier.
  95. La Fontaine aux trois hérons
  96. Hôtel de la Poste.
  97. Léopold Hervieux (1831-1900).
  98. Un carrefour "Général Raymond-Mamier".
  99. Fabrique de Laine Chennevières
  100. Base Léonore
  101. Jean-Laurent Truc, « Polar, Shots entre amis à Cognac », sur Ligne Claire, .
  102. L'Armorial des villes et des villages de France.