Dark Matter (anthologie)

Dark Matter
A Century of Speculative Fiction from the African Diaspora
Auteur Honorée Fannone Jeffers
W.E.B. Du Bois
Jewelle Gomez
George S. Schuyler
Evie Shockley
Leone Ross
Kalamu ya Salaam
Tananarive Due
Nalo Hopkinson
Amiri Baraka
Samuel R. Delany
Akua Lezli Hope
Charles W. Chestnutt
Octavia E. Butler
Linda Addison
Charles R. Saunders
Nisi Shawl
Steven Barnes
Henry Dumas
Ishmael Reed
Kiini Ibura Salaam
Anthony Joseph
Robert Fleming
Derrick Bell
Darryl A. Smith
Ama Patterson
Directeur de publication Sheree R. Thomas
Genre Science-fiction, fantasy, horreur
Version originale
Langue Anglais
Titre Dark Matter: A Century of Speculative Fiction from the African Diaspora
Éditeur Warner Aspect
Date de parution 2000
Nombre de pages 448
ISBN 978-0-446-52583-1

Dark Matter est une série d'anthologies d'histoires et d'essais de science-fiction, de fantasy et d'horreur produites par des personnes d'ascendance africaine[1] publiée à partir de 2000[2]. L'éditrice de la série est Sheree R. Thomas[3]. Le premier livre de la série, Dark Matter: A Century of Speculative Fiction from the African Diaspora (2000), a remporté le prix World Fantasy de la meilleure anthologie 2001. Le deuxième livre de la série Dark Matter, Dark Matter: Reading the Bones (2004), a remporté le prix World Fantasy de la meilleure anthologie 2005. Un troisième livre à paraître dans la série était provisoirement nommé Dark Matter: Africa Rising. Il a finalement été publiée fin 2022 sous le titre Africa Risen (en) par Tor Books.

Dans l'introduction du premier livre, l'éditrice explique que le titre fait allusion à la « matière noire » cosmologique, une partie invisible mais essentielle de l'univers, pour souligner à quel point les contributions des Noirs ont été ignorées : « Ils sont devenus de la matière noire, invisible pour à l'œil nu ; et pourtant leur influence — leur attraction gravitationnelle sur le monde qui les entoure — deviendrait indéniable »[2].

Cette anthologie est la première anthologie consacrée à des textes de fiction spéculative écrits par des personnes noires[4].

Contenu de Dark Matter: A Century of Speculative Fiction from the African Diaspora[modifier | modifier le code]

Nouvelles[modifier | modifier le code]

Essais[modifier | modifier le code]

Prix[modifier | modifier le code]

L'anthologie a remporté le prix World Fantasy de la meilleure anthologie 2001.

Contenu de Dark Matter: Reading the Bones[modifier | modifier le code]

Nouvelles[modifier | modifier le code]

Essais[modifier | modifier le code]

  • The Second Law of Thermodynamics de Jewelle Gomez.
  • Her Pen Could Fly: Remembering Virginia Hamilton de Nnedi Okorafor-Mbachu.
  • Celebrating the Alien: The Politics of Race and Species in the Juveniles of Andre Norton de Carol Cooper.

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

L'anthologie a remporté le prix World Fantasy de la meilleure anthologie 2005[5].

Notes et références[modifier | modifier le code]

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Dark Matter (prose anthologies) » (voir la liste des auteurs).
  1. (en-US) Caitlin Hobbs, « 20 of the Best Science Fiction Books of All Time », sur BOOK RIOT, (consulté le )
  2. a et b (en-US) Martin Arnold, « MAKING BOOKS; Science Fiction, A Black Natural », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  3. (en) « Award-Winning Authors Discuss Diasporic Visions of Worlds Re-imagined Through Black Speculative Fiction », sur BKReader (consulté le )
  4. (en) « A genre that celebrates Black futures is getting its due », sur NBC News (consulté le )
  5. « 2005 World Fantasy Awards Ballot », sur web.archive.org, (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Revues critiques de Dark Matter: A Century of Speculative Fiction from the African Diaspora[modifier | modifier le code]

Revues critiques de Dark Matter: Reading the Bones[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]