Culoz

Culoz
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Le centre de Culoz vu depuis les lacets du Grand Colombier.
Blason de Culoz
Blason
Culoz
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Belley
Intercommunalité Communauté de communes Bugey Sud
Statut Commune déléguée
Code postal 01350
Code commune 01138
Démographie
Gentilé Culoziens, Culoziennes
Population 2 987 hab. (2020 en diminution de 1,39 % par rapport à 2014)
Densité 154 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 51′ 01″ nord, 5° 46′ 57″ est
Altitude Min. 226 m
Max. 1 430 m
Superficie 19,36 km2
Élections
Départementales Canton de Plateau d'Hauteville
Législatives Troisième circonscription
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Culoz-Béon
Localisation
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Culoz

Culoz (prononcé [kyloz] ou [kylo]) est une ancienne commune française située dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Le , elle devient commune déléguée et chef-lieu de Culoz-Béon.

Ses habitants s'appellent les Culoziens et les Culoziennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La ville est située dans l'Ain sur la rive droite du Rhône, dans une partie aménagée et canalisée après les différentes installations hydrauliques de la Compagnie nationale du Rhône. Elle est au pied du Grand Colombier, qui termine la chaîne du Jura et se trouve à quelques kilomètres des premiers contreforts des Alpes.

La commune de Culoz compte deux hameaux : Châtel (Ain) et Landaize.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 341 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sutrieu », sur la commune de Valromey-sur-Séran à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 9,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 413,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,2 %), terres arables (14,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), eaux continentales[Note 1] (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), zones urbanisées (5,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,3 %), zones humides intérieures (1,5 %)[8].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

Les logements de Culoz sont essentiellement constitués de maisons mitoyennes dans le vieux bourg historique ainsi que dans le centre-ville actuel et de pavillons en périphérie de la ville. Culoz a la particularité d'avoir sur le territoire de sa commune un ensemble de cités SNCF (ex-Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée) datant du début des années 1930, et rassemblées sur un carré, ce qui en fait un exemple homogène et bien conservé du patrimoine urbain ouvrier du début du XXe siècle. Des bâtisses remarquables sont également présentes tel que la maison Antonin Poncet et son parc, le château de Montvéran (XIIIe siècle), la Chèvrerie (maison de campagne de Henri Dunant, fondateur de la Croix Rouge, etc.).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Bâtiment de la gare.

Voies routières[modifier | modifier le code]

À l'époque des grandes routes nationales françaises, Culoz était située au carrefour de deux axes importants: La RN 92 de Valence à Genève et la RN 504 qui suivait la Cluse des Hôpitaux entre Ambérieu-en-Bugey et Ruffieux. La N 504 a ensuite été déviée à partir de Pugieu vers Belley, Yenne et Chambéry, absorbant ainsi une grande partie du trafic entre l'Europe du Nord et l'Italie par le col du Mont-Cenis puis le tunnel du Fréjus, mais évitant ainsi Culoz. Tous ces axes ont depuis été déclassés en routes départementales et présentent désormais un intérêt essentiellement local.

Pistes cyclables[modifier | modifier le code]

La véloroute ViaRhôna - du Léman à la Méditerranée passe à proximité sur les communes de Vions et Chanaz, en Savoie. Une signalétique est en cours de réalisation à partir de la gare de Culoz pour rejoindre la Viarhôna à vélo.

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La ville est un carrefour ferroviaire. Des TER desservent Genève, Bellegarde-sur-Valserine, Évian, Aix-les-Bains, Bourg-Saint-Maurice, Grenoble, Chambéry, Lyon (Perrache et Part-Dieu).

L'ancien vestibule de la gare de Culoz, abritant l'ancien point frontière avec le royaume de Piémont-Sardaigne de 1815 à 1860, soit les façades et toitures du bâtiment, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [9].

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Cette petite commune ne possède pas de réseau de transports en commun, mais est desservie par des cars départementaux.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée dans le centre.

Selon Vurpas & Michel[10] Culoz viendrait du « latin culus « fond », d’où « vallée étroite » (Cullo, 1135) dont la forme ancienne indique que le mot est accentué sur le u et non sur le o final qui ne doit pas se prononcer ». Dans sa version arpitane, le z final ne sert qu'à marquer le paroxytonisme et ne devrait pas être prononcé ; dans sa langue d'origine, il s'écrit Culo. La carte de Cassini indique Culoz sous deux graphies rendant compte de la prononciation du nom de la ville à l'époque : Culoz ou Culles[11].

Toutefois, cette origine ne fait pas l'unanimité ; selon des érudits de l'histoire locale, Culoz viendrait du bas-latin terra culata, « terre éboulée », la ville étant construite sur les éboulis de la montagne, le Grand Colombier[12].

Histoire[modifier | modifier le code]

À la suite de l'arrêté préfectoral du [13] portant création de la commune nouvelle de Culoz-Béon, Culoz devient une commune déléguée au .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Culoz est membre de la communauté de communes Bugey Sud, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Belley. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Belley, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[15]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Plateau d'Hauteville pour l'élection des conseilleres départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[15], et de la troisième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[16].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste de l'ensemble des maires qui se sont succédé à la mairie de la commune :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1946 1953 Séraphin Giraudi    
1953 1965 Honoré Godet DVD Quincaillier, conseiller général
1965 1983 Marcel Gache[17] PS Conseiller général
1983 1995 Claude Ternant PS Réélu en 1989
1995 2008 René Ailloud DVD Réélu en 2001, conseiller général
2008 2014 Danielle Tramont DVD  
2014 en cours Franck André-Masse SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du syndicat mixte du bassin versant du Séran.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Depuis 2013, la République de Montmartre est jumelée avec Culoz. Ce jumelage s'est construit autour du destin des frères Serpollet originaires de Culoz qui installèrent leur usine de construction automobile à Montmartre[18],[19].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2020, la commune comptait 2 987 habitants[Note 2], en diminution de 1,39 % par rapport à 2014 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9351 0021 0671 2741 3011 2101 2861 3011 211
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3161 4531 3831 4251 4721 5181 4741 4771 493
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5671 5491 5081 3621 3441 5361 8681 8071 933
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 3172 4122 5232 6302 6392 6222 9142 9542 909
2015 2020 - - - - - - -
3 0712 987-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Tous les sports (ou presque) sont représentés à Culoz (exemple : le tennis club de Culoz, le basket féminin et masculin, le foot, le tennis, l'athlétisme, etc.). La plupart s'entrainent à la base de loisirs du Colombier, qui comprend plusieurs terrains extérieurs et le gymnase Jean-Falconnier (1 000 m2 de surface sportive pour 458 places en tribunes). Les 14 et 15 mai 2016, le Culoz Basket Club organise dans le gymnase les finales des Championnats de France de basket-ball en catégorie U18 féminines[24]. La commune accueillit une arrivée d'étape du Tour de France 2016 le 17 juillet.

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune de Culoz bénéficie du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[25].

Tour de France[modifier | modifier le code]

Culoz est ville d'arrivée de la Grande Boucle le dimanche 17 juillet 2016 lors de la 15e étape Bourg-en-Bresse - Culoz.

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises de l'agglomération[modifier | modifier le code]

Le siège social de la Compagnie industrielle d'applications thermiques (CIAT) est situé à Culoz. Cette entreprise est le principal employeur de la ville et de ses environs.

La ville abrite également une entreprise de démolition ferroviaire dotée d'un procédé spécifique afin de récupérer et recycler les matériaux, une entreprise de chaudronnerie inox acier ainsi qu'un tissu artisanal dense.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin.
  • Le château de Montvéran inscrit au titre des monuments historiques depuis 1946[26]. Le château aurait été bâti en 1316 par le chevalier Pierre de Luyrieux[27]. Le compositeur russe Prokofiev (1891-1953) y séjourna.
  • Le Clos Poncet, classé « Jardin de France », garde le souvenir de Gertrude Stein, en mémoire de l'écrivain américaine qui y séjourna durant la Seconde Guerre mondiale.
  • Vestiges du château fort dit « Châtel-d'en-Haut » ou « Château des Sarrazins », au nord-est[28].
  • La Chèvrerie, résidence d'Henri Dunant.
  • La gare de Culoz d'architecture sarde (gare frontière avant le rattachement de la Savoie à la France en 1860) est classée comme monument historique. La vétusté des lieux a motivé un arrêté de péril à l'automne 2008 et conduit à la déconstruction de la grande halle sarde de la gare. Le bâtiment d'accueil de la gare a été réhabilité en conservant cette architecture industrielle sarde du XIXe siècle.
  • Église Saint-Martin.
  • Pont de La Loi, pont routier, franchissant le Rhône.
  • Viaduc de Culoz, pont ferroviaire de la ligne de Culoz à Modane (frontière), franchissant le Rhône.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La pierre Lévanaz (« Lève le nez ») est un bloc erratique d'origine glaciaire, sur le Mont Jugean.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Christophe Lemaitre.
  • Henry Dunant, fondateur de la Croix-Rouge, naturalisé français à Culoz.
  • Les frères Léon et Henri Serpollet, précurseurs de l'automobile, nés à Culoz. Ils ont inventé le principe du générateur à vaporisation instantanée. Henri et Léon décident de fabriquer une machine à vapeur pour mécaniser la scie de leur père. Ils remplacent la chaudière par une pompe injectant de l'eau entre des surfaces lisses chauffées et espacées de 0,1 millimètre. L'eau se vaporise instantanément et est envoyée dans un cylindre pour mouvoir un piston. En 1888, Léon effectue des essais à 30 km/h sur un tricycle à moteur à vaporisation instantanée. L'année suivante, ce tricycle est amélioré : le Phaéton est une véritable voiture. Léon Serpollet parcourt la distance Paris-Lyon en dix jours.
  • Antonin Poncet, chirurgien, né le à Saint-Trivier-sur-Moignans et décédé le à Culoz.
  • Gertrude Stein, poétesse américaine, réfugiée en 1942 dans la demeure nommée « Le Colombier » avec sa compagne Alice B. Toklas grâce à la baronne Pierlot, proche de Paul Claudel et que le maire Justin Rey s'engagea à protéger.
  • Antoine Riboud (né à Lyon le et mort à Paris le ) est un homme d'affaires français, fondateur et président de Danone. Inhumé à Culoz, il fut propriétaire du domaine du Cellier de Bel-Air, vignoble de 6 hectares s'étendant au pied du Grand Colombier.
  • Christophe Lemaitre, sprinteur de l'équipe de France d'athlétisme, né le à Annecy. Il est champion du monde du 200 mètres junior et champion d'Europe junior du 100 mètres, ainsi que recordman de France du 100 mètres en 9,92 secondes. Le , il devient champion d'Europe du 100, du 200 et du 4 × 100 mètres. Il termine également troisième sur 200 mètres aux Jeux olympiques d'été de 2016. Un de ses surnoms est le TGV de Culoz.
  • Maxime Bouet, cycliste français.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Culoz

La commune de Culoz porte :

Coupé : au premier parti à dextre d'or au sapin de sinople posé sur un mont de sable mouvant de la pointe et à senestre aussi d'or à la tour de gueules, maçonnée et ajourée de sable, brochant sur un chevron du même, au second d'argent aux deux fasces ondées d'azur soutenues chacune d'un croissant de gueules[29].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé, sur habitants.fr
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Culoz-Béon et Valromey-sur-Séran », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Sutrieu », sur la commune de Valromey-sur-Séran - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Sutrieu », sur la commune de Valromey-sur-Séran - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. Notice no PA01000031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  10. A.-M. Vurpas et Cl. Michel, 1999, Noms de lieux de l'Ain, éd. Bonneton, Paris, 224 p, (ISBN 2-86253-246-0).
  11. « Géoportail », sur gouv.fr (consulté le ).
  12. Louis Berthelon, « Notes historiques sur Culoz aux temps anciens », Le livre d'histoire, 1954, réédité en 2005 (consulté le ).
  13. « Recueil des actes administratifs N°01-2022-169 : 01_Pref_Préfecture de l'Ain 01-2022-12-12-00003 ARRETE portant création de la commune nouvelle de Culoz-Béon »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), p. 45.
  14. « communauté de communes Bugey Sud - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  15. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Culoz », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  17. maitron.fr.
  18. « La commune sera jumelée avec Montmartre ce samedi », Le Progrès,‎ .
  19. « Le jumelage avec la République de Montmartre dignement fêté », Le Progrès,‎ .
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  24. émission Music mag de Radio Aix-les-Bains (12/05/16)
  25. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  26. Notice no PA00116390, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 24 (cf. Montverand).
  28. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 20 (cf. Culoz).
  29. Armes de Culoz, sur labanquedublason2.com

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]