La France (voir aussi article détaillé) remporte son premier titre de Champion du monde en battant en finale la Croatie. Elle devient ainsi la dixième équipe à remporter la compétition. La Suède complète le podium tandis que la Russie, tenante du titre, est éliminée en quart de finale.
Le tour préliminaire concerne 24 équipes réparties en 4 poules de 6. Les quatre premiers de chaque groupe se qualifient pour les huitièmes de finale. Les deux derniers sont éliminés.
Si à l'issue des rencontres des différents groupes, deux ou plusieurs équipes se retrouvent avec un nombre égal de points, le classement s'effectue selon les critères suivants[réf. nécessaire] :
les résultats des équipes directement impliquées, en fonction des points.
la différence de buts entre les buts marqués et les buts encaissés des équipes directement impliquées.
le plus grand nombre de buts marqués dans les matchs entre les équipes.
la différence de buts de tous les matchs par voie de soustraction.
le plus grand nombre de buts marqués de tous les matchs.
s'il reste impossible d'établir un classement, c'est un tirage au sort qui décide.
Après le premier tour, les huitièmes de finale, les quarts de finale, les matchs de classement, les demi-finales et les finales ont lieu selon le principe de l'élimination directe.
En cas d'égalité après le temps de jeu réglementaire, une première prolongation de deux fois 5 minutes a lieu.
Si à l'issue de cette prolongation il y a toujours égalité du score, on joue une deuxième prolongation de 2 fois 5 minutes.
Si à l'issue de la 2e prolongation l'égalité subsiste, on procède aux jets aux sept mètres.
↑Le score final retenu par l'IHF pour le match Koweït-Égypte est 0-10 au lieu de 21-28, ce qui pourrait indiquer une disqualification du Koweït.
↑ a et bSeulement 12 joueurs étaient sur la feuille de match, les autres étaient en tribunes.
↑(is) « Richardson bestur á EM », (consulté le ) : « Le Français Jackson Richardson a été élu meilleur joueur du Championnat d'Europe, comme lors de la Coupe du monde 1995 en Islande. »
↑(is) « Geir í úrvalslið HM », (consulté le ) : « Lors de la cérémonie finale de la Coupe du monde, la sélection de la meilleure équipe de la Coupe du monde a été annoncée »
« Dossier spécial Mondial masculin : 1. Le jeu de l'équipe de France (par Daniel Costantini) ; 2. L'analyse du jeu par les meilleurs entraîneurs (A. Ehret (Allemagne), B. Johansson (Suède), Z. Zovko (Croatie) et D. Costantini (France)) ; 3. Résultats et statistiques. », Approches du Handball, no 27, , p. 2 à 18 (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Costantini, « Autopsie d'un mondial (1re partie) : 1 - Le contexte ; 2 - Analyse des conséquences de ces différents paramètres ; 3 - Autopsie d'un champion », Approches du Handball, no 28, , p. 2 à 8 (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Costantini, « Autopsie d'un mondial (2e partie) : 4 - Analyse par continent (Généralités, L'Europe) », Approches du Handball, no 29, , p. 2 à 10 (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Costantini, « Autopsie d'un mondial (suite et fin) : 4 - Analyse par continent (Afrique, Asie et Amérique) ; 5 - Conclusion générale », Approches du Handball, no 30, , p. 2 à 7 (lire en ligne, consulté le ).
Islande
Russie
France (1)
Croatie
Suède
Yoon Kyung-shin (86)
Suisse, 
Espagne, 
Allemagne, 
Rép. tchèque et 
Danemark 
Hongrie, 
Slovénie et .svg){kind=small}
Biélorussie 
Roumanie 
Tunisie, 
Algérie, 
Égypte et 
Maroc 
Koweït et 
Japon 
Cuba, 
Argentine, 
États-Unis et 
Brésil 
Svein Olav Oie, Bjorn Hogsnes 
Biélorussie (30,9 buts par match)
États-Unis (16,4 buts par match)
Russie (19,9 buts par match)
Japon et 
Maroc (29,8 buts per match)
Membre de l'équipe-type.
France[modifier | modifier le code]
Croatie[modifier | modifier le code]
Suède[modifier | modifier le code]
