Châteaufort (Yvelines)

Châteaufort
Châteaufort (Yvelines)
Bâtiment de la mairie.
Blason de Châteaufort
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Versailles
Intercommunalité Communauté d'agglomération Versailles Grand Parc
Maire
Mandat
Patrice Berquet
2020-2026
Code postal 78117
Code commune 78143
Démographie
Gentilé Castelfortain(e)s
Population
municipale
1 515 hab. (2021 en augmentation de 10,91 % par rapport à 2015)
Densité 310 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 14″ nord, 2° 05′ 32″ est
Altitude Min. 86 m
Max. 164 m
Superficie 4,88 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Maurepas
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Châteaufort
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Châteaufort
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Châteaufort
Liens
Site web mairie-chateaufort78.fr

Châteaufort est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, à neuf kilomètres environ au sud de Versailles et à 27 km au sud-ouest de Paris.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Châteaufort dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

Châteaufort est une petite localité située en partie sur le plateau de Saclay et dans la vallée de Chevreuse, en limite de l'Essonne.

Elle fait partie du parc naturel régional de la Haute-Vallée de Chevreuse.


Hydrographie[modifier | modifier le code]

Elle est irriguée par la Mérantaise, petite rivière affluent de l'Yvette.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Elle est desservie par la route départementale 36, reliant Palaiseau et Saclay à l'est à la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines à l'ouest, et traversée par la route départementale 938, la reliant à Buc au nord et à Magny-les-Hameaux au sud.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 2 km à vol d'oiseau[3], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records TOUSSUS LE NOBLE (78) - alt : 154m, lat : 48°45'02"N, lon : 2°06'48"E
Records établis sur la période du 01-01-1965 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,4 3,5 5,5 8,9 12,1 13,9 13,6 10,6 8 4,5 2,1 7,1
Température moyenne (°C) 4,2 4,7 7,8 10,6 14,1 17,4 19,6 19,4 15,8 11,9 7,4 4,6 11,5
Température maximale moyenne (°C) 6,7 8 12,1 15,8 19,3 22,8 25,2 25,2 21 15,9 10,4 7,1 15,8
Record de froid (°C)
date du record
−17,4
17.01.1985
−12,8
07.02.1991
−10,2
13.03.13
−5,1
12.04.1986
−2
03.05.1967
1,6
04.06.1991
4,9
09.07.1965
4,7
21.08.14
1,1
30.09.1995
−4,2
30.10.1985
−11,3
30.11.1969
−14
31.12.1970
−17,4
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,1
28.01.02
21,1
27.02.19
25,1
31.03.21
28,3
20.04.18
31,7
27.05.05
37,5
21.06.17
40,8
25.07.19
39,3
12.08.03
35,1
09.09.23
29,8
01.10.1985
20,7
01.11.14
16,7
07.12.00
40,8
2019
Précipitations (mm) 55,3 46,9 49,5 49,6 68,2 55,4 53,3 58,2 52,1 61,3 60,8 66,4 677
Source : « Fiche 78620001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Châteaufort est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 66,68 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 21,44 % d'espaces ouverts artificialisés et 11,88 % d'espaces construits artificialisés[12].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme de Castelloforte en 1069[13].

Ce mot est issu du latin castellum [14], « Village fortifié »[13].

La commune doit son nom à la présence, au Moyen Âge, de trois châteaux forts sur son territoire.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les trois anciens châteaux de la commune avaient pour nom : « le Donjon »[15], le château « de la Motte ou de Marly » et le « château du Gavois » ; ajoutons à ces trois anciennes fortifications le « fief d'Ors ou Orce »[16].

Des remparts dont il ne reste que quelques ruines, s'élevaient à la cime d'un coteau escarpé, au-dessus d'un ruisseau, la Mérantaise, qui se jette dans l'Yvette et qui limite au sud-ouest le plateau de Saclay. La vallée profonde de près de 50 m au niveau de Châteaufort présente une dénivellation assez abrupte pour permettre l’établissement d’un poste de surveillance. Le nom de la commune indique la vocation du lieu où fut édifiée un système de tours de défense du Hurepoix en balcon sur la dépression[17].

Ce lieu jadis considérable fut, au Xe siècle ou XIe siècle, choisi pour être le chef-lieu d'une contrée du diocèse de Paris. Châteaufort avait alors deux églises et un prieuré, l'une pour le bourg, attenante au prieuré, l'autre pour les manants établis hors des murs, au lieu-dit la Trinité. La première existe encore, la seconde est détruite.

Au XIe siècle, Gui II de Montlhéry le Rouge était seigneur de Châteaufort et en 1112, Hugues de Montlhéry, dit de Crécy ou de Pomponne, grand sénéchal de France, son fils, prit le titre.

Au XIIe siècle, Louis le Gros confisqua cette terre à Hugues de Crécy.

Au XIIIe siècle il y avait une léproserie[18].

Une seigneurie est attestée en 1354.

En 1480, Louis XI donne la terre de Châteaufort à Louis de Brabant.

En 1529, François Ier en fit cadeau à Jean de la Barre.

En 1616 elle passa dans la maison de Guise, et le dans celle de Charles d'Escoubleau, marquis de Sourdis.

Le château d'ors est bâti en 1637 par Jean de Luynes. Abandonné par son héritier en 1951, il sombra dans l'oubli jusqu'en 1984, date à laquelle furent créés les premiers spectacles historiques. Le domaine est alors racheté par la municipalité. On peut toujours admirer la chapelle, le moulin à eau restauré par le parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse, le bel ensemble des communs, le dôme abritant une rare glacière intacte, l'orangerie, les loges de gardes décorées de bas-reliefs de terre cuite (œuvres d'Augustin Pajou en 1784), le pont-galerie, dont l'arche médiévale fut ornée d'arcades couvertes au début du XIXe siècle. On voit un château et un moulin sur une carte de 1694.

Ruiné par les guerres civiles religieuses, Châteaufort devint un village pauvre.

Avant 1809, construction d'un nouveau château dont on voit l'emplacement sur le cadastre napoléonien. Il est détruit en 1951.

Au cours de son histoire, la commune de Châteaufort a fait partie de trois départements différents :

  1. 1790 : création du département de Seine-et-Oise (78) auquel est rattachée Châteaufort. Le code Insee attribué en 1943 est 78143.
  2. Loi du , Journal officiel du avec effet au  : Châteaufort est rattachée au nouveau département de l'Essonne (91) lors de la partition de la Seine-et-Oise. Le code Insee devient 91143.
  3. Décret du , Journal officiel du et effet au  : Châteaufort est rattachée au département des Yvelines (78) et retrouve son ancien code Insee 78143.

Le , le village a accueilli la neuvième saison de Star Academy diffusée sur NRJ12 et AB3 (Belgique).

Depuis le , il fait partie de la communauté d'agglomération de Versailles Grand Parc.

L'aérodrome de Châteaufort[modifier | modifier le code]

Le , le Français Adolphe Pégoud (de son véritable prénom Célestin) au départ de l'aérodrome Borel à Châteaufort (Yvelines), expérimenta le premier saut en parachute depuis un avion en abandonnant un vieux Blériot XI sacrifié pour l'occasion. Une fois libéré de son pilote, l'avion livré à lui-même forma dans le ciel de curieuses arabesques avant de s’écraser au sol. Ces manœuvres donnèrent à Pégoud l'idée de réaliser des figures aériennes jusqu’ici impensables pour l'époque. C'est ainsi qu'il effectua, dans les semaines suivantes, le premier vol sur le dos et l'un des tout premiers loopings de l'histoire, devenant ainsi le précurseur de la voltige aérienne.

C'est à Châteaufort que périrent André Salel et son mécanicien Roger Robin dans l’après-midi du en réalisant le deuxième d’essai du prototype d’avion de combat F 420-01 de Farman. Maryse Hilsz, la compagne d'André Salel, fit ériger, à l’endroit même où l’avion s’était écrasé, une stèle en mémoire du pilote et de son mécanicien. La stèle fut inaugurée le , un an après l’accident.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2004 2020 Patrice Pannetier    
2020 En cours Patrice Berquet    

Économie[modifier | modifier le code]

Le siège social français de la société Nortel était installé sur le territoire communal, avant d'être racheté par la société Kapsch[19].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 1 515 habitants[Note 3], en augmentation de 10,91 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
414466523545524570624574591
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
482553593564591637693692704
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
693706644623605575558577677
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
7177498127691 4271 4531 4091 4011 388
2018 2021 - - - - - - -
1 4081 515-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 695 hommes pour 713 femmes, soit un taux de 50,64 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
1,0 
3,5 
75-89 ans
4,1 
17,7 
60-74 ans
14,9 
23,9 
45-59 ans
26,8 
18,1 
30-44 ans
18,8 
16,3 
15-29 ans
13,9 
20,4 
0-14 ans
20,6 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Sports[modifier | modifier le code]

Stèle à la mémoire de Jacques Anquetil.

Au carrefour des routes départementales 36 et 938, au sommet de la côte de la Trinité, une statue en bronze de Jacques Anquetil sur son vélo avait été érigée, en , après la mort du champion cycliste survenue en . Cette statue a été rapidement volée pour être sans doute revendue pour la valeur du bronze. Elle est aujourd'hui remplacée par une stèle portant la plaque commémorative qui était restée.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château du Gavois sur une ancienne motte castrale appartenant aux Montlhéry - (location de salles pour évènements).
  • Le château de la Geneste, construit au XIXe siècle. Il compte un domaine abritant un terrain hippique, des écuries et des dépendances. En 2012-2013, il accueille les élèves de la saison 9 de Star Academy[26].
  • Le Donjon : la moitié du niveau inférieur de ce donjon circulaire, qui faisait 18,6 mètres de diamètre à la base et devait s'élever à une hauteur d'environ 36 mètres, constitue le seul vestige du château fort édifié aux XIe et XIIe siècles. Ses murs ont une épaisseur de 3 mètres et ont 4 larges contreforts quadrangulaires. La tour est conservée uniquement sur sa moitié inférieure correspondant à une salle basse. On remarque un corbeau de pierre orné d'une figure grimaçante, un couloir de latrines et les vestiges de deux archères[27].
  • Le château de la Motte ou de Marly : bâti sur le sommet de la motte de Marly se trouve le plus ancien des châteaux forts du village. Il est au centre de l'éperon qui surplombe la vallée. Il fut possession du chevalier Amaury, de la famille des Gometz[28] et fondateur du prieuré Saint-Christophe avec l'autorisation des seigneurs dominant du site, les Montlhéry. On y trouve aujourd'hui une maison bourgeoise qui s'élève sur deux niveaux avec un étage de comble.
  • L'église Saint-Christophe se trouve sur le lieu d'un ancien prieuré cité en 1068. L’église actuelle, de style Napoléon III, date de 1848. On peut contempler la petite crypte du prieuré contiguë, restaurée en 1982.
  • Une grotte ornée (voir : Monuments mégalithiques des Yvelines)[réf. nécessaire].
  • La réserve naturelle du Domaine d'Ors, espace naturel protégé située dans la vallée de la Mérantaise[29].
  • La Maison des Sœurs sélectionnée par la Fondation du patrimoine de Stéphane Bern pour le Loto du Patrimoine 2022[30].

Galerie[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Adolphe Pégoud (1889-1915), aviateur. Il a effectué ici son premier saut en parachute, en 1913, depuis un avion Blériot,
  • André Salel (1904-1934), aviateur, mort à Châteaufort alors qu'il effectue un vol d'essai d'un avion de combat.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Châteaufort (Yvelines) Blason
De gueules au château fort d'argent maçonné et ajouré de sable, ouvert du champ, mouvant de la pointe, donjonné et flanqué de quatre échauguettes, le donjon chargé d'un écusson d'azur fretté d'or.
Détails

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Châteaufort », p. 951–955

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Châteaufort et Toussus-le-Noble », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  13. a et b Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1461 (ISBN 2600028846).
  14. Marianne Mulon, Noms de lieux d’Ile de France, 1997.
  15. André Châtelain, Châteaux forts et féodalité en Ile de France : du XIe au XIIIe siècles, coll. « Patrimoine », , p. 51.
  16. Cercle Généalogique de Versailles et des Yvelines, Paysages d'Yvelines à la fin du XVIIIe siècle : Le cadastre de Bertier de Sauvigny, Archives départementales des Yvelines, .
  17. André Châtelain, Châteaux forts et féodalité en Ile-de-France du XIe au XIIIe siècle, Éd. Créer, .
  18. Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti
  19. Marc Cherki, « Usine Nortel à Châteaufort : 160 postes maintenus », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Châteaufort (78143) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  26. Damien Mercereau, « Star Academy : Le nouveau château dans les Yvelines », sur Le Figaro, (consulté le ).
  27. « Châteaufort et les Montlhéry, donjon circulaire tome III »,
  28. Raphaël Bijard, « Le premier conflit de l’ère capétienne (991 - 996) et sa phase de résolution (début du XIe s.) – leur influence sur la genèse du domaine royal et l’évolution de la cour palatiale »,
  29. Domaine d'Ors sur www.parc-naturel-chevreuse.fr
  30. « La Maison des Sœurs à Châteaufort retenue pour le loto du patrimoine 2022 », sur tv78.com, (consulté le ).