Bonneval (Eure-et-Loir)

Bonneval
Bonneval (Eure-et-Loir)
Le fossé ceinturant le centre-ville fortifié.
Blason de Bonneval
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes du Bonnevalais
(siège)
Maire
Mandat
Eric Jubert
2023-2026
Code postal 28800
Code commune 28051
Démographie
Gentilé Bonnevalais, Bonnevallais
Population
municipale
4 859 hab. (2021 en diminution de 2,55 % par rapport à 2015)
Densité 169 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 10′ 56″ nord, 1° 23′ 20″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 175 m
Superficie 28,78 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bonneval
(ville isolée)
Aire d'attraction Bonneval
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Châteaudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Bonneval
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Bonneval
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Bonneval
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Bonneval
Liens
Site web ville-bonneval.eu

Bonneval est une commune française située dans le département d’Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Au cœur de la Beauce et au commencement de la haute vallée de la rivière le Loir, Bonneval est un village fortifié. Autour des fortifications de l’enceinte du centre historique, le Loir coule dans les fossés.

L’abondance de l’eau au cœur de la ville lui a valu le surnom de « petite Venise de la Beauce », à l’instar de Montargis, la petite Venise du Gâtinais, dans le département voisin, le Loiret.

Position de Bonneval (en rose) dans l'arrondissement de Châteaudun (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Position de Bonneval (en rose) dans l'arrondissement de Châteaudun (en vert) du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Carte de la commune de Bonneval et des communes limitrophes
Carte

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune accueille, au nord de la ville, le point de confluence de la rivière l'Ozanne et du Loir, ce dernier étant un sous-affluent de la Loire par la Sarthe et la Maine[1].

La commune bénéficie depuis 1850 d'une station hydrologique sur le Loir : la hauteur maximale instantanée, relevée à Bonneval le , est de 6,56 m[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 633 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Pré-Saint-Évroult à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 592,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bonneval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bonneval, une unité urbaine monocommunale[12] de 4 859 habitants en 2021, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bonneval, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 1 commune, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,8 %), zones urbanisées (9,3 %), forêts (7,7 %), prairies (6,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Les Gabeaudières, la Jouannière, Jupeau, la Maison-Blanche, Méroger, Migaudry, Montfaucon, Poireux, Saint-Gilles, Saint-Martin-du-Péan, Saint-Maurice, Villancien, Vouvray.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

Transports routiers[modifier | modifier le code]

La ville de Bonneval est desservie par le réseau de mobilité interurbaine Rémi, via la ligne 3 en direction de Chartres ou de Châteaudun.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bonneval est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Loir et l'Ozanne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1999 et 2021[20],[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bonneval.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[21]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 58,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 983 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1532 sont en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Bona Vallis en 861[25].

Du latin bonam et vallem « bonne vallée »[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

C’est autour de l’abbaye Saint-Florentin dont la fondation est entamée en 857 à l'instigation du chevalier Foulques, seigneur de Bonneval[26], que le village de Bonna-Valis s'est développé.

Foulques de Bonneval confie au moine bénédictin Gausmar la tâche de la construction du monastère ainsi que de l'établissement d'une communauté religieuse. Le chevalier Foulques donne, dans le même temps, des terres à Gausmar, afin que la communauté, une fois établie, puisse avoir les moyens de subvenir à ses besoins[26].

L'abbaye qui reçoit des reliques de Saint-Florentin, martyrisé en Bourgogne, prendra le nom d'abbaye Saint Florentin de Bonneval[26].

Lors de l'officialisation de la langue française, le nom latin Bonna-Valis signifiant ''Bon Val'' en français, a été remplacé par Bonneval.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

La paroisse Notre-Dame de Bonneval dépend du diocèse de Chartres puis du diocèse de Blois, de l'archidiaconé de Dunois et du doyenné de Beauce.

Bonneval est le siège d'une prévôté: en 1779, Pierre Philippe Lebrun est président, prévôt, juge royal civil, criminel et de police de Bonneval[27].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Au cours de la première moitié du XIXe siècle, Bonneval absorbe deux communes : Saint-Martin du Péan en 1827, et Saint-Maurice sur le Loir en 1829[28].

Vendue à la Révolution comme bien national pour faire une filature, l'abbaye Saint Florentin est transformée en 1845, six ans après la fondation du bagne du Mettray, en colonie agricole pour la jeunesse désocialisée. Le système de redressement pour enfants se développant dans des zones agricoles plus reculées, en particulier au Luc, le centre de Bonneval est réaffecté en 1861 pour faire un asile d’aliénés. En 1933, la direction médicale de l'asile est confiée à Henri Ey, ancien interne à Sainte Anne de Paul Guiraud qui, reconnaissant sa dette à la psychanalyse sans se départir entièrement des thèses « organicistes » en vigueur, en fait, dans une optique humaniste, un centre pilote de soins où le patient est considéré comme un sujet[29].

Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols, emportés dans la « retirada », fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil, le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion, 53 villages sont mis à contribution[30], dont Bonneval[31]. Les réfugiés sont, sauf exceptions, des femmes et des enfants, les hommes étant désarmés et retenus au Vernet, à Gurs, à Argelès, à Rivesaltes et quelques autres camps d'internement du sud de la France. Ces femmes et ces enfants sont soumis à une quarantaine stricte et vaccinés. Le courrier est limité. Le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[32]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 d'entre eux expriment leur refus de rentrer. Ils sont rassemblés à Dreux et à Lucé[33].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Élection municipale de 2014[modifier | modifier le code]

  • Maire sortant : Joël Billard (UMP)
  • 27 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2011 : 4 674 habitants)
  • 6 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CC du Bonnevalais)
Résultats de l'élection municipale du à Bonneval[34]
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % CM CC
Joël Billard * UMP-UDI 1 425 65,88 23 5
Corinne Riverain DVG 738 34,11 4 1
Inscrits 3 242 100,00
Abstentions 644 19,86
Votants 2 598 80,14
Blancs et nuls 435 13,42
Exprimés 2 163 66,72
* Liste du maire sortant

Élection municipale du 15 mars 2020[modifier | modifier le code]

  • Maire sortant : Joël Billard
  • 29 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 5 055 habitants)
  • 16 sièges à pourvoir au conseil communautaire (communauté de communes du Bonnevalais)
Élection municipale du 15 mars 2020 à Bonneval[35]
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % CM CC
Joël Billard DVD 888 100 % 29 16
Inscrits 3 226 100,00
Abstentions 2 103 65,19
Votants 1 123 34,81
Blancs et nuls 235 7,28
Exprimés 888 27,53

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Carte de la communauté de communes du Bonnevalais dans le département d'Eure-et-Loir (2018).
Carte de la communauté de communes du Bonnevalais dans le département d'Eure-et-Loir (2018).

Depuis 2002, Bonneval est le siège de la communauté de communes du Bonnevalais, la neuvième d'Eure-et-Loir par sa population, environ 13 000 habitants (2015). En 2018, la communauté regroupe 19 communes, et le maire, Joël Billard, est le président de la communauté de communes.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1967 Jules Gouzy    
1967 1970 Françoise Panoff    
1970 1977 Henri Martino    
1977 1995 Robert Peigné    
1995 21 mars 2023[36] Joël Billard[37],[38] UDF, DL, UMP-LR Ancien cadre - Ancien sénateur, ancien conseiller général
21 mars 2023[36] En cours Eric Jubert DVD  

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[39].

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[40].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Carte
Jumelages et partenariats de Bonneval.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Bonneval.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Allendorf[41]Allemagnedepuis
Westerham[41]Royaume-Uni

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École maternelle publique « Le Petit Poucet », ruelle des Vignes ;
  • École élémentaire publique « Le Petit Prince », 7 rue du Bois Chevalier ;
  • École primaire (élémentaire et maternelle) privée « Saint-Sauveur », 15 rue de la Vicomté ;
  • Collège « Albert-Sidoisne », 16 rue des Écoles.

Santé[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

En 2021, la commune comptait 4 859 habitants[Note 3], en diminution de 2,55 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1711 5511 7181 7792 4322 5602 6702 8693 055
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 0043 0063 4863 3483 3983 4203 6313 7893 818
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 9544 0113 9913 5973 6163 6273 6993 8034 296
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4 6284 8534 8924 8644 4204 2854 2184 1614 565
2014 2019 2021 - - - - - -
4 9194 8464 859------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,0 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (34,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (34,6 %) est supérieur au taux départemental (26,5 %).

En 2018, la commune comptait 2 396 hommes pour 2 554 femmes, soit un taux de 51,60 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,12 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 1]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,4 
90 ou +
3,5 
9,1 
75-89 ans
13,3 
20,5 
60-74 ans
21,2 
20,2 
45-59 ans
18,6 
16,7 
30-44 ans
15,4 
13,8 
15-29 ans
12,4 
18,4 
0-14 ans
15,6 
Pyramide des âges du département d'Eure-et-Loir en 2020 en pourcentage[46]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,9 
6,9 
75-89 ans
9,3 
17,1 
60-74 ans
17,7 
20,7 
45-59 ans
20 
18,3 
30-44 ans
18,3 
16,2 
15-29 ans
14,4 
20 
0-14 ans
18,3 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Principaux Clubs[modifier | modifier le code]

Canoë Kayak Club Bonnevalais

Basket Club Bonnevalais

Infrastructures[modifier | modifier le code]

Événements sportifs[modifier | modifier le code]

La Godillose[modifier | modifier le code]
Départ de la Godillose 2007

La Godillose[47] est une randonnée pédestre française qui a lieu chaque troisième week-end de juin à Bonneval depuis 1992, organisée par l'association regroupant les 20 communes du canton. Elle fut créée en même temps que l’association de marcheurs de la ville, les Godillots, les deux étant indépendants. Son but est de suivre le principe des randonnées de 100 kilomètres, avec aussi l’esprit d’amateurisme, le classement n’étant fait que par nombre de kilomètres parcourus : les personnes terminant au même endroit mais à des heures différentes sont classées ex æquo ; il n’y a pas de primes à gagner mais simplement des lots pour promouvoir la région. Chaque édition attire environ 500 personnes.

Son tracé varie d’une année à l’autre, mais passe toujours par Bonneval et les vingt communes de son ancien canton. Le trajet complet est de 125 kilomètres, divisés en 20 étapes correspondant à chacun des villages ; les étapes mesurent chacune de 3,5 à 8,5 km[48]. Le départ a toujours lieu le samedi à 13 heures, et tout le monde est arrêté le dimanche à 13 heures, quelle que soit la distance parcourue (si une étape est encore en cours, elle peut être terminée). De plus il est interdit de courir sous peine de disqualification : il ne s’agit que de marche.

Comme pour beaucoup d’autres longues randonnées effectuées en durée limitée, il s’agit principalement de routes, accompagnées de quelques chemins permettant de passer entre les champs. D’un point de vue de l’altitude, les faux-plats sont fréquents car une majeure partie du circuit se fait en Beauce dans des zones cultivées, mais le Loir et la Conie fournissent quelques dénivelés plus ou moins importants. Différents points importants sont observables au fur et à mesure du trajet, aussi bien anciens (certaines églises[49]…) que récents (parcs d’éoliennes, ligne de TGV…).

Liste des meilleures performances (trajet complet en 18 heures ou moins) depuis 2006[50]
Nom Année Durée (hh:mm) Vitesse moyenne (km/h)
Philippe Clément 2014 15:46 7,928
Patrick Cailleaux 2013 16:09 7,740
Jean-Claude Bardou - 16:21 7,645
Fabrice Parrain - 16:21 7,645
Christophe Biet 2012 17:20 7,212
Patrick Baudet - 17:40 7,075
Guy Delacour - 17:40 7,075
Cyclisme[modifier | modifier le code]

Bonneval est liée à la classique Paris-Tours : la ville a accueilli le départ en 2014, est le lieu de départ chaque année de la course espoirs et voit passer très régulièrement la course. La ville a également organisé le départ de 3 étapes du Tour de France : la 5e étape en 1999 remportée à Amiens par Mario Cipollini, la 6e étape en 2004, remportée à Angers par Tom Boonen, et le contre-la-montre l'avant-dernier jour en 2012, gagné à Chartres par Bradley Wiggins. Wiggins s'est également imposé lors du prologue du Tour de l'Avenir 2003, organisé à Bonneval. Enfin, Bonneval est la ville de l'ancien professionnel Laurent Bezault[51].

Économie[modifier | modifier le code]

Énergie éolienne[modifier | modifier le code]

Installé en 2006 par la société Zéphir, le parc éolien de Bonneval réunit six turbines Vestas V80 d'une puissance de 2 MW chacune, développant une puissance totale de 12 MW[52].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Abbaye Saint-Florentin[modifier | modifier le code]
Entrée de l’ancienne abbaye de Saint-Florentin.

Logo monument historique Classé MH (1883)[53] Le monastère bénédictin de Bonneval fut fondé en 857 sous les auspices de Charles de Provence, arrière-petit-fils de Charlemagne. Dédiée primitivement aux saints Pierre et Marcellin, l’abbaye prit le nom de Saint-Florentin à la suite du transfert des reliques de saint Florentin et saint Hilaire, martyrisés à Suin en Bourgogne.

Elle fut pillée en 911 lors des invasions normandes, puis durant la guerre de Cent Ans, puis en 1568 par le grand Condé, à la tête des protestants. À la Révolution, le domaine fut déclaré bien national et vendu à un négociant qui y installa une filature puis une fabrique de tapis.

Devenu propriétaire de l’abbaye en 1828, le conseil général y établit en 1845 une colonie agricole pour enfants abandonnés qui fit place, en 1861, à l’asile d’aliénés départemental. Depuis 1979, celui-ci porte le nom d'un psychiatre français : le Centre Hospitalier Henri Ey, en hommage à l'ancien médecin chef du service des femmes (1934-1970) de Bonneval. Des religieuses, les sœurs de Saint Paul de Chartres, sont présentes jusqu'à la fin des années 1960 dans ce service pour assister les infirmières laïques dans les soins à apporter aux malades et vivre auprès de ces dernières dans la vie quotidienne[54].

Église Notre-Dame[modifier | modifier le code]
L'église vue depuis les bords du Loir.
L'église, depuis les bords du Loir.

Logo monument historique Classé MH (1954)[55] L’église est du style gothique primitif, le plus pur, et date en majeure partie du début du XIIIe siècle, toutefois les parties basses du chevet et les trois fenêtres voisines de chaque collatéral sont en plein cintre et reflètent la fin du XIIe siècle. Le début de la construction la rend donc contemporaine de la cathédrale Notre-Dame de Chartres. Les pignons ornés de crochets sont du XVIe siècle. La flèche des ardoises qui surmonte l’église est ornée d’une galerie et s’élève à 65 mètres au-dessus du sol. Elle abrite trois cloches dont deux anciennes sont classées, l’une date de 1598, l’autre de 1793[56].

Édifices civils[modifier | modifier le code]

La Maison du Cheval Blanc[modifier | modifier le code]

Ancienne demeure d'Albert Sidoisne, Historien de la ville.

Portes et vestiges de fortifications[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1927)[57], Logo monument historique Inscrit MH (1927)[58].

Justice de paix[modifier | modifier le code]
L'ancienne justice de paix, aujourd'hui Espace Culturel Martial-Taugourdeau.

Logo monument historique Classé MH (1965)[59]. Datant du XIIIe siècle, cet édifice massif aurait abrité une maison de justice mais aucun document n'en atteste.

Hôtel de la Lanterne[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1971)[60].

Maison du Dauphin[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1971)[61].

L'ordre du Temple possédait un important établissement à Bonneval, appelé l'Abbaye. Le bâtiment tout en longueur se composait aux moins de deux étages sur rez-de-chaussée, au milieu duquel se trouvait une porte cochère en ogive, dont il reste le jambage et le départ de trois voussures. L'édifice actuel n'est plus qu'une infime partie. À l'intérieur, au premier, subsiste une cheminée dont le manteau est en anse de panier retombant sur deux chapiteaux primitifs. Celle-ci est également visible de l'extérieur, du côté de la rue Hérisson.

Monument aux morts[modifier | modifier le code]
Le monument aux morts, sculpté par Félix Charpentier.
Le monument aux morts, sculpté par Félix Charpentier.

Le monument aux morts de la guerre 1914-1918 a été réalisé par Félix Charpentier (1858-1924), sculpteur d'origine provençale installé à Chassant (Eure-et-Loir).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d’or aux deux barres de sable[63].

Blasonnement des armes traditionnelles de la ville de Bonneval :

« De gueules, au lion d’or sur une terrasse de sinople, tenant une hallebarde d’or emmanchée de sable de la patte droite, et ayant sur la patte gauche un écusson d’azur à trois fleurs de lis d’or 2 et 1. »

— Malte-Brun, la France illustrée (1882)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notice Auteur Titre Publication
FRBNF36277142 Sidoisne, Albert Bonneval sur le Loir, d'après les textes et documents d'Albert Sidoisne. [Nouvelle édition.] Bonneval : Édition du Syndicat d'initiative ; (Illiers : Impr. Launay), 1965
FRBNF34196519 Sidoisne, Albert Pierre sculptée de l'abbaye Saint-Florentin de Bonneval… s. l. n. d., Gr. in-8° (253 x 166), 8 p., Extrait du "Bulletin de la Société dunoise". N° 197,
FRBNF35027780 Rabouin, M. Histoire de Bonneval Paris ; Amiens (16 rue Octave Tierce, 80000) : Res universis, 1989
FRBNF35181474 Guillemin, Marc Histoire des rues de Bonneval Bonneval 20 ; (rue de Chartres, 28800) : C. Puybaret, 1990
FRBNF30073332 Thiroux, Jean Histoire abrégée de l'Abbaye de Saint-Florentin de Bonneval Châteaudun : impr. H. Lecesne, 1875
FRBNF33813849 Henri IV (roi de France 1553-1610) Lettres patentes par lesquelles le Roy remet et restablit les justices et jurisdictions de Chartres, cydevant transférées à Bonneval Tours : impr. de J. Mettayer, 1591
FRBNF33841667 Louis XV (roi de France 1710-1774) Lettres patentes... concernant l'abonnement du don gratuit de la ville de Bonneval... Paris : P.-G. Simon, 1760
FRBNF36691738 Collectif Vivre dans le canton de Bonneval à la fin du XVIIIe siècle Bonneval : Amis de Bonneval, 1989
FRBNF35721946 Guillemin, Marc - Petit, Jean-Paul Bonneval et son canton pendant la Seconde guerre mondiale Bonneval (5 rue Saint-Roch, 28800) : C. Puybaret, 1994
FRBNF37660227 Aradan, Michel L'école, une vieille histoire : l'exemple de Bonneval, en Eure-&-Loir. Tome 1, Des origines à 1830 s.l. ; M. Aradan, 1998 ; 28-Nogent-le-Rotrou : Impr. Daupeley-Gouverneur
FRBNF40309240 Nicolle, Victor Jean Vue intérieure de l'Eglise de Bonneval près Chartres Dessin à la plume et encre brune, aquarelle ; 25,5 x 19,3 cm
FRBNF40309241 Delorme, C. Crypte de l'abbaye de Bonneval Dessin à la plume et lavis à l'encre de Chine, rehauts de gouache sur papier chamois ; 19,7 x 15,2 cm

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sites[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Ozanne (M1034000) » (consulté le ).
  2. Banque Hydro - MEDDE, « Synthèse de la Banque Hydro - Le Loir à Bonneval (M1041620) » (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Bonneval et Pré-Saint-Évroult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pré-Saint-Évroult », sur la commune de Pré-Saint-Évroult - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Pré-Saint-Évroult », sur la commune de Pré-Saint-Évroult - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Bonneval », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bonneval », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  25. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 316.
  26. a b et c Roger Judenne, Reverseaux. Histoire du domaine, des origines à nos jours., Lèves, ELLA éditions, , 130 p. (ISBN 978-2-36803-274-9), p. 14.
  27. Les noms des autres prévôts se trouvent dans un tableau élaboré par le Cercle généalogique du Perche-Gouet.
  28. http://cassini.ehess.fr/fr/html/fiche.php?select_resultat=4860
  29. J. Chazaud & L. Bonnafé, La folie au naturel : le premier Colloque de Bonneval comme moment décisif de l'histoire de la psychiatrie, collect° "Psychanalyse et civilisations", série "Trouvailles et retrouvailles", L'Harmattan, Paris, 2005 (ISBN 9782747598361).
  30. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
  31. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
  32. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
  33. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
  34. Résultats officiels pour la commune Bonneval
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  36. a et b « Sans surprise, Éric Jubert succède à Joël Billard à la mairie de Bonneval. », sur L'Echo Républicain, (consulté le ).
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  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département d'Eure-et-Loir (28) », (consulté le ).
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  49. Référence à celle de Meslay-le-Vidame
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  55. « Église », notice no PA00096977, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. « 2 cloches (cloche de clocher) », notice no PM28000048, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. « Portes de Ville », notice no PA00096981, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. « Vestiges de fortifications », notice no PA00096978, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. « Ancienne justice de paix », notice no PA00096976, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. « Maison dite Hôtel de la Lanterne », notice no PA00096980, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. « Maison dite Maison du Dauphin », notice no PA00096979, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. Biographie d’Henri Ey sur http://psydoc-fr.broca.inserm.fr
  63. La banque du Blason