Blacqueville

Blacqueville
Blacqueville
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes Caux-Austreberthe
Maire
Mandat
Sylvain Bulard
2020-2026
Code postal 76190
Code commune 76099
Démographie
Gentilé Blacquevillais
Population
municipale
707 hab. (2021 en augmentation de 4,28 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 51″ nord, 0° 51′ 50″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 143 m
Superficie 10,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Barentin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Blacqueville

Blacqueville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est située à 25 km de Rouen entre les villes de Barentin et d'Yvetot.

Les communes à proximité de Blacqueville sont : Fréville, Carville-la-Folletière, Mesnil-Panneville, Mont-de-l'If, Croix-Mare, La Folletière, Villers-Écalles, Bouville, Betteville...

Les villes proches de Blacqueville sont : Yvetot, Barentin et Duclair à 10 km, Maromme à 16 km, Déville-lès-Rouen et Canteleu à 17 km.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 877 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ectot-lès-Baons à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 905,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Blacqueville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,8 %), prairies (16,7 %), forêts (12,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), zones urbanisées (3,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le lieu est attesté sous la forme Blachrevilla vers 1080[14].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens de « domaine rural » (terme issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »). Le premier élément Blacque- est, comme dans la plupart des noms en -ville, un anthroponyme : le nom du propriétaire.

François de Beaurepaire propose le nom de personne vieux norrois Blakkr[15], surnom basé sur l'adjectif signifiant « sombre, brun grisâtre » (même racine que l'anglais black « noir », issu du vieil anglais blæc « sombre, foncé, brun gris »[16]). Cet anthroponyme rare est porté entre autres par Blakkr, un des scaldes du roi Sverrir Sigurðarson[17].

Il existait aussi en moyen anglais, d'autres termes proches phonétiquement et sémantiquement blake, bleach, bleike au sens de « pale, jaune », ainsi que l'anglais moderne bleak qui remonterait au vieux norrois bleikr « blanc, brillant »[18]. Le mot normand blèque « blet, blette » n'est pas une altération phonétique du terme français, mais appartient bien plutôt à cette famille de mots. Il se superpose au vieux norrois bleikr et au vieux saxon blēc.

Remarque : le maintien du [r] dans l'élément Blacre- / Blachre- est insolite, car généralement il s'est amuï pour ce type de nom de personne en -r, peut-être s'agit-il d'une trace phonétique telle que l'aurait laissée l'anthroponyme norrois Blákári ?

On retrouve le nom de personne Blakkr dans Le Chamblac, commune de l'Eure (Campus Blaque 1234), dans les anciens hameaux de Blactot (à Carentan, Manche et dans le pays de Caux) et Blacquemare à Beuzeville (Eure) combinés respectivement avec les appellatifs norrois topt > -tot et marr > mare.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le célèbre théologien et moine Jean Golein est né à Blaqueville-en-Caux vers l'an 1325. La seigneurie de Blacqueville dont le siège se trouvait dans un château autrefois au lieu-dit de Bellegarde fut érigée, avant 1487, en vicomté par la réunion de quatre fiefs. Cette petite vicomté avait droit de haute justice sur les habitants. Elle relevait féodalement de la baronnie de Montville. Les quatre fiefs dépassaient largement les limites de la paroisse. En voici la composition : 1/ la terre et la châtellenie de Sainte-Croix des Ifs, relevant de Montville 2/ le plein fief de haubert nommé Bellegarde (dit Blacqueville), relevant aussi de Montville 3/ le 1/8 de fief nommé Hermenonville avec son manoir appelé « la pierre » 4/ le 1/8 de fief de haubert nommé Houdetot assis aussi sur Blacqueville. Le siège du fief est aujourd'hui difficile à situer car ce lieu-dit a disparu. Sur la paroisse de Blacqueville existaient d'autres fiefs indépendants de la vicomté : Le Mesnil-Grand-Avoine et le Neufbosc.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime[19].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Pavilly[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Barentin[19]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Blacqueville était membre de la petite communauté de communes du Plateau Vert, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a été supprimée, et Blacqueville a intégré le , la communauté de communes Caux-Austreberthe dont est désormais membre la commune[19].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1793   François Bocquet    
1799   Robert Jean-Baptiste Lorgery (fils)
né en juin 1766
  Laboureur
1816   François Gelee   Fabricant d'huile, propriétaire de quatre moulins
1848   Pascal Leguillon   Nommé maire provisoire à la suite de la dissolution de la municipalité en avril 1848
1852   Jean-Baptiste Duperron
né en mars 1814
  Cultivateur propriétaire,
1868   Jules Denier    
1891   Olivier Avenel    
1892   Albert Morel    
1896   Édouard Dupont    
1911   Gustave Follet    
1925   Henri Grandsire    
1829   Émile Sannier    
1945   Augustin Langnel    
mars 1959 mars 1983 Gabriel Sannier   Agriculteur
mars 1983 mars 2001 Jean Baray   Agriculteur
mars 2001 En cours
(au 11 août 2020)
Sylvain Bulard UMPLR Cadre de la fonction publique
Vice-président de la CC du Plateau Vert (2014 → 2016)
Vice-président de la CC Caux-Austreberthe (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[22],[23],[24],[25]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 707 habitants[Note 3], en augmentation de 4,28 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
785875824760771771718688631
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
62164524515482480478483440
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
473458436366361336328350359
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
337340288446529536588595623
2017 2021 - - - - - - -
707707-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

Le terrain multisports.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale Notre-Dame de Blacqueville a fait l'objet d'importants travaux en plusieurs phases à partir de 2008 en commençant par le clocher-porche. Il était construit en bois dans sa partie supérieure et recouvert d'ardoise. Il a remplacé une tour carrée en pierre située jadis entre la nef et le chœur, mais effondrée dans l'après-midi du mardi 5 septembre 1815. À cette occasion, la toiture s'écrasa sur le chœur, détruisant le maître autel, la sacristie, la chapelle de la Sainte Vierge, mais aussi les deux autres autels situés à l'entrée de la nef. On remonta en urgence les murs et la couverture. Les travaux sont bien visibles aujourd'hui dans la maçonnerie de remplissage entre le chœur et la nef. Cinq ans plus tard, les Blacquevillais n'avaient toujours pas de clocher. Un architecte dessina plusieurs projets de « clocher porche » pour former un avant corps en harmonie avec le reste. La commune, et non pas la fabrique paroissiale, entreprit les travaux après juillet 1821. On utilisa du moellon blanc ou caillou avec chaîne de brique. Par souci d'économie, les encoignures en pierre provenaient de la démolition de l'ancien clocher. La nef de l'église en pierre blanche est ancienne mais avec des travaux entre le Moyen Âge et la Révolution. Quelques dates rappellent l'époque des rénovations. Le chevet du sanctuaire est plat, sans ouverture, avec un grand retable. La sacristie à droite a été refaite avant 1879.
Cette église était à la présentation des religieux de l'abbaye Sainte-Catherine du Mont. Ce droit aux religieux fut contesté en 1711 par Jacques de Lannoy, seigneur du Vertot, de Bellegarde, qui prétendait avoir le droit de présenter alternativement à la cure avec les religieux. On lui reconnut finalement la qualité de patron honoraire[29].
  • Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Philippe Gaury, Il était une fois : Pavilly, Bouville, Blacqueville, tome 1, Ed de Fontenelle, 1997, 380p. (ISBN 285019041 1)
  • Philippe Gaury, « Les églises de la communauté de communes du Plateau Vert », dans bulletin de 2007, p. 2-11.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Blacqueville et Ectot-lès-Baons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5 et 2-7084-0040-1, OCLC 6403150, LCCN 80100776).
  15. ibidem.
  16. T. F. Hoad, English Etymology, Oxford University Press, 1993 (ISBN 0-19-283098-8), p. 42.
  17. Skaldic Poetry of the Scandinavian Middle Ages - Kari Ellen Gade 2009, « (Introduction to) Blakkr, Lausavísur » in Kari Ellen Gade (ed.), Poetry from the Kings’ Sagas 2: From c. 1035 to c. 1300. Skaldic Poetry of the Scandinavian Middle Ages 2. Brepols, Turnhout, pp. 649-51. [1]
  18. T. F. Hoad, op. cit., p. 43.
  19. a b et c « Commune de Blacqueville (76099) (commune actuelle) », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2021), sur insee.fr (consulté le ).
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Blacqueville », sur seine76.fr (consulté le ).
  22. « Sylvain Bulard se représente à Blacqueville : Le maire UMP espère briguer un troisième mandat à la tête de la commune grâce à une équipe recomposée », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  23. « Sylvain Bulard réélu maire », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  24. « Municipales 2020 : le maire de Blacqueville repart en campagne : Sylvain Bulard va briguer un quatrième mandat de maire avec la liste Continuons ensemble pour Blacqueville », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « J’ai été élu conseiller municipal en 1995 et j’ai succédé à Jean Baray en tant que maire en 2001, poste que j’occupe depuis. Je suis vice-président à la com’com Caux-Austreberthe, que nous avons intégrée en 2017 suite à la dissolution de celle du plateau Vert, indique le candidat ».
  25. « Liste des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Archives départementales de Seine-Maritime, 2 B 412