Barentin

Barentin
Barentin
Le viaduc de Barentin sur la ligne Paris - Le Havre.
Blason de Barentin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes Caux-Austreberthe
Maire
Mandat
Christophe Bouillon
2020-2026
Code postal 76360
Code commune 76057
Démographie
Gentilé Barentinois
Population
municipale
12 154 hab. (2021 en diminution de 0,78 % par rapport à 2015)
Densité 954 hab./km2
Population
agglomération
20 375 hab.
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 43″ nord, 0° 57′ 16″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 128 m
Superficie 12,74 km2
Élections
Départementales Canton de Barentin
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Barentin
Liens
Site web ville-barentin.fr

Barentin est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

C'est la ville-centre d'une agglomération de trois communes, l'unité urbaine de Barentin.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Barentin s'étend sur 1 274 hectares, est située à l'intersection des grands axes routiers qui joignent Paris au Havre et Dieppe à la vallée de la Seine.

Distante de 20 km de Rouen et d'Yvetot (capitale du pays de Caux), c'est une localité qui s'inscrit dans le cadre de la vallée touristique de l'Austreberthe, qui traverse la commune.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

Barentin est traversée par l'ancienne RN 15 devenue RD 6015 (axe Rouen-Le Havre). La commune est située à 17 kilomètres au nord-ouest de Rouen accessible par l'A150. Depuis février 2015, l'autoroute contourne la ville par le sud jusqu'à Yvetot via le viaduc de l'Austreberthe.

La gare de Barentin est desservie par les trains de la ligne Rouen - Le Havre du réseau TER Normandie.

Faune et flore[modifier | modifier le code]

La commune est classée « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 814 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ectot-lès-Baons à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 905,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Barentinum[8], Barentini vers 1006[9], Barentin au XIIIe siècle.

Ce toponyme, repose sur un radical prélatin barant, peut-être gauloise, comme pour Barenton, qui évoque l'eau[10].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dès 1006, Barentin se fait connaître et remarquer par ses activités économiques.

Une branche des seigneurs de Barentin donna des personnalités politiques de Jersey au Moyen Âge notamment deux homonymes connus sous le nom de Drouet de Barentin.

En 1846 : effondrement du viaduc de Barentin.

Du Moyen Âge à aujourd'hui, les moulins, les papeteries, les filatures, puis la haute technologie ont marqué le développement de la ville.

Le , la ville reçoit la visite du président Sadi Carnot[11].

Une vie culturelle locale attractive, son musée dans la rue (exceptionnel en France[réf. nécessaire]), de nombreux magasins, une vaste zone commerciale artisanale et industrielle permettent de recevoir les touristes en toutes saisons.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Pavilly[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du canton de Barentin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Barentin est membre de la communauté de communes Caux-Austreberthe, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2012 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le Code général des collectivités territoriales.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, une seule liste était présente, celle menée par Christophe Bouillon (PS) — soutenue par le maire sortant — qui a donc été élue dès le premier tour lors d'un scrutin marqué par 70,08 % d'abstention et près de 10 % de votes blancs et nuls. Cette liste est donc élue, avec 33 conseillers municipaux dont 18 conseillers communautaires.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1839 1847 Lalizel    
1852   Baudry    
1863 1865 Valmont    
1866   Gaillard    
1870 1877 Louis Leseigneur    
1881 1883 Charles Damilaville   Filateur
  1908 Auguste Badin[13]   Industriel
Conseiller général de Pavilly (1874 → 1880)
Officier de la Légion d'honneur
Les données manquantes sont à compléter.
1920 1944 Julien Neveu Rad. Pharmacien
1945 1974 André Marie Rad. Avocat
Député de la Seine-Inférieure (1928 → 1942 et 1945 → 1962)
Ministre (1947 → 1949 et 1951 →1954)
Président du Conseil (1948 → 1948)
1974 mars 1989 Gaston Sanson UDF Instituteur
mars 1989 mai 2020 Michel Bentot PRG puis
MR
Instituteur retraité
Conseiller général de Pavilly (1992 → 1998)
Président de la CC Caux-Austreberthe (2012 → 2020)
mai 2020[14],[15] En cours
(au 10 août 2020)
Christophe Bouillon PS puis
sans étiquette
Député de la Seine-Maritime (5e circ.) (2007 → 2020)
Conseiller départemental de Barentin (2015 → )
Maire de Canteleu (2001 → 2014)
Président de la CC Caux-Austreberthe (2020[16] → )

Jumelages[modifier | modifier le code]

Barentin est jumelée avec :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[17],[Note 1].

En 2021, la commune comptait 12 154 habitants[Note 2], en diminution de 0,78 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5101 9001 8591 4381 7882 1642 5023 0183 073
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6713 0723 2902 7293 1723 7434 2754 4185 082
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5 5706 0396 2016 2996 2515 9895 4905 2796 371
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
7 9629 79010 77312 36412 72112 83612 20812 23912 061
2021 - - - - - - - -
12 154--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

La ville comporte de nombreux services médicaux. D'abord, l'hôpital et la maison de retraite, en centre-ville, ainsi qu'un centre de convalescence aux Campeaux, quartier de Barentin, situé à côté du Hamelet. Enfin, la ville accueille plusieurs médecins (comme sept dentistes, en centre-ville). La plupart sont regroupés dans un centre médical spécialisé (le centre médical Aristide-Briand), au niveau de la zone commerciale. On y trouve un ophtalmologiste, une orthoptiste, un dermatologue, cardiologue, des ORL... Et plus haut, un nouveau cabinet s'est ouvert, avec des médecins généralistes, spécialistes et une diététicienne.

Sports[modifier | modifier le code]

Le site de la mairie communique les informations suivantes[20] :

  • Athlétic Club de Barentin : A.C.B ;
  • Barentin Badminton Club : BBC créateur et président entraîneur encore actuellement et depuis 1962 : Bernard Lechalupe. C'est lui qui a découvert et entrainé Ghislaine Auzou (Pichard), sept fois championne de France.
  • La Boule Barentinoise ;
  • Boxing Club Barentinois ;
  • Football Club Barentinois ;
  • Hockey Club Barentin : club évoluant en National 1
  • Rugby Club de Barentin : créé en 1978 ;
  • Sport U.S. Barentin :
    • Les Crazy Bees : équipe de Flag +17 ans, engagée en championnat National Flag +17 ans depuis 2010 (10e de la poule Nord en 2012-2013[21], 6e en finale de la coupe de France 2014 masculine [1]). L'équipe +17ans des Crazy Bees fut invaincue dans le championnat de D2 lors de la saison 2014-2015 et jouera en D1 pour la saison 2015-2016. Les Crazy Bees possède également une équipe -11/-13 ans,
    • Les Killer Bees : équipe de football américain engagé dans le championnat de Normandie de Football Américain depuis 2013.

Médias[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin.
  • L'église Saint-Martin, vaste construction romane a été édifiée entre 1855 et 1860. Elle est construite d'après les plans de Désiré Martin et du chanoine Charles Robert, architecte du diocèse de Rouen. De style néoroman, elle fait référence à l'abbatiale Saint-Georges de Boscherville. L'intérieur d'une extrême sobriété, comporte de simples voûtes sur croisées d'ogives et des arêtes sur arcs boutés. Les verrières d'origine, posées en 1856, ont été presque totalement détruites en 1944. Les panneaux actuels ont été réalisés par François Lorin, d'après des dessins de Georges Mirianon. L'un des vitraux de la façade représente le premier blason de la ville de Barentin[22].
  • La chapelle Saint-Hélier, date du XVIe siècle, suivant la légende, le pape Clément VI, ancien archevêque de Rouen, ayant vendu une partie de Barentin, en réserva la jouissance viagère à ses deux nièces. Elles y auraient fondé un couvent de femmes, dont la chapelle Saint-Hélier aurait été l'oratoire[23]. En réalité, il s'agit de l'ancienne chapelle du château seigneurial de Barentin détruit durant la guerre de Cent Ans, elle est bâtie selon un assemblage en damier de pierre blanche et silex. Son chevet remonte vraisemblablement au XIVe siècle ; le reste de l'édifice date du XVIe siècle. Le fief de Saint-Hélier devint la possession des Clémentins au milieu du XIVe siècle. Il appartient ensuite aux seigneurs de Pôville, au chevalier de Bardouville et à la famille d'Esneval. Au début du XXe siècle, le saint est célébré le 16 juillet par un pèlerinage[22].
  • L'hôtel de ville, construit entre 1901 et 1906, est dû à l'architecte rouennais Georges Bourienne.
  • Sur la place de la Libération, a été ré-édifiée une fontaine attribuée à Guillaume Coustou.
  • Le théâtre Montdory, inauguré en 1959, est de l'architecte Michel Percheron. Les glaces et les peintures visibles dans l'escalier, proviennent du transatlantique Liberté.
Réplique de la statue de la Liberté à Barentin.
Le presbytère de Barentin.
  • L'un des ouvrages les plus visibles est le viaduc ferroviaire sur la ligne Paris - Le Havre, conçu par l'ingénieur Joseph Locke. Ce viaduc (haut de 33 mètres et long de 480 mètres) permet de traverser l'Austreberthe et sa vallée.
  • La municipalité de Barentin a poursuivi la création du « Musée dans la Ville », programme original d'installation de statues en de nombreux points de la ville réalisé par André Marie. Elle revendique le titre de ville aux cent statues, en fait on peut y voir 160 statues. La plus célèbre est une réplique de la Statue de la Liberté de 13,5 mètres de hauteur, réalisée en polyester créée à l'origine pour le film Le Cerveau et offerte à la ville par Gérard Oury. Des œuvres de Paul Belmondo, Antoine Bourdelle, Auguste Rodin, embellissent ainsi la ville.
  • Le théâtre de Verdure, anciennement « Tuileries-Courvaudon » : y ont été remontées dix-sept colonnes provenant du palais des Tuileries, incendié en 1871[24]. Elles avaient d'abord orné le parc du domaine du couturier Charles Frederick Worth à Suresnes (Hauts-de-Seine), détruit pour laisser place à l'hôpital Foch dans les années 1930. Elles restent alors dans les jardins de l'hôpital. Le maire de Barentin André Marie les rachète à la fondation Foch en 1956 et fait aménager ce théâtre en plein air. Les colonnes entourent une scène de 20 mètres d'ouverture, tandis que six autres venues d'Antibes indiquent avec une statue l'entrée du parc du théâtre. De 1956 à 1975, il accueille le festival Pierre et Thomas Corneille puis un festival de rock. La représentation inaugurale a lieu le 22 juin 1957, avec la pièce Le Cid, devant 3000 personnes. Sur les dix-sept colonnes initialement installées à Barentin, seulement cinq sont restaurées et ré-installées en 2011 dans le théâtre de Verdure[25]. Trois autres sont placées à l'entrée du parc et les gradins en pierre sont remplacés par de la pelouse. Certaines parties dégradées des colonnes (fûts, chapiteaux) ont été copiées à l'identique lors de la restauration et les originaux détruits[26].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Drouet de Barentin, est le patronyme de deux notables de Jersey issus de la même famille de la noblesse normande originaire du village de Barentin près de Rouen. Le plus ancien des deux Drouet de Barentin fut le premier bailli de Jersey et vécut au XIIIe siècle ; le second vécut au XIVe siècle et fut gardien de l'île de Jersey.
  • Auguste Badin (1830-1917), industriel, maire de Barentin de 1881 à 1908.
  • Émile Duboc (1852-1935), commandant, héros du combat de Shipu, né à Barentin.
  • André Marie (1897-1974), homme politique élu maire de Barentin de 1945 à 1974.
  • Père Jacques (1900-1945), prêtre catholique, résistant, né à Barentin.
  • Odile Pierre (1932-2020), organiste internationale, y a passé sa jeunesse et commencé sa carrière aux orgues de l'église Saint-Martin.
  • Abdel-Kader Chékhémani, athlète né à Barentin.
  • Jacques Mauger, tromboniste né à Barentin.
  • Nilda Fernández (1957-2019), auteur-compositeur-interprète, y a été professeur d'espagnol. Il a d'ailleurs enregistré une chanson dénommée 76 360 où il fait une description peu flatteuse de la ville.
  • Pierre Le Gall, photographe, y a été professeur de philosophie.
  • Pat O'May, guitariste, chanteur.
  • Aurélien Bellanger, écrivain français.
  • Françoise Mabille, première femme sapeur-pompier en France.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Barentin

Les armes de la commune de Barentin se blasonnent ainsi :

D'azur au viaduc de trois arches et deux demies d’argent maçonné de sable, mouvant des flancs, surmonté de trois abeilles d’or rangées en chef.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Émile Lefort, Barentin autrefois, aujourd'hui, Rouen, 1933 et 2004, Le Livre d'histoire-Lorisse, Monographies des villes et villages de France de Micberth (ISBN 2-84373-627-7)
  • Louis Leseigneur, Guerre de 1870-71. Les Prussiens à Barentin, Rouen, 1872 et 1992, Le Livre d'histoire-Lorisse, Monographies des villes et villages de France de Micberth (ISBN 2-87760-900-6)
  • Claude-Paul Couture, Histoire de Barentin, Marcel Etaix,
  • Claude-Paul Couture, Images de Barentin : 1900-1950, Barentin,
  • Claude-Paul Couture, Images de Barentin : 1950-2000, , 103 p. (ISBN 2867433592)
  • Claude-Paul Couture, Images de Barentin : Au fil du temps passé, , 141 p.
  • Laurent Thomas, « Le viaduc de Barentin », revue Voies ferrées, Grenoble, 2011
  • Jean-Marie Grisel et Jean-Pierre Dugelay (préf. Michel Bentot), Images de Barentin : Le musée dans la rue,
  • Barbara Pellerin, Barentin, 76 rue Auguste Badin, Point de vues, , 76 p.
  • Émeline Osmont, « Les Établissements Badin à Barentin : quand l'usine devient patrimoine », dans Études normandes, 2009
  • Philippe Gaury et Georges Verdure, Barentin (préf. Alain Alexandre), Éditions Le Pucheux, 2011, 255p. (ISBN 978-2-918856-08-5)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Barentin et Ectot-lès-Baons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. Marguerite Bruneau, Seine-Maritime, 1999, p. 150 (ISBN 2862532401).
  9. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, 1979, p. 37.
  10. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 58.
  11. Journal de Rouen, 14 septembre 1888.
  12. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  13. « Badin, Augiste Amant », base Léonore, ministère français de la Culture.
  14. « Christophe Bouillon briguera la mairie de Barentin en 2020 : Le maire de Barentin Michel Bentot a officiellement adoubé hier, samedi 30 mars, le député de la 5e circonscription de Seine-Maritime comme candidat à sa succession aux élections municipales de 2020 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. Sophie Bogatay, « Municipales 2020. Christophe Bouillon officiellement nouveau maire de Barentin : Le député socialiste retrouve un fauteuil de maire. Il a officiellement été installé jeudi après la victoire de son équipe le 15 mars », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « {{{1}}} ».
  16. « Christophe Bouillon élu président de la communauté de communes Caux Austreberthe : Dirigé par Christophe Bouillon, l’exécutif de la communauté de communes est élu avec huit vice-présidents et trois femmes déléguées », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  19. « Collège André Marie », sur ac-rouen.fr (consulté le ).
  20. http://www.ville-barentin.fr/default_zone/fr/html/page-168.html
  21. http://www.fffa.org/medias/4f0711643d3b9/files/Documents%20%C3%A0%20t%C3%A9l%C3%A9charger%20Flag/Classements_Championnat_Flag_2012_2013.pdf
  22. a et b « Barentin », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5)
  23. Joseph Bunel et Albert Tougard, Géographie du département de la Seine-Inférieure. Arrondissement de Rouen, E. Cagniard, (ISBN 2-86743-057-7).
  24. « Barentin : inauguration ce matin des colonnes restaurées des Tuileries au théâtre de verdure », paris-normandie.fr, 15 octobre 2011.
  25. Renée Grimaud, Hauts-de-Seine insolites : Trésors cachés et lieux secrets, Parigramme, 2013, p. 50.
  26. Les Tuileries. Grands décors d’un palais disparu, éditions du Patrimoine, 2016, p. 250-251.