Balaruc-les-Bains

Balaruc-les-Bains
Balaruc-les-Bains
Vue depuis la Montagne de la Gardiole.
Blason de Balaruc-les-Bains
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Sète Agglopôle Méditerranée
Maire
Mandat
Gérard Canovas
2020-2026
Code postal 34540
Code commune 34023
Démographie
Gentilé Balarucois
Population
municipale
7 073 hab. (2021 en augmentation de 3,24 % par rapport à 2015)
Densité 817 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 26′ 30″ nord, 3° 40′ 40″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 169 m
Superficie 8,66 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Sète
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Frontignan
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Balaruc-les-Bains
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Balaruc-les-Bains
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Balaruc-les-Bains
Liens
Site web https://www.ville-balaruc-les-bains.com/

Balaruc-les-Bains [ba.la.ʁyk le bɛ̃] est une commune française située dans le sud-est du département de l'Hérault en région Occitanie. Depuis le , elle fait également partie de la communauté d'agglomération Sète Agglopôle Méditerranée.

Exposée à un climat méditerranéen, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « herbiers de l'étang de Thau » et l'« étang de Thau et lido de Sète à Agde ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Balaruc-les-Bains est une commune urbaine et littorale qui compte 7 073 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Sète et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier.

Ses habitants sont appelés les Balarucois et Balarucoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Balaruc-les-Bains est construit sur les rives de l'Étang de Thau. Elle fait partie des trois stations thermales de l'Hérault avec Avène et Lamalou-les-Bains.

C'est aussi la première station thermale de France qui accueille environ 52 000 curistes par année.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Balaruc-les-Bains
Balaruc-le-Vieux
Bouzigues Balaruc-les-Bains Frontignan
Étang de Thau
Sète
(point quadruple)
Étang de Thau et vue sur Sète.
Vue sur l'étang de Thau et sur Sète depuis Balaruc-les-Bains

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 628 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 2,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sète à 4,35 km à vol d'oiseau[3], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[8] : les « herbiers de l'étang de Thau ». Occupant une superficie de 8 320 ha, ce site abrite de très vastes herbiers de zostères (Zostera marina et Zostera noltii) en très bon état de conservation[9]

Un autre site relève de la directive oiseaux[8] : la ZPS de l'« étang de Thau et lido de Sète à Agde ». D'une superficie de 7 770 ha, ce site comprend l'étang de Thau (le plus grand des étangs languedociens avec 19,5 km en plus grande longueur) et une partie du cordon dunaire qui le sépare de la mer Méditerranée, le tout présentant une très grande diversité d'habitats (sansouire, prés humides, marais salants, boisements, étendue d'eau saumâtre, vasière, roselière, herbiers, et anciens salins). Les salins et les zones humides au nord de l'étang accueillent une riche variété d'oiseaux migrateurs et nicheurs. L'étang est un site classé d'importance internationale pour le flamant rose ; c'est également une zone d'hivernage pour le grèbe à cou noir, il abrite une colonie de sternes naines, et les lagunes et salins attirent la mouette mélanocéphale. Les steppes à salicornes y sont fréquentées par le pipit rousseline. Les buttes des tables salantes sont des lieux privilégiés pour la nidification des laro-limicoles (voir Charadriiformes)[10].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[11] : l'« étang de Thau » (6 790 ha), couvrant 8 communes du département[12] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[11] :

  • le « complexe paludo-laguno-dunaire de Bagnas et de Thau » (9 072 ha), couvrant 10 communes du département[13] ;
  • la « montagne de la Gardiole » (5 289 ha), couvrant 10 communes du département[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Balaruc-les-Bains est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[I 1],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sète, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[I 2] et 90 720 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5],[I 6].

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (42,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (36,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,4 %), eaux maritimes (33 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), cultures permanentes (0,3 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Balaruc-les-Bains est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Sète, regroupant 8 communes exposées aux débordements de cours d’eau et à la submersion marine et par les étangs, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[23]. Les événements significatifs antérieurs à 2019 sont les crues de 1937, de 1953 (Montbazin - La crue la plus importante de mémoire d’homme), de 1955, de 1963, de 1979, de 1987, la plus présente dans la mémoire collective, de 1997 (Balaruc-le-Vieux 80 cm à 1 m d’eau sur la route, Rue du camping au passage de l’Agau), de 2003 et d'automne 2014 (Plusieurs épisodes hydrométéorologiques notables se sont succédé sur l’arc méditerranéen causant des décès et des dégâts considérables). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2003, 2013, 2016, 2018, 2019 et 2020[25],[21].

Balaruc-les-Bains est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Balaruc-les-Bains.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 53 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 412 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 673 sont en aléa moyen ou fort, soit 69 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].

Parmi les risques Installations industrielles classées (ICPE), à proximité, sur le territoire de Frontignan se trouve une entreprise(s) SEVESO seuil haut[30]. Et d'anciennes industries (notamment Cédest engrais) ont laissé des sols particulièrement pollués sur deux zones étendues près du port de plaisance[31].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Balaruc-les-Bains est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom antique de Balaruc-les-Bains était Maimona (Mannona, Mannonam), ce nom apparaît dans le cartulaire de Maguelone en 1130. On retrouve ce nom inscrit sur un bloc de pierre. En 1187, apparaissent les mentions Apud Aix, Ecclesiam de Aquis, Sancta Maria de Aquis, apud Aixs en 1226, de Aquis en 1228 où des vestiges d'un établissement thermal ont été mis au jour en 1863 et 1865[33].

Le nom de la localité est attesté sous les formes alode de Balarug en 961 (dans une copie du XVIIe siècle)[34]; Ballaruc en 1083[34]; castrum de Baladuco[34] dans une charte de 1120; Balazuc en 1129[34] et en 1130; Bazaluch en 1130[34]; Baladuc en 1140[34] et dans une charte de 1182; Balazuc en 1145[34]; de Balazuco en 1169[34]; castelli Bazaluci en 1170[34]; Bazaluco en 1226[34], Balaruc en 1238[34].

En 1962, Charles Camproux donne une origine gauloise au nom Balaruc dont une des formes anciennes serait Baladunum dans une charte de 1099; bal évoque un escarpement et dunum la notion de forteresse[35].
Dans son Dictionnaire des noms de lieux de l'Hérault, F. Hamlin est plus prudent mais, lui aussi, propose une origine prélatine. Balaruc serait donc un oppidum gaulois[35].

Pour Ernest Nègre, le toponyme, dériverait probablement du latin Vada Luci (« gués du bois »). *Vazaluc, Bazaluc serait la forme primitive, passée à Balazuc par interversion de z et l[34].

Los Banhs de Balaruc [lus bans de ba.la.'ryk] en occitan.

Le , Balaruc est scindé en deux communes; Balaruc-le-Vieux et Balaruc-les-Bains étaient nées. (B.L. 1887, XXXIII-1263).

Histoire[modifier | modifier le code]

Les eaux de Balaruc étaient connues dans l'Antiquité. À cette époque, Balaruc-le-Vieux était le lieu de l'agriculture et Balaruc-les-Bains était déjà consacré au thermalisme. Le nom antique de Balaruc-les-Bains était Maimona (Mannona, Mannonam). Ce nom apparaît dans le cartulaire de Maguelone en 1130. On retrouve ce nom sur un document photographique d'une inscription sur un bloc de pierre. En 1187, apparaissent les mentions Apud Aix, Ecclesiam de Aquis, S Maria de Aquis. Les fouilles ont révélé la cité antique qui couvrait une dizaine d'hectares. On a découvert le sanctuaire de Neptune (près du groupe scolaire, 1985), la Domus du Vendémiaire (1990), les thermes antiques sous le square Docteur Bordes (1991-1994), la nécropole du Pech-Méjan (1980), le temple de Mars (avenue des Thermes), avec un autel votif «Marti suo / L(ucius) I(uilius) Maten/us Libe(ns)» et de nombreux ex-voto. Un aqueduc de 5 km amenait les eaux d'Issanka jusqu'à la cité. Trois sites archéologiques sur la commune sont enregistrés à l'INPN : l'hôtel des Pins (rue Montgolfier)[36], Négafols[37], et le n° 12 de la rue du Port[38].

Sous l'Ancien Régime, Balaruc-les-Bains n'était qu'une paroisse (Notre-Dame d'Aix) formant une seule communauté avec Balaruc.

Balaruc-les-Bains. - Boulevard du Parc, 1ère moitié du XXe siècle
Balaruc-les-Bains. - Boulevard du Parc, 1re moitié du XXe siècle.

Les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire » et créée en l’an II[39].

Le , la commune de Balaruc-les-Bains est divisée en deux communes distinctes : Balaruc-le-Vieux et Balaruc-les-Bains[40],[41].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis 1944.
Période Identité Étiquette Qualité
21 septembre 1944 1945 Pierre Pesce SFIO Nommé président de la délégation à titre provisoire par décision préfectorale
6 mai 1945 4 novembre 1947 Pierre Pesce SFIO  
1947 1950 François Mounet SE  
1950 mars 1965 Augustin Lauze DVD  
1965 1965 Casimir Billière   Pour quelques heures
juin 1965 juin 1965 Délégation spéciale   À la suite de la démission du conseil municipal du
Juillet 1965 décembre 1969 Raoul Bonnecaze PCF  
janvier 1970 septembre 1978 Maurice Burguière PCF  
septembre 1978 mars 2001 Jean-Claude Combalat PCF  
mars 2001 mars 2002 Didier Chapellet UMP  
mars 2002 mars 2008 Didier Sauvaire UMP  
mars 2008 En cours
(au 19 aout 2023)
Gérard Canovas[42],[43] DVG Retraité de la fonction publique et gestionnaire de biens immobiliers[44],[45]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population jusqu'en 1886[modifier | modifier le code]

De 1836 à 1886, les recensements de population comptabilisent la population des 2 sections qui constituent la commune de Balaruc-les-Bains : Balaruc-le-Vieux et Balaruc-les-Bains. Le recensement de 1856 distingue explicitement la section de Balaruc-les-Bains de celle de Balaruc-le-Vieux avec 376 habitants pour la première contre 285 pour la seconde.

1836 1841 1851 1856 1861
623595584661690
1866 1872 1876 1881 1886
7457828909921 287

Évolution de la population depuis 1886[modifier | modifier le code]

Au dernier recensement, la commune comptait 7073 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
6201 0081 4181 4971 6251 7171 7182 0281 601
1946 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006
1 6271 8221 8302 9574 3695 0135 6886 1806 232
2010 2015 2020 2021 - - - - -
6 8686 8517 1157 073-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 368 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 6 992 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 880 [I 7] (20 330  dans le département[I 8]). 49 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (45,8 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 9,5 % 11,4 % 10,1 %
Département[I 10] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 737 personnes, parmi lesquelles on compte 74,1 % d'actifs (64 % ayant un emploi et 10,1 % de chômeurs) et 25,9 % d'inactifs[Note 9],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 2 137 emplois en 2018, contre 2 238 en 2013 et 2 079 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 442, soit un indicateur de concentration d'emploi de 87,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,4 %[I 13].

Sur ces 2 442 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 850 travaillent dans la commune, soit 35 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 81,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 12 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

818 établissements[Note 10] sont implantés à Balaruc-les-Bains au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 818 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
37 4,5 % (6,7 %)
Construction 133 16,3 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
277 33,9 % (28 %)
Information et communication 11 1,3 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 29 3,5 % (3,2 %)
Activités immobilières 62 7,6 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
73 8,9 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
131 16 % (14,2 %)
Autres activités de services 65 7,9 % (8,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,9 % du nombre total d'établissements de la commune (277 sur les 818 entreprises implantées à Balaruc-les-Bains), contre 28 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[48] :

  • Blanc SAS, commerce de gros (commerce interentreprises) de vaisselle, verrerie et produits d'entretien (11 013 k€)
  • Groupe President Electronics - Gpe, commerce de gros (commerce interentreprises) de composants et d'équipements électroniques et de télécommunication (9 563 k€)
  • Caconio, supermarchés (7 151 k€)
  • Casino De Balaruc, organisation de jeux de hasard et d'argent (3 623 k€)
  • Societe Hoteliere De La Pinede, hôtels et hébergement similaire (1 370 k€)

L'activité économique repose en grande partie sur le thermalisme et les activités touristiques des curistes. Les thermes sont gérés par la municipalité. Il y a un seul établissement qui a ouvert ses portes en 2015 remplaçant les thermes Athéna et Hespérides. C'est la première station thermale en France par sa fréquentation.

Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (20 en 1988)[51],[Carte 4].

Thermalisme[modifier | modifier le code]

Les eaux chaudes (50[52]°C[53]), qui remontent par des failles, contiennent des oligo-éléments. C'est une eau thermale faiblement salée, riche en calcium et en magnésium[54], dont les propriétés sur les problèmes articulaires (rhumatisme et traumatismes ostéo-articulaires) sont reconnues par la médecine.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame-d'Aix de Balaruc-les-Bains

L'église Notre-Dame-des-Eaux (Notre-Dame d'Aix) date du XIIe siècle. Édifice roman, il est édifié en blocs (moyen appareil) de calcaire coquillier ; c'est un appareil de Montpellier. Implanté au pied du Pech d'Ay, cet édifice a été inscrit à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques en [55]. Racheté par la municipalité de Balaruc-les-Bains en 1994, il a subi plusieurs campagnes de restauration[56].

  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Balaruc-les-Bains.
  • Chapelle Sainte-Thérèse des Usines.
  • Aqueduc gallo-romain. Il s'étire sur 5 km, depuis les sources d'Issanka et traverse la commune de Balaruc-le-Vieux. La découverte de pièces de l'empereur Claude, le fait remonter au Ier siècle

Édifice religieux dédié à Neptune et ses Nymphes. Une inscription découverte en 1665 porte : « ITEM. TRIB. LEGII[] NEPTUNO. ET N[]. GEMELLI PROC[] »

Édifice religieux gallo-romain dédié à Neptune.

Spécialités[modifier | modifier le code]

Il existe une confiserie, spécialité locale : les « bulles de Balaruc », production exclusive de Ruchers de la Hacienda, société basée à Montferrier-sur-Lez.

La chaîne de confiseries La Cure gourmande est née à Balaruc et a sa première « fabrique » dans l'ancienne gare de Balaruc-les-Bains.

Personnalités liées à la commune (par ordre alphabétique)[modifier | modifier le code]

  • Léon Donnat (né à Balaruc en 1832-1893), économiste, ingénieur, membre du Conseil municipal de Paris.
  • Joseph-Michel Montgolfier, l'un des frères Montgolfier est mort le à Balaruc-les-Bains.
  • Frédéric Perez champion de France 2007 poids plume de boxe anglaise
  • Ernest Vaast, ancien footballeur international français, mort le à Balaruc-les-Bains.
  • Sauvaire Nicolas, international de lutte gréco romaine, pensionnaire de l'Insep à Paris, 7 fois champion de France lutte libre et gréco romaine de 2004 à 2008.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Balaruc-les-Bains

Les armes de Balaruc-les-Bains se blasonnent ainsi :

tiercé en perle, au premier d'argent à une mitre de gueules, au deuxième d'azur à une amphore d'or, au troisième de gueules à fontaine jaillissante de six jets d'azur, trois à dextre, trois à senestre, l'un sur l'autre[57]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50]
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Sète » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Balaruc-les-Bains » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Balaruc-les-Bains » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Balaruc-les-Bains » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Balaruc-les-Bains » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Balaruc-les-Bains et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Sète) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Sète) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  8. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Balaruc-les-Bains », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « site Natura 2000 FR9101411 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. NATURA 2000 - FR9112018 - Étang de Thau et lido de Sète à Agde.
  11. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Balaruc-les-Bains », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF l'« étang de Thau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF le « complexe paludo-laguno-dunaire de Bagnas et de Thau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF la « montagne de la Gardiole » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Balaruc-les-Bains », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le ).
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  25. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
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  29. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
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  32. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  33. Stéphane Gendron - La toponymie des voies romaines et médiévales: les mots des routes anciennes - page111 - (ISBN 2877723321).
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  45. Identité de l'entreprise de Gérard Canovas, mise à jour du sur le site societe.com (consulté le ).
  46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  50. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
  51. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Balaruc-les-Bains - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  52. « Eau Thermale - Thermes de Balaruc les Bains Site officiel », sur thermesbalaruclesbains.com (consulté le ).
  53. Bousquet, la géologie de l'Hérault, édité par Les écologistes de l'Euzière
  54. Site internet de la commune,consulté le 27 mai 2008.
  55. « Ancienne église Notre-Dame-d'Aix », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  56. "Balaruc Antique et Médiéval" Marc Lugand
  57. Armorial des communes de l'Hérault, Didier Catarina, Jean-Paul Fernon, avec le concours de Jacky David, éd. Artistes en Languedoc, 2004, (ISSN 1264-5354), p. 32.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Régis Ayats, Jean-Marie et Lucette Pesce, Balaruc Maimona 2000 ans de passion pour l'eau, 2007
  • Albert Fabre et Paul de Rouville, Histoire de Balaruc-les-Bains, canton de Frontignan, département de l'Hérault, Nîmes, Clavel-Ballivet, , 92 p.
  • Robert Gros, Balaruc-les-Bains en Languedoc, S.l., s.n., , 92 p.
  • Raymond Lavigne, Balaruc-les-Bains : une ville au pluriel, Paris, Messidor, , 159 p.
  • Marc Lugand, Balaruc antique et médiéval : histoire et archéologie de la presqu'île balarucoise, Montpellier, Espace sud, , 141 p.
  • Jean Meyers et Brigitte Perez-Jean, Nicolas Dortoman et Balaruc : la médecine thermale à la Renaissance, Saint-Guilhem-le-Désert (Hérault), Editions Guilhem, , 304 p.
  • François Pouzaire, Traité analytique et observations pratiques sur les eaux minérales de Balaruc, contenant l'origine et la découverte de ces eaux thermales, leur nature et leur analyse, leurs propriétés et la manière d'en user : avec certain nombre d'observations de guérisons merveilleuses opérées par ces mêmes eaux. Deuxième édition, revue, corrigée et augmentée de notes et de remarques intéressantes par le citoyen Pouzaire, Montpellier, G. Izar et A. Ricard, , 95 p. (lire en ligne)

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]