Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges

Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges
Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges
Situation de l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges dans le département Vosges.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département et
collectivité territoriale
Vosges
Chef-lieu Saint-Dié-des-Vosges
Code arrondissement 88 3
Démographie
Population 108 248 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 48° nord, 7° est
Subdivisions
Communes 116

L'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges est une division administrative française, située dans le département des Vosges et la région Grand Est.

Composition[modifier | modifier le code]

Composition avant 2015[modifier | modifier le code]

Découpage communal de 2015 à 2024[modifier | modifier le code]

De 2015 à 2018, le nombre de communes des arrondissements varie chaque année soit du fait du redécoupage cantonal de 2014 qui a conduit à l'ajustement de périmètres de certains arrondissements, soit à la suite de la création de communes nouvelles. La composition de l'arrondissement est modifiée par l'arrêté du 24 octobre 2018 prenant effet au 1er janvier 2019[1] Le nombre de communes de l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges est ainsi de 90 en 2015, 88 en 2016, 88 en 2017 et 96 en 2019.

Découpage communal depuis 2024[modifier | modifier le code]

La composition de l'arrondissement est modifiée par l'arrêté préfectoral du prenant effet au , le nombre de communes passant de 96 à 116[3]. Au , l'arrondissement groupe les 116 communes suivantes[4] :

  1. Allarmont
  2. Anould
  3. Arrentès-de-Corcieux
  4. Ban-de-Laveline
  5. Ban-de-Sapt
  6. Ban-sur-Meurthe-Clefcy
  7. Barbey-Seroux
  8. Beauménil
  9. Belmont-sur-Buttant
  10. Belval
  11. Bertrimoutier
  12. Le Beulay
  13. Biffontaine
  14. Bois-de-Champ
  15. La Bourgonce
  16. Brouvelieures
  17. Bruyères
  18. Celles-sur-Plaine
  19. Champdray
  20. Champ-le-Duc
  21. La Chapelle-devant-Bruyères
  22. Charmois-devant-Bruyères
  23. Châtas
  24. Cheniménil
  25. Coinches
  26. Combrimont
  27. Corcieux
  28. La Croix-aux-Mines
  29. Denipaire
  30. Destord
  31. Deycimont
  32. Docelles
  33. Domfaing
  34. Entre-deux-Eaux
  35. Étival-Clairefontaine
  36. Faucompierre
  37. Fays
  38. Fiménil
  39. Fontenay
  40. Fraize
  41. Frapelle
  42. Fremifontaine
  43. Gemaingoutte
  44. Gérardmer
  45. Gerbépal
  46. Girecourt-sur-Durbion
  47. La Grande-Fosse
  48. Grandrupt
  49. Grandvillers
  50. Granges-Aumontzey
  51. Gugnécourt
  52. Herpelmont
  53. La Houssière
  54. Hurbache
  55. Jussarupt
  56. Laval-sur-Vologne
  57. Laveline-devant-Bruyères
  58. Laveline-du-Houx
  59. Lépanges-sur-Vologne
  60. Lesseux
  61. Liézey
  62. Lubine
  63. Lusse
  64. Luvigny
  65. Mandray
  66. Méménil
  67. Ménil-de-Senones
  68. Le Mont
  69. Mortagne
  70. Moussey
  71. Moyenmoutier
  72. Nayemont-les-Fosses
  73. La Neuveville-devant-Lépanges
  74. Neuvillers-sur-Fave
  75. Nompatelize
  76. Nonzeville
  77. Pair-et-Grandrupt
  78. La Petite-Fosse
  79. La Petite-Raon
  80. Pierrepont-sur-l'Arentèle
  81. Plainfaing
  82. Les Poulières
  83. Prey
  84. Provenchères-et-Colroy
  85. Le Puid
  86. Raon-l'Étape
  87. Raon-sur-Plaine
  88. Raves
  89. Rehaupal
  90. Remomeix
  91. Les Rouges-Eaux
  92. Le Roulier
  93. Saint-Dié-des-Vosges
  94. Saint-Jean-d'Ormont
  95. Saint-Léonard
  96. Sainte-Marguerite
  97. Saint-Michel-sur-Meurthe
  98. Saint-Remy
  99. Saint-Stail
  100. La Salle
  101. Le Saulcy
  102. Saulcy-sur-Meurthe
  103. Senones
  104. Taintrux
  105. Le Tholy
  106. Le Valtin
  107. Le Vermont
  108. Vervezelle
  109. Vexaincourt
  110. Vienville
  111. Vieux-Moulin
  112. Viménil
  113. La Voivre
  114. Wisembach
  115. Xamontarupt
  116. Xonrupt-Longemer

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2021, l'arrondissement comptait 108 248 habitants[Note 1].

Évolution de la population  [ modifier ]
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
96 26197 08095 09293 31093 39894 42894 38190 646108 248
(Sources : Base Insee, population sans doubles comptes à partir de 1962[5] puis population municipale à partir de 2006[6].)
Histogramme de l'évolution démographique

Histoire[modifier | modifier le code]

L’arrondissement de Saint-Dié est créé en 1800, prenant la place de l'ancien district. Ses cent neuf communes forment dix-neuf cantons : Brouvelieures, Nompatelize, Raon-l'Étape, Allarmont, Senones, La Broque, Plaine, Rothau, Le Puid, Hurbache, Saâles, Bertrimoutier, Laveline, Fraize, Gérardmer, Granges, Corcieux, Saint-Léonard et Saint-Dié.

Pour des raisons d'efficacité administrative, des rapprochements puis des fusionnements de cantons s'opèrent progressivement. En 1839, l'arrondissement ne compte plus que 9 cantons, soient 113 037 habitants répartis en 109 communes.

En 1849, l'arrondissement compte 117 503 habitants, 109 communes et 9 cantons répartis comme suit :

  • Brouvelieures, 10 communes, 4 601 hab.
  • Corcieux, 13 communes, 11 979 hab.
  • Saint-Dié, 22 communes, 23 442 hab.
  • Fraize, 10 communes, 17 092 hab.
  • Gérardmer, 2 communes, 6 654 hab.
  • Raon-l'Étape, 9 communes, 11 809 hab.
  • Saales, 13 communes, 13 603 hab.
  • Schirmeck, 12 communes, 13 606 hab.
  • Senones, 18 communes, 14 717 hab.

Après la guerre de 1870-1871, une partie du canton de Saales dans la haute vallée de la Fave reste française. En avril 1872, il est décidé de regrouper les communes de Colroy-la-Grande, Lubine, Lusse, La Grande-Fosse, La Petite-Fosse, Provenchères et d'y adjoindre la petite commune du Beulay pour former le petit canton de Provenchères.

En 1923, l'arrondissement compte 99 000 habitants, répartis en 8 cantons et 92 communes.

Après plusieurs décennies de stabilité, la population de l'arrondissement décroit dans les années 1970 et 1980. Cette baisse s'inverse dans les années 1990 avec la reprise d'une légère croissance[7]. L'évolution de la population redevient négative à partir de 2009[8].

Composition sociale[modifier | modifier le code]

L’arrondissement est légèrement plus pauvre que le reste du département. En 2005, 57 % des 39 300 ménages ont déclaré des revenus aux services fiscaux étaient imposables, soit un point de moins que dans le reste du département. Le revenu fiscal médian était alors de 14 850 euros par an et par unité de consommation, c'est-à dire 200 euros de moins que dans les Vosges en général et 750 euros de moins que dans la Lorraine en général[9].

L’écart entre les ménages les plus riches et les plus pauvres est toutefois plus réduit que dans le reste du département et de la région[10].

En 2006, 17 % de la population de l'arrondissement vivait sous le seuil de pauvreté. Les ménages les plus défavorisés se concentrent sur la commune de Saint-Dié-des-Vosges (avec 26 % de sa population sous le seuil de bas revenus en 2006, un revenu médian en 2005 de 13 700 euros par an par unité de compte et près de la moitié des 3 100 bénéficiaires du RMI de l’arrondissement en 2006), l'ancienne communauté de communes du Pays de Senones et la communauté de communes de la Vallée de la Plaine (avec respectivement 19 % et 21 % de la population des moins de 65 ans sous le seuil de pauvreté)[10].

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de l'arrondissement se caractérise par la forte place qu'y occupe l'industrie (29 % des emplois contre 21 % dans la région Lorraine en 2006[10]). Les services comprennent quant à eux 64 % des effectifs salariés de l’arrondissement (contre 65 % dans les Vosges en général et 72 % dans la région Lorraine[11]). Les principaux secteurs industriels représentés sont le bois, le papier, l'automobile, la métallurgie, la transformation et le textile[12]. Les services sont portés par le tourisme (341 000 nuitées dans les hôtels de l'arrondissement en 2006, soit 34 % de celles passées dans les Vosges[13]).

Sous-préfets[modifier | modifier le code]

Liste des sous-préfets successifs
Période Identité Fonction précédente Observation
1830 1837 Jean-Baptiste Loye
13 avril 1876 24 mai 1877 Paul Boegner Sous-préfet de Nantua Poste suivant : Préfet des Vosges
30 décembre 1877 17 novembre 1880 Victor Proudhon Sous-préfet de Bar-sur-Seine Poste suivant : Préfet de l'Allier
17 novembre 1880 28 février 1882 Lucien Tisserand Sous-préfet de Neufchâteau
28 février 1882 5 octobre 1884 Léandre Bobeuf Sous-préfet de Château-Therry Poste suivant : Préfet de la Mayenne
5 octobre 1884 22 mars 1889 Christian Nanot Sous-préfet de Vouziers Poste suivant : Sous-Préfet de Saint-Omer
2 mars 1885 18 mars 1895 Antoine Marty Sous-préfet d'Apt Poste suivant : Secrétaire Général de la Haute-Garonne
22 mars 1889 7 janvier 1891 Jean Salvador du Fesq Sous-préfet de Neufchâteau Poste suivant : sous-Préfet de Montbrison
18 mars 1895 9 septembre 1902 Charles Ottenheimer Sous-préfet de Remiremont Poste suivant : sous-Préfet de Dinan
9 septembre 1902 30 juillet 1906 Amédée Bovier-Lapierre Secrétaire Général de la Manche Poste suivant : Sous-Préfet de Lunéville
30 juillet 1906 23 mai 1911 Paul Mathivet Secrétaire Général de la Haute-Marne Poste suivant : Sous-Préfet de Montbrison
23 mai 1911 12 janvier 1914 Maurice de Veulle Sous-préfet de Millau Poste suivant : sous-Préfet de Pontoise
12 janvier 1914 28 janvier 1914 Henri Arnault Sous-préfet de Toulon Non-installé ; Poste suivant : Secrétaire Général de la Somme
28 janvier 1914 15 juillet 1914 Maurice de Veulle Sous-préfet de Pontoise Maintenu sur sa demande ; Poste suivant : Sous-Préfet de Lisieux
15 juillet 1914 15 octobre 1918 Jean Marraud Sous-préfet de Bonneville Poste suivant : Préfet de Loir-et-Cher
26 octobre 1918 29 octobre 1925 Alfred Golliard Sous-préfet de Brive Poste suivant : Secrétaire Général du Bas-Rhin
24 octobre 1925 28 avril 1929 Louis Just Sous-préfet de Marmande Poste suivant : Sous-Préfet rattaché à la Préfecture de la Marne
20 décembre 1932 18 janvier 1938 Armand Ytasse Sous-préfet de Guingamp Poste suivant : Directeur de cabinet du Ministre de la Marine
18 décembre 1941 5 janvier 1942 Bernard Cornut-Gentille[14] Sous-préfet de Vouziers
15 décembre 1986 20 juillet 1989 François Philizot Adjoint au chef du bureau des élections et des études politiques, à la sous-direction des affaires politiques et de la vie associative (DATAP) ENA, Administrateur civil du Ministère de l'Intérieur. Poste suivant : Sous-préfet de Saint-Pierre (Réunion)
15 novembre 1989 12 novembre 1991 Jean-Luc Delpierre Sous-préfet de Gex ENA, Administrateur civil du Ministère de l'Intérieur. Poste suivant : Détaché administrateur des P. et T.
6 février 1995 25 août 1997 Jean-Francis Treffel Sous-préfet de Lunéville Sous-Préfet. Poste suivant : Administrateur civil de 1re classe, chef du bureau de la gestion des personnels de préfecture (DPFAS)
25 août 1997 11 octobre 1999 Gilles Lagarde Sous-préfet hors cadre, expert national détaché auprès de la commission de l'Union européenne (direction des relations avec le conseil) ENA, Administrateur civil du Ministère de l'Intérieur. Poste suivant : Secrétaire général de la préfecture de Saône-et-Loire
18 octobre 1999 1er septembre 2001 Denis Gournay Sous-préfet de Lunéville ENA, Administrateur civil du Ministère de l'Intérieur. Poste suivant : Détaché directeur général adjoint chargé de l'inspection générale des services au conseil général du Nord
17 septembre 2001 16 janvier 2004 Paul Laville Détaché secrétaire général de la compagnie d'aménagement de la région Bas-Rhône et Languedoc Sous-Préfet, ancien officier de l'Armée. Poste suivant : Administrateur civil, mis à disposition auprès de la DATAR en qualité de commissaire à l'aménagement, au développement et à la protection du massif pyrénéen
16 février 2004 27 décembre 2006 Jean-Pierre Tressard Sous-préfet de Wissembourg Administrateur civil du Ministère de la Défense. Poste suivant : sous-Préfet de Saint-Laurent-du-Maroni
25 avril 2007 1er février 2010 Gilles Cantal Sous-préfet chargé de mission pour la politique de la ville auprès du préfet de la région Pays-de-la-Loire, préfet de la Loire-Atlantique Administrateur territorial détaché. Poste suivant : Sous-Préfet de la tour-du-Pin
2 avril 2010 27 juillet 2011 Éric de La Moussaye Sous-préfet de Coutances Conseiller des affaires étrangères détaché. Poste suivant : chef adjoint de la mission “Achats” à la direction générale de l'administration et de la modernisation du Ministère des Affaires Etrangères
29 août 2011 17 novembre 2013 Christophe Salin Adjoint à la sous-directrice de la circulation et de la sécurité routières Administrateur civil hors classe. Poste suivant : sous-préfet de Sarreguemines
18 novembre 2013 25 mars 2016 Yves Camier Sous-préfet d'Altkirch Administrateur territorial hors classe détaché. Poste suivant : Chargé de mission à la mairie de Caen
2 mai 2016 25 mars 2018 Laurent Monbrun Sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Landes Commissaire de la Police Nationale détaché. Poste suivant : Administrateur civil, conseiller juridique du Directeur Général de la Police Nationale
9 avril 2018 2 juin 2020 Sylvie Siffermann Sous-préfète de Limoux Directrice du travail détachée. Poste suivant : Secrétaire générale adjointe pour les affaires régionales et européennes de la région Grand Est, chargée du pôle « modernisation et moyens »
2 mai 2016 Carole Dabrigeon Directrice générale de l’institut national de sécurité routière et de recherches Sous-préfète hors classe.

Histoire[modifier | modifier le code]

La Société philomatique vosgienne, société savante née à Saint-Dié en 1875, après l'amputation en 1871 du canton de Schirmeck et du demi-canton de Saales, s'est donné pour première mission de valoriser cet arrondissement de la montagne vosgienne. Cette tâche intervient en complément de la Société d'Émulation des Vosges, fondée auparavant sous la Restauration à Épinal.

Les études historiques prouvent la cohésion de cet ensemble territorial. Il ne faut toutefois pas le fermer. Car les liens de solidarité les plus anciens des populations locales dépassent largement le cadre étriqué et éminemment variable par mutation électorale, de l'arrondissement administratif. Ils rayonnent aujourd'hui encore sur la région Alsace, en particulier la vallée de la Bruche, le val de Villé, la vallée de la Liepvre et le val et plateau d'Orbey. La zone d'influence englobe même comme le prouvent les études dialectales, la vaste commune de La Bresse et au sud-est, inclut les rives de la Vologne jusqu'à Laval-sur-Vologne avec les environs de Bruyères. Les confins orientaux de Rambervillers appartiennent à cet ensemble, que les marchands de la belle cité rambuvetaise ont pu considérer autrefois en hinterland montagnard. Il existe aussi une limite floue aux franges de Meurthe-et-Moselle, notamment vers Baccarat, près des abords du lac de Pierre-Percée et aux confins de Badonviller et Raon-lès-Leau.

C'est pourquoi les zones de chalandise du bassin de Saint-Dié-des-Vosges atteignent cent mille unités.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Préfet de la région Grand Est, Arrêté préfectoral n° 2018/566 portant modification des limites territoriales du département des Vosges., Strasbourg, (lire en ligne)
  2. Insee, « Code officiel géographique au  » (consulté le ).
  3. Préfecture de la région Grand Est, « Arrêté préfectoral no 2023/488 portant modification des limites territoriales des arrondissements du département des Vosges », Recueil des actes administratifs Édition du ,‎ , p. 71-83 (lire en ligne [PDF], consulté le )
  4. Insee, « Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges (883) » (consulté le ).
  5. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  6. Fiches Insee - Populations légales de l'arrondissement pour les années 1968, 1975, 1982, 1990, 1999, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  7. INSEE, Économie Lorraine, n°144, octobre 2008, Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges : renouveau démographique mais fort recul de l'emploi industriel, p. 2
  8. INSEE, Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges, Résumé statistique, consulté le 16/08/2016
  9. INSEE, Économie Lorraine, n°144, octobre 2008, Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges : renouveau démographique mais fort recul de l'emploi industriel, p. 5
  10. a b et c INSEE, Économie Lorraine, n°144, octobre 2008, Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges : renouveau démographique mais fort recul de l'emploi industriel, p. 6
  11. INSEE, Économie Lorraine, n°144, octobre 2008, Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges : renouveau démographique mais fort recul de l'emploi industriel, p. 7
  12. INSEE, Économie Lorraine, n°144, octobre 2008, Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges : renouveau démographique mais fort recul de l'emploi industriel, p. 6 et 7
  13. INSEE, Économie Lorraine, n°144, octobre 2008, Arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges : renouveau démographique mais fort recul de l'emploi industriel, p. 8
  14. René Bargeton, Dictionnaire biographique des préfets (septembre 1870-mai 1982), Paris, Archives nationales, , 555 p. (ISBN 978-2-86000-232-5, BNF 35744170), « Cornut-Gentille (Bernard Albert Charles) », p. 169.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Archives départementales des Vosges, Liste des sous-préfets de Saint-Dié : de l'an 8 à 1919, Épinal, Archives départementales des Vosges, 1950.
  • BLACHON (Rémi), « Premiers sous-préfets de Saint-Dié », Bulletin de la Société philomatique vosgienne, 115e année, vol. XCII, 1989.
  • Karl (Adrien), Golbéry (Gaston), Arrondissements d'Épinal, Saint-Dié, Remiremont, Vosges, Paris, A. Karl, 1895.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]