Amfreville-la-Mi-Voie

Amfreville-la-Mi-Voie
Amfreville-la-Mi-Voie
La mairie.
Blason de Amfreville-la-Mi-Voie
Blason
Amfreville-la-Mi-Voie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Hugo Langlois
2020-2026
Code postal 76920
Code commune 76005
Démographie
Gentilé Amfrevillais
Population
municipale
3 296 hab. (2021 en augmentation de 4,07 % par rapport à 2015)
Densité 837 hab./km2
Population
agglomération
532 559 hab.
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 10″ nord, 1° 07′ 52″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 145 m
Superficie 3,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Darnétal
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web amfreville-la-mivoie.fr

Amfreville-la-Mi-Voie est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Amfreville-la-Mi-Voie est située à 5 km au sud de Rouen, sur la rive droite et la rive gauche de la Seine, dans le canton de Darnétal.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La ligne de bus 15 permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes, avec un bus toutes les 25 minutes en moyenne. La ligne 15 comporte ainsi 50 rotations par jour dans le sens Amfreville- Rouen et 48 dans l'autre sens. Le 1er bus part à 5h45 et le dernier bus revient à 21h15.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 781 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Amfreville-la-Mi-Voie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[11] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (52 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (28,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,7 %), forêts (23 %), eaux continentales[Note 3] (19,4 %), prairies (5,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Amfreville-la-Mi-Voie est une mentionnée sous les formes Offredivilla et Offrevilla en 1205[17], Onfreville en 1217 (Arch. S.-M. cart. f. 32), Ouffreivilla en 1226 (Archives départementales de la Seine-Maritime, 25 H), Onffreville en 1319, Offreville en 1392 (Arch. S.-M., G 3267), Onffreville la mi-voie en 1395 (Arch. S.-M., B Ech. f. 172 v.), Onffrevilla media via en 1441 et en 1442 (Arch. S.-M., G 9439), Onffreville la myvoie en 1444 (Arch. S.-M., tab. Rouen), Onffreville la Mivoye en1463 (Arch. S.-M., tab. Rouen), Offreville en 1471 (Arch. S.-M., G 3269), Amfrevilla media via en 1501 (Arch. S.-M., G. 9402), Oufreville la my voie en 1648, Amfreville la Myvoie en 1738 (pouillé), Amfreville la mivoye en 1757 (carte de Cassini), Amfreville la Mivoye en 1788 (Dict.), Amfreville la mi Voie en 1952 (I.G.N.)[18].

Les formes anciennes indiquent que le premier élément Amfre- d’Amfreville n'est pas analogue à celui des autres Amfreville de Normandie. En effet, pour ces derniers, elles sont toutes du type Ansfridivilla, Ansfredivilla[17], dans lesquels le premier élément représente manifestement l'anthroponyme vieux norrois Ásfríðr, le plus souvent de genre féminin, et qui se perpétue dans les noms de famille normand Anfry et Lanfry (< l'Anfry). Il s'est confondu avec le nom de personne francique Ansfred, d'où le patronyme normand Anfray.

Dans le cas d'Amfreville-la-Mi-Voie, au vu des formes anciennes, il est préférable d'avoir recours à son équivalent vieil anglais Ōs-ferð (Osferth) de même étymologie germanique[17].

La toponymie ancienne des environs est constituée de nombreux noms de lieux scandinaves ou anglo-scandinaves : Boos, Belbeuf, Le Thuit, Normare, Bouquelon, Inglemareetc.

Le déterminant complémentaire la-mi-Voie, attesté en 1395, évoque la route de Rouen à Pont-de-l'Arche qui traverse ce village (cf. le Boullay-Mivoye sur la route de Dreux à Chartres)[17], le nom s'explique parce que la commune se trouve, à peu près, à mi-chemin de Rouen et du Port-Saint-Ouen où se trouvait la première poste sur le grand chemin de Paris, le complément qui constitue un syntagme assez rare apparaît à la fin du XIVe siècle[19].

Lescure, lieu-dit d'Amfreville-la-Mi-voie, a laissé son nom à un quai de Seine : quai Lescure. Contrairement aux apparences, il ne semble pas s'agir du nom de personne méridional Lescure qui aurait été importé et qui est issu des toponymes occitans du type Lescure. En effet, il est déjà attesté sous la forme Scurra vers 1055. La conservation du s devant le c est graphique et sert à indiquer un [e] ou un [ɛ] (cf. Ménesqueville).

Ernest Nègre explique le mot escure comme un ancien terme de langue d'oïl signifiant « grange » et que l'on retrouve dans Escures-sur-Favières (Calvados, Escurium 1154) et Xures (Meurthe-et-Moselle, Scuris 1103), ainsi que les lieux-dits Escures à Commes et à Saint-Jean-le-Blanc, également situés dans le département du Calvados. Ce même terme se retrouve en langue d'oc, mais le type toponymique est plutôt Lescure (cf. ci-dessus)[20].

L'étymologie d'escure est germanique, d'une racine *skūr- (vieux haut allemand sciura, scûra > Scheuer « grange », néerlandais schuur, danois skure « abris »), plutôt francique au nord (voire saxon dans le Calvados) et gotique au sud.

Histoire[modifier | modifier le code]

Amfreville industrielle au début du siècle dernier.

Une seule berge était aménagée pour le halage, la rive gauche de la Seine étant inondable et donc souvent marécageuse, les ouvriers du fleuve n'avaient pas d'autre choix que de passer par Amfreville-la-Mi-Voie.

Autrefois commune industrielle[Quand ?] (fabrique d'alun ou de nitrate de plomb, fonderie…) et berceau de la batellerie (chantiers navals, Amfreville ne compte plus actuellement[Quand ?] que deux entreprises, Tréfimétaux, devenu Pirelli puis Prysmian, spécialisée dans la fabrication de câbles et Eureka, leader de la fripe et des vêtements vintage, installée dans l'ancienne usine Keittinger (carte postale), devenue entretemps Patis France.

Considérée pendant de très nombreuses années uniquement comme un axe de circulation (on comptait jusqu'à 18 000 véhicules par jour en centre-ville)[réf. nécessaire], une déviation de la RD 6015 en 1997 a été ouverte en 1997.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1884   Maurice Keittinger   Directeur d'usine
1904   Keittinger    
1913 ? décembre 1918 Louis Abroboc    
Les données manquantes sont à compléter.
décembre 1918 mai 1925 Ernest Gamblin    
mai 1925 8 février 1938 (mort en fonction) Michel Jacob   Directeur d'usine
avril 1938 août 1944 Lucien Margris    
septembre 1944 novembre 1947 Henri Mignot    
mai 1953 mars 1971 Léopold Féret    
mars 1971 mars 1983 Bernard Langlois PCF  
mars 1983 mars 2008 Claude Avisse PS  
mars 2008 juillet 2020[21] Luc Von Lennep PS Professeur des écoles retraité
juillet 2020[22],[23],[24] En cours Hugo Langlois PS Professeur des écoles

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 3 296 habitants[Note 4], en augmentation de 4,07 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5143374026438111 0099201 0801 110
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1161 2371 2541 2151 2861 2901 3221 3761 394
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4471 5031 5521 6841 6882 0132 0062 0092 407
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 3892 4302 0932 5092 5562 8693 0223 0633 250
2018 2021 - - - - - - -
3 3243 296-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,1 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 626 hommes pour 1 698 femmes, soit un taux de 51,08 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,90 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,5 
4,2 
75-89 ans
6,1 
11,1 
60-74 ans
12,0 
20,9 
45-59 ans
20,0 
19,6 
30-44 ans
19,6 
22,6 
15-29 ans
23,9 
21,4 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,5 
75-89 ans
9,5 
16,6 
60-74 ans
17,7 
19,5 
45-59 ans
19,1 
18,5 
30-44 ans
17,6 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,1 
0-14 ans
16,8 

Économie et industrie[modifier | modifier le code]

  • Entreprise de fabrication de câbles électriques MT et BT (groupe italien Prysmian, ex-Câbles Pirelli).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Centre culturel Simone-Signoret[modifier | modifier le code]

Implanté en bordure de Seine, sur l’emplacement de l’ancien château d'Amfreville, pour remplacer la salle des fêtes ne répondant plus aux normes de sécurité, ce bâtiment possède une architecture contemporaine.

Église Saint-Remi[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Remi.

De style « renaissance byzantine » (unique dans la région), elle a été érigée en centre ville en 1908 pour remplacer l’ancienne église devenue vétuste et difficile d’accès. C'est une réalisation des architectes Charles Lassire[31] et Lesueur, fortement inspirée (en beaucoup plus petit) par la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre. Construite en 1907, le matériau retenu est le béton. L'une des toutes premières à être construite sous le nouveau régime de la séparation de l'église et de l'État, elle est désacralisée en .

La mairie[modifier | modifier le code]

Achevée en 1884, sous la Troisième République, après bien des difficultés techniques et financières, la nouvelle école de garçons et le logement du directeur ont laissé place au cours du temps à la mairie et au Musée du patrimoine des écoles.

Parc Lacoste[modifier | modifier le code]

Des sentiers qui y ont été aménagés dans ce parc communal.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Amfreville-la-Mi-Voie

Les armes de la commune d'Amfreville-la-Mi-Voie se blasonnent ainsi :
Parti : au 1er mi-parti d'azur à l'ancre de sable cordée et bordée d'or, au 2e mi-parti de gueules à la roue dentée d'argent, à la cotice en barre de sinople bordée d'or brochant sur le tout et entravaillée dans l'ancre et la roue dentée, le tout sommé d'un chef parti : au 1er de gueules à deux léopards d'or, l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'or à trois marteaux de gueules.

Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Amfreville-la-Mi-Voie et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b c et d François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 28.
  18. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 6.
  19. Christian Guerrin, « Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime », Nouvelle revue d'onomastique Année 2000, p. 312.
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
  21. Florian Gambin, « Municipales 2020. Hugo Langlois tête de liste de la majorité sortante, à Amfreville, près de Rouen : Luc Von Lennep, maire sortant d'Amfreville-la-Mi-Voie ne se représente pas pour les municipales 2020. C'est son premier adjoint Hugo Langlois qui sera candidat. Présentation », 76 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « On va tout de suite éviter les polémiques, je ne suis ni lassé, ni fatigué, ni malade. La passion est toujours là, mais après deux mandats en tant que maire, je pense qu’il est temps de laisser la place », explique d’entrée de jeu Luc Von Lennep ».
  22. Isabelle Villy, « À Amfreville-la-mi-Voie, Hugo Langlois lassé des « attaques personnelles » : Le second tour des municipales à Amfreville-la-mie-Voie, près de Rouen (Seine-Maritime), opposera deux adjoints sortants : Hugo Langlois et Karima Paris. Explications », 76 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le second tour des municipales 2020 à Amfreville-la-mi-Voie près de Rouen (Seine-Maritime) verra s’affronter dimanche 28 juin, deux listes, menées par… deux adjoints sortants. La troisième liste conduite par Aurélia Rousseeuw, un temps qualifiée de tendance Gilets Jaunes, ne sera finalement pas présente au second tour… ».
  23. Isabelle Villy, « Hugo Langlois vainqueur avec 100 voix d’écart à Amfreville-la-mi-Voie, près de Rouen : Cent voix d’écart ! C’est ce qui a séparé Hugo Langlois de Karima Paris, lors de ce second tour des élections municipales à Amfreville-la-mi-Voie près de Rouen (Seine-Maritime) », 76 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le premier adjoint sortant Hugo Langlois a totalisé 55,84 % des suffrages, face à… une autre adjointe sortante, Karima Paris, qui a recueilli 44,15 % des voix. L’abstention a, là encore, marqué ce second tour des élections municipales et s’élève 57,77 % ».
  24. « À Amfreville-la-Mivoie, Hugo Langlois a ceint l’écharpe de maire : Sans surprise, le maire sortant Luc Von Lennep a passé le flambeau a son dauphin Hugo Langlois », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Amfreville-la-Mi-Voie (76005) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Seine-Maritime (76) », (consulté le ).
  31. Nadine-Josette Chaline, L'église Saint-André, 2010.