Alec von Graffenried
| Alec von Graffenried | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Maire de Berne | |
| En fonction depuis le | |
| Prédécesseur | Alexander Tschäppät |
| Conseiller national | |
| – | |
| Législature | 48e et 49e |
| Groupe politique | Verts (G) |
| Commission | CAJ |
| Successeur | Christine Häsler |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Coire |
| Nationalité | Suisse |
| Parti politique | Les Verts liste libre |
| Profession | Avocat |
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Alec von Graffenried, né le à Coire (originaire de Berne), est une personnalité politique suisse, membre des Verts liste libre (VLL), l'un des trois partis cantonaux membres des Verts suisses. Il est maire de la ville de Berne depuis 2017.
Biographie[modifier | modifier le code]
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Alec von Graffenried naît le à Coire, dans le canton des Grisons. Il est originaire de la ville de Berne[1], descendant d'une grande famille patricienne bernoise vieille de quelque sept siècles[2],[3]. Son père était médecin[4].
Il grandit à Berne dès 1965, dans le quartier de la Länggasse[5]. Ayant perdu ses parents tôt, il doit financer ses études avec des petits boulots (serveur, chauffeur-livreur, collaborateur d'une radio locale)[3]. Après avoir commencé des études en histoire et en psychologie, il étudie le droit à partir de 1984 et devient avocat dès 1990.
Il est préfet de district du canton de Berne de 2000 à 2017[1]. Depuis , il est également directeur chargé du développement durable chez Losinger Marazzi, une entreprise de construction[2].
Il a le grade d'appointé à l'armée[1].
Il est marié à Cornelia Häfliger et père de quatre enfants, dont deux issus d'un premier mariage[4]. Il habite à Murifeld bei Bern, dans le quartier de Kirchenfeld-Schlosshalde[5].
Parcours politique[modifier | modifier le code]
Aux élections fédérales de 2007, il est élu au Conseil national, puis réélu en 2011. Il est membre de la Commission des affaires juridiques (CAJ), qu'il préside de novembre 2013 à juin 2015. Au terme de ses deux mandats, il annonce se retirer de la vie politique, mais se laisse convaincre moins de six mois plus tard de se présenter à l'élection au poste de maire de Berne[2],[6].
Le , il est élu maire de la ville de Berne au second tour avec 58 % des voix face à Ursula Wyss[3].
Positionnement politique[modifier | modifier le code]
Décrit comme un Vert pragmatique, il se déclare social libéral et plutôt en faveur de baisses d'impôts[2].
Il est membre du Nouveau mouvement européen suisse[7].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Biographie de Alec von Graffenried », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
- Michel Guillaume, « Alec von Graffenried, le trouble-fête », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- Michel Guillaume, « À Berne, le triomphe d'un Vert pragmatique », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- (de) Michael Hug, « Alec für Alex », Basler Zeitung, (ISSN 1420-3006, lire en ligne, consulté le )
- (de) « Alec von Graffenried », sur Stadt Bern (consulté le )
- « Alec von Graffenried est candidat à la mairie de Berne - Radio », sur Play RTS (consulté le )
- Michel Guillaume, « Alec von Graffenried, l’apôtre d’un Grand Berne », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressource relative au spectacle :
- Ressource relative à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Biographie sur le site de la ville de Berne
