Énergie éolienne en Belgique

Le Parc éolien de Belwind sur le Bligh Bank, 2 octobre 2012.

L’énergie éolienne en Belgique est gérée partiellement par les régions et partiellement par le gouvernement fédéral. Les producteurs d’énergie éolienne des régions flamande et wallonne reçoivent des certificats mais selon des critères différents.

En 2022, 1 741 éoliennes sont opérationnelles en Belgique, pour une puissance installée de 5 236 MW. Les éoliennes ont produit cette année-là 11,97 TWh, soit 12,6 % de la production d'électricité belge, contre 12 TWh en 2021 et 12,8 TWh en 2020.

La Belgique était en 2022 le 10e producteur d’électricité éolienne de l'Union européenne (UE) avec 2,8 % de la production de l'UE, et le 12e pour la puissance installée ; elle se situait au 9e rang de l'UE pour la puissance installée par habitant.

Les parcs éoliens en mer assuraient 56 % de la production éolienne belge en 2022 et 13,3 % de la production éolienne maritime de l'UE ; la Belgique se situait au 4e rang de l'UE pour la puissance installée en mer avec 14,1 % du parc éolien maritime de l'UE, derrière l'Allemagne, les Pays-Bas et le Danemark.

Production[modifier | modifier le code]

En 2022, les éoliennes ont produit 11 971 GWh, soit 12,6 % de la production d'électricité belge[1].

Selon EurObserv'ER, la production éolienne de la Belgique s'est élevée à 11 924 GWh en 2022, en baisse de 0,6 % par rapport à 2021, au 10e rang des producteurs éoliens de l'Union européenne (UE), avec 2,8 % du total de l'UE, loin derrière l'Allemagne : 125 287 GWh (29,9 %), l'Espagne : 62 705 GWh (14,9 %), la France : 37 900 GWh (9,0%), la Suède : 33 072 GWh (7,9 %) et les Pays-Bas 21 152 GWh (5,0 %)[2].

Production d'électricité éolienne en Belgique[1]
Année Production (GWh) Accroissement Part prod.élec.
2005 227 0,26 %
2006 366 + 61 % 0,43 %
2007 491 + 34 % 0,55 %
2008 637 + 30 % 0,8 %
2009 996 + 56 % 1,1 %
2010 1 292 + 30 % 1,4 %
2011 2 312 + 79 % 2,6 %
2012 2 751 + 19 % 3,3 %
2013 3 687 + 34 % 4,4 %
2014 4 615 + 25 % 6,3 %
2015 5 574 + 21 % 8,0 %
2016 5 436 - 2,5 % 6,4 %
2017 6 518 + 19,8 % 7,5 %
2018 7 571 + 16,2 % 10,1 %
2019 9 755 + 28,8 % 10,4 %
2020 12 818 + 31,4 % 14,3 %
2021 11 997 - 6,4 % 11,9 %
2022 11 971 - 0,2 % 12,6 %

NB : en 2015, la forte baisse de la production des centrales nucléaires a contraint la Belgique à importer 23 % de ses besoins en électricité, ce qui explique la forte hausse des parts des autres sources d'électricité ; par rapport à la consommation brute, la part de l'éolien en 2015 n'était que de 6,1 %. En 2018, la Belgique importait encore 18,7 % de ses besoins en électricité. En 2019, elle est redevenue importatrice[1].

La Belgique était en 2018 le 14e producteur d’électricité éolienne d'Europe, avec 6 418 GWh, en recul de 1,4 % par rapport à 2017, loin derrière le leader allemand : 111 590 GWh[3].

Facteur de charge[modifier | modifier le code]

En 2021, le facteur de charge était de 17,9 % pour l'éolien terrestre et de 34,4 % pour l'éolien en mer, en baisse par rapport à 2020 (20,3 % et 43,5 %)[4].

Puissance installée[modifier | modifier le code]

Parc éolien de Bure (Belgique), 2008.

La Belgique a installé 303 MW en 2022, portant sa puissance installée éolienne à 5 236 MW fin 2022 (+5,8 %), après déduction des 15 MW mis hors service. Elle se classe au 11e rang de l'Union européenne (UE) avec 2,6 % du total de l'UE, loin derrière l'Allemagne (32,7 %), l'Espagne (14,3 %), la France (9 %), la Suède (7,2 %), l'Italie (5,8 %) et les Pays-Bas (4,3 %). Sa part du marché de l'UE en 2022 était de 2,0 %, au 9e rang[5].

La puissance installée par habitant de la Belgique s'élevait en 2022 à 450,7 W, inférieure de 0,7 % à la moyenne de l'UE (453,7 W), au 9e rang européen derrière la Suède (1 395,4 W), le Danemark, la Finlande, l'Irlande, l'Allemagne (795,4 W), l'Espagne, le Portugal et les Pays-Bas (497,3 W)[6].

Au niveau mondial, la Belgique se situe au 20e rang avec 0,6 % du total mondial en 2022, loin derrière la Chine (365 440 MW), les États-Unis (144 226 MW), l'Allemagne et l'Inde (41 930 MW). Les nouvelles installations d'éoliennes en Belgique ont représenté 0,4 % du marché mondial, loin derrière la Chine (48,5 %), les États-Unis (11,1 %), le Brésil (5,2 %), l'Allemagne (3,5 %), le Royaume-Uni (3,1 %), la Suède (3,1 %), les Pays-Bas (1,7 %)[7].

En 2022, 1 741 éoliennes sont installés en Belgique, pour une puissance installée de 5 307 MW[8].

Évolution de la puissance installée éolienne (MW)[9]
année éolien terrestre éolien en mer puissance totale évolution
2010 695 28 723 +234
2011 874 194 1068 +345
2012 986 379 1365 +297
2013 1066 625 1691 +326
2014 1214 712 1926 +235
2015 1495 712 2207 +281
2016 1671 712 2383 +176
2017 1972 877 2848 +465
2018[4] 2130 1186 3316 +468
2019[10] 2323 1556 3879 +563
2020[4] 2459 2254 4713 +834
2021[4] 2764 2254 5018 +305
2022[5] 2975 2262 5236 +303

En 2020, 1 600 éoliennes sont opérationnelles en Belgique, pour une puissance installée de 4 746 MW. La Belgique compte 1 038 éoliennes terrestres (2 491 MW) : 580 en Flandres (1 393 MW) et 458 en Wallonie (1 098 MW)[11]. Le pays dispose en outre de 339 éoliennes en mer réparties sur neuf zones, pour une puissance installée de 2 262 MW[12].

La Belgique a installé 577 MW d'éoliennes en 2019, dont 207 MW à terre et 370 MW en mer, portant la puissance installée de son parc éolien à 3 879 MW, en progression de 17,5 %, dont 2 323 MW à terre et 1 556 MW en mer, au 12e rang européen avec 2,0 % du parc éolien de l'Union européenne, loin derrière l'Allemagne (61 357 MW) et l'Espagne (25 808 MW)[10].

Les installations de 2018 ont été de 385 MW, portant la puissance installée de son parc éolien à 3 191 MW (+13,7 %), au 14e rang européen avec 1,8 % du total de l'Union européenne[3].

La Belgique se situait en 2017 au 10e rang européen pour la puissance installée par habitant : 250,6 W/hab, juste après le Royaume-Uni, et devant les Pays-Bas, la France et l'Italie, alors que la moyenne de l'Union européenne était de 330,2 W/hab[13].

La puissance installée est passée de 49 MW en 2005 à 2 848 MW en 2017. À la fin 2017, 1098 éoliennes étaient répertoriées en Belgique, dont 866 sur terre et 232 en mer ; 836 MW situés en Wallonie, 1 136 MW en Flandre et 877 MW en mer du Nord[9].

Éolien en mer[modifier | modifier le code]

Parc éolien de Thorntonbank, turbines D1 à D6.
Sous-station du parc de Belwind II (Bligh Bank 2), 2016.

Selon EurObserv'ER, la production d'électricité des éoliennes en mer belges s'est élevée à 6 648 GWh en 2022, en baisse de 4 %, soit 56 % de la production éolienne du pays et 13,3 % de la production éolienne maritime de l'Union européenne[2].

La Belgique n'a pas effectué de mise en service de parc éolien en mer en 2022 ; la puissance installée éolienne maritime reste à 2 262 MW fin 2022, au 4e rang de l'Union européenne (14,1 %), derrière l'Allemagne (8 129 MW), les Pays-Bas (2 571 MW) et le Danemark (2 306 MW), et devant la France (480 MW)[5][6].

Au niveau mondial, la Belgique se situe au 6e rang avec 3,5 % du total mondial en 2022, loin derrière la Chine (48,9 %), le Royaume-Uni (21,6 %) et l'Allemagne (12,5 %)[14].

En janvier 2022, la Belgique détient 339 éoliennes en mer réparties sur neuf zones, pour une puissance installée de 2 262 MW[15]. En 2021, la production éolienne en mer a atteint 6,77 TWh, soit 8 % de la demande belge en électricité, avec un facteur de charge de 34,4 %[15].

La Belgique est le 4e producteur mondial d’énergie éolienne en mer, derrière le Royaume-Uni (10 428 MW), l’Allemagne 7 659 MW) et la Chine (environ 7 000 MW). La capacité installée nationale par habitant (156 W/hab) de la Belgique arrive en troisième position, après le Danemark (296 W/hab) et le Royaume-Uni (158 W/hab)[16].

Rapportée à la surface de sa zone économique exclusive (3 447 km²), la production d’énergie éolienne en mer de la Belgique est de très loin supérieure à celle des autres pays.

Parcs éoliens en mer en territoire maritime belge
Nom Date Capacité totale Nombre d'éoliennes Type d'éoliennes Localisation
C-Power 2009 325 MW 54 Senvion 5M et 6M Thornton Bank [17]
Belwind 2010 171 MW 56 Vestas 90 Bligh Bank [18]
Northwind 2014 216 MW 72 MVOW V112 3.0 Bligh Bank [19]
Nobelwind 2017 165 MW 50 MVOW V112 3.3 Bligh Bank [20]
Rentel 2018 309 MW 42 Siemens D7 Entre Thornton Bank et Lodewijk Bank [21]
Norther 2019 370 MW 44 Vestas 164 Thornton Bank [22]
Northwester 2 2020 219 MW 23 Vestas 164 [23]
Seamade Mermaid et Seastar 2020 487 MW 58 Siemens D8.0-167 [24]
Total 2262 MW

Impact environnemental des parcs éoliens en mer belges[modifier | modifier le code]

En Belgique, les promoteurs de parcs éoliens en mer doivent se voir délivrer plusieurs permis avant d’entamer toute construction, y compris un permis d’environnement. Ce dernier impose des conditions afin de minimiser ou d’atténuer l’impact du projet sur l’écosystème marin[25]. La loi belge impose également la mise en place d’un programme de surveillance de l’impact des parcs éoliens en mer sur l’environnement marin[26].

Le programme belge de surveillance environnementale des parcs éoliens en mer a publié, en 2020, un rapport qui fait l’état des différents impacts environnementaux des éoliennes en mer. C’est le premier rapport au monde de cette ampleur qui porte sur une aussi longue durée (2009-2019), et permet donc d’évaluer les conséquences de l’installation d’éoliennes en mer sur le long terme[27].

Impact positif[modifier | modifier le code]

Effet récif[modifier | modifier le code]

À proximité des fondations jacket, les sédiments deviennent plus fins et s'enrichissent en matière organique, ce qui s'accompagne d'une plus grande abondance et diversité de la macrofaune. Certaines espèces auparavant rarement observées en mer du Nord sont désormais plus présentes aux alentours des parcs éoliens[26]. La présence nouvelle de surfaces dures profite également à certaines espèces, telles que la moule bleue et les anémones de mer, mais aussi le calmar commun (qui utiliserait les jackets pour déposer ses œufs), le crabe porcelaine, le crabe dormeur et le bar commun[28]. Cet effet récifal dépasserait la limite des fondations des turbines et s’étendrait également sur les sédiments mous entre les turbines (colonisés par les invertébrés des substrats durs)[26].

Effet refuge[modifier | modifier le code]

À cause de l’exclusion de la pêche dans les parcs éoliens, combinée à la disponibilité accrue de nourriture provoquée par l’effet récif, les populations de certaines espèces de poissons (dragonnet lyre, petite sole jaune, petite vive et plie commune) ont augmenté petit à petit dans le parc éolien C-Power[29]. Cet effet refuge semble par contre ne pas être observé dans la même mesure dans tous les parcs éoliens. Les parcs éoliens en mer sont également visités par les pipistrelles de Nathusius en migration[27].

L’exclusion de la pêche des parcs éoliens en mer a très peu affecté la pêche belge. Les pêcheurs se concentrant sur les alentours des parcs éoliens, les taux de capture de la plie ont même augmenté grâce à l’effet refuge[27].

Impact négatif[modifier | modifier le code]

Nuisances sonores[modifier | modifier le code]

Les éoliennes en mer émettent d’importants niveaux sonores pendant leur construction en mer, en particulier lors du battage des pieux pour les fondations et les structures des éoliennes. Ces nuisances sonores peuvent fortement perturber la faune marine sensible au bruit, dont les mammifères marins (comme le marsouin commun, le cétacé le plus commun dans le sud de la mer du Nord, qui peut s’éloigner de parfois 20 kilomètres des sites de constructions à cause de la gêne occasionnée)[27]. D’après la loi belge, le niveau du bruit généré par l'enfouissement des mâts à 750 mètres de la source sonore ne peut pas dépasser 185 dB[30]. En outre, le battage des pieux est interdit entre le 1er janvier et le 30 avril (à partir de 2016), période qui voit une grande densité de population de marsouins dans la région[31].

Afin d’atténuer les nuisances et de respecter les normes belges, différents dispositifs peuvent être mis en place. Des dispositifs de dissuasion acoustiques ont été enclenchés chaque jour une demi-heure ou une heure avant le début du battage des pieux (et parfois même pendant le battage), afin d’éloigner préventivement les animaux marins affectés par le bruit[32]. Pendant le battage des pieux, des rideaux de bulles d’air ont été installés (à partir de 2017) autour de l’emplacement des travaux[32]. Si les rideaux de bulles d’air simples se sont avérés décevants[31] (Norther et Rentel[32]), les rideaux de bulles d’air doubles (Seamade et Northwester 2[32]) ont permis de limiter le niveau de bruit sous les normes nationales[33]

Si les nuisances sonores sont importantes pendant l’installation des éoliennes, elles disparaissent dès la fin des travaux[27].

Collisions[modifier | modifier le code]

Si certains oiseaux évitent les parcs éoliens (fou de Bassan, guillemot de Troïl, pingouin torda[27]), d’autres semblent y être attirés, tels que le grand cormoran, le goéland argenté et le goéland marin[27]. L'emplacement des parcs éoliens, leur disposition et la taille des turbines déterminent le nombre prévu de collisions[26].

Les dernières estimations indiquent 69,5 ± 53 collisions par an sur l’ensemble des neufs parcs éoliens opérationnels, soit bien moins que les précédentes études[34]. Plus de 80 % du nombre estimé d'oiseaux marins qui entrent en collision avec les turbines dans les eaux belges sont de grands goélands[26].

Principaux parcs éoliens[modifier | modifier le code]

Parc éolien d'Estinnes, 10 octobre 2010.

Des éoliennes fonctionnent depuis plus de 10 ans sur les jetées du port de Zeebruges.

La base de données The Windpower recense 184 parcs éoliens belges totalisant 4 250 MW en , dont 3 879 MW en service fin 2019[35], et donne leur liste exhaustive[36] ; les principaux sont :

Principaux parcs éoliens en service en Belgique
Nom du parc Commune Province MW* Nb éol.* Type* Date mise en service Commentaires
Parc éolien d'Estinnes Estinnes Hainaut 81 11 Enercon E-126 (10x7.5MW et 1x6MW) 2008-2010

[37]

Antwerpen Haven Anvers 84,15 2004 à 2016
Parc éolien de Thorntonbank Ostende mer du Nord 325 54 2009 à 2013 alias : C-Power
Belwind Zeebruges mer du Nord 171 56 55 Vestas, 3 MW + 1 Haliade, 6 MW 2010-2013 [38]
Parc de Northwind[39],[40] à 37 km au large de Zeebruges en mer du Nord 216 72 Vestas, 3 MW 2014 production annuelle prévue : 875 GWh
Parc de Nobelwind Bligh Bank, mer du Nord 165 50 Vestas, 3,3 MW 2017 [41]
Parc de Rentel[42] au large de Zeebruges mer du Nord 309 42 Siemens, 7,35 MW)
Parc de Norther[43] mer du Nord 370 44 Vestas, 8,4 MW 2019 [44]
Parc de Northwester 2[45] mer du Nord 218,5 23 Vestas, 9,5 MW [46]
Projet Seamade zone Seastar[47] mer du Nord 235,2 28 Siemens-Gamesa, 8 MW fin 2020 [48]
Projet Seamade zone Mermaid[49] mer du Nord 252 30 Siemens-Gamesa, 8 MW fin 2020
* Nb éol.= nombre d'éoliennes ; MW : Capacité installée (MW) ; Type : constructeur des éoliennes.

La 2e phase du Parc éolien de Belwind en mer du Nord a servi de laboratoire à Alstom Renewable Power, depuis fin 2013, pour y tester ses nouvelles éoliennes Haliade 150 de 6 MW, les plus puissantes au monde[50],[51].

Durant la seconde moitié de l’année 2019, le sixième projet éolien en mer, Norther (370 MW), commencera à produire de l’électricité. La capacité de production totale atteindra alors 1 556 MW, et la production d’électricité des parcs éoliens s’élèvera à 4,5 TWh par an. Par ailleurs, Northwester 2 (219 MW), commencera à construire les fondations de ses éoliennes durant la première moitié de 2019, et Seamade, le plus grand parc éolien belge ((487 MW)), dont le financement a été clos en , commencera la construction des fondations au second semestre. Ces deux parcs devraient commencer à produire sur le réseau dès 2020, et porter la capacité totale installée en Belgique à 2 262 MW. Le mécanisme d’attribution des certificats verts adopté par le conseil des ministres en concernait les parcs Northwester 2 et Seamade, qui seront construits à un LCOE de 79 €/MWh[52].

Au printemps 2020 a été effectué le premier « repowering » sur sol wallon, concernant le parc éolien de Sainte-Ode, dont le permis a été octroyé en 2002 (premier parc éolien en Wallonie) : les 6 anciennes éoliennes de 1,25 MW, hautes de 124 m, ont été remplacées par 4 éoliennes d’une puissance nominale de 3 MW, hautes de 150 m[53].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c (en) « Energy Statistics Data Browser-Browse as tables : Belgium Electricity 2022 », sur Agence internationale de l'énergie,
  2. a et b EurObserv'ER 2023, p. 6.
  3. a et b [PDF](en) « Wind energy barometer 2019 » [PDF], EurObserv'ER,
  4. a b c et d « Statistiques électricité », sur FEBEG Fédération Belge des Entreprises Électriques et Gazières (consulté le )
  5. a b et c EurObserv'ER 2023, p. 4.
  6. a et b EurObserv'ER 2023, p. 7.
  7. GWEC 2023, p. 102.
  8. « Observatoire éolien », sur Energie Commune (consulté le )
  9. a et b Observatoire éolien, APERe, 15 janvier 2015
  10. a et b (en) Wind energy in Europe in 2019 (pages 10-16), WindEurope, février 2020.
  11. « Observatoire éolien », sur Energie Commune (consulté le )
  12. « Les parcs éoliens de la mer du Nord belge ont fourni de l'électricité verte à près de 2 millions de familles belges en 2021 », sur Belgian Offshore Platform (consulté le )
  13. [PDF] Baromètre éolien 2018, EurObserv'ER, février 2018.
  14. GWR 2023, p. 102.
  15. a et b « Les parcs éoliens de la mer du Nord belge ont fourni de l'électricité verte à près de 2 millions de familles belges en 2021 », sur Belgian Offshore Platform (consulté le )
  16. « La Belgique 4e pays producteur d'énergie éolienne en mer au monde, devant le Danemark et les Pays-Bas », sur Belgian Offshore Platform (consulté le )
  17. « C-Power », sur Belgian Offshore Platform (consulté le )
  18. « Belwind », sur Belgian Offshore Platform (consulté le )
  19. « Northwind », sur Belgian Offshore Platform (consulté le )
  20. « Nobelwind », sur Belgian Offshore Platform (consulté le )
  21. « Rentel », sur Belgian Offshore Platform (consulté le )
  22. (en-US) north_adm, « Home », sur Norther (consulté le )
  23. (en) « Northwester 2 », sur Parkwind (consulté le )
  24. « Seamade », sur Belgian Offshore Platform (consulté le )
  25. Degraer et al. 2020
  26. a b c d et e « L'impact environnemental des parcs éoliens en mer : résultats à propos de la plus grande zone éolienne opérationnelle du monde | Institut royal des Sciences naturelles de Belgique », sur www.naturalsciences.be (consulté le )
  27. a b c d e f et g Publié par La Rédaction | Juin 22 et 2020 | Éolien Posé, « Eolien en mer, impacts et bénéfices : 10 ans d’expérience en Belgique », sur Énergies de la Mer, (consulté le )
  28. Degraer et al. 2020, p. 79
  29. Degraer et al. 2020, p. 80
  30. « Loading... », sur www.stradalex.com (consulté le )
  31. a et b Degraer et al. 2020, p. 37
  32. a b c et d Degraer et al. 2020, p. 30
  33. Degraer et al. 2020, p. 38
  34. Degraer et al. 2020, p. 48
  35. (en) Countries, The Windpower, consulté le 28 février 2020.
  36. (en) Wind farms - Belgium, The Windpower, consulté le 2 avril 2018.
  37. Le parc éolien onshore d’Estinnes, WindVision.
  38. Le projet éolien en mer Belwind, Belgian Offshore Platform.
  39. Parc éolien, site consacré à Northwind Energy.
  40. (en)Northwind, 4C-offshore.
  41. Le projet éolien en mer Nobelwind, Belgian Offshore Platform.
  42. [1], meretmarine.com, 18 septembre 2018.
  43. Norther, thewindpower.net, 21 octobre 2019.
  44. Le projet éolien en mer Norther, Belgian Offshore Platform.
  45. Northwester 2, thewindpower.net, 28 septembre 2020.
  46. Le projet éolien en mer Northwester 2, Belgian Offshore Platform.
  47. Seamade (Mermaid), thewindpower.net, 20 octobre 2020.
  48. Début de la construction du dernier et plus grand parc éolien offshore en Mer du Nord belge, euro-energie.com, 16 septembre 2019.
  49. THV Mermaid, thewindpower.net, 20 octobre 2020.
  50. BELWIND fournit un site-test pour la toute nouvelle éolienne Haliade d'ALSTOM - Bruxelles, 12 février 2013, sur le site de Belwind Offshore Energy consulté le 18 septembre 2013.
  51. L’éolienne offshore Haliade 150 d’Alstom embarque à Ostende sur le site alstom.com, consulté le 12 février 2014
  52. L’éolien offshore belge au top en 2018, et 2019 s’annonce bien, energiesdelamer.eu, 9 janvier 2019.
  53. Premier repowering de parc éolien en Wallonie, renouvelle.be, 24 juin 2020.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

(en) Steven Degraer, Robin Brabant, Bob Rhumes et Laurence Vigin, Environmental Impacts of Offshore Wind Farms in the Belgian Part of the North Sea: Empirical Evidence Inspiring Priority Monitoring, Research and Managemen, Bruxelles, Royal Belgian Institute of Natural Sciences, , 131 p. (ISBN 978-9-0732-4252-4, lire en ligne)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Ouvrages - publications[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]